A la frontière entre le Mexique et les États-Unis un homme passe tous les matins sur un âne avec deux sacoches.
Au bout d’un certain temps, le douanier, intrigué par ce manège, fouille les sacoches et n’y trouve que de la paille. Et ça dure pendant des mois et des années.
Le douanier retire la selle de l'âne, inspecte le casse-croute, passe la paille au rayon X... rien, absolument rien. Et tous les matins, sourire aux lèvres, l’autre passe.
Au bout de longues années, après l’avoir contrôlé quotidiennement, le douanier lui dit :
- Vous ne me verrez plus. Je prends ma retraite ce soir. Mais pour que j’aie l’âme en paix, dites-moi la vérité : Vous faisiez un trafic ?
- Bien entendu, dit l’autre.
- Et vous passiez quoi ?
- Des ânes…
Après le naufrage d'un paquebot de croisière, on retrouve sur une île déserte et merveilleuse mais perdue en plein milieu du Pacifique :
- Deux Italiens et une Italienne.
- Deux Français et une Française.
- Deux Allemands et une Allemande.
- Deux Grecs et une Grecque.
- Deux Anglais et une Anglaise.
- Deux Bulgares et une Bulgare.
- Deux Suédois et une Suédoise.
- Deux Irlandais et une Irlandaise.
- Deux Belges et une Belge.
- Deux Russes et une Russe.
- Deux Suisses et une Suissesse.
Trois mois plus tard sur cette merveilleuse île déserte, voici ce qui s'est passé :
1) Un Italien a fait assassiner l'autre Italien pour l'Italienne.
2) Les deux Français et la Française forment un très harmonieux ménage à trois.
3) Les deux Allemands se partagent les faveurs de l'Allemande, en respectant très scrupuleusement l'alternance hebdomadaire.
4) Les deux Grecs couchent ensemble et la Grecque fait la cuisine et le ménage.
5) Les deux Anglais attendent désespérément que quelqu'un veuille bien avoir l'obligeance de leur présenter l'Anglaise.
6) Les deux Bulgares, après avoir jeté un regard à la Bulgare et scrupuleusement observé l'horizon ont finalement décidé de tenter leur chance à la nage...
7) Les deux Suédois spéculent toujours sur les vertus du suicide alors que la Suédoise use et abuse des bains de soleil pour mettre son corps en valeur.
8) Les Irlandais ont commencé par diviser l'île en Nord et Sud et ont installé une distillerie au centre. L'important pour eux, c'est que les Anglais n'en aient pas une goutte ! ! ! Quant au sexe, considérant qu'après quelques litres de whisky , il règne une sorte de brouillard épais sur l'île, la question ne se pose même pas.
9) Les Belges ont fondé un gouvernement chacun, plus un pour les questions communes , un pour les matières personnalisables masculines auquel la femme ne participe pas et une commission de concertation sur l'emploi des langues, au cas où la femme, qui a une grand-mère flamande,dirait une phrase ou deux en Néerlandais par accident. Finalement, le mariage relevant de 14 compétences avec chevauchement, les hommes négocient leur droit de faire la cour à la femme en faisant du troc avec une vieille boîte de cachets d'aspirine.
10) Le premier Russe a épousé la femme russe et a divorcé peu après. Il est le meilleur client de la distillerie irlandaise. Le second Russe s'est fait un peu d'argent en tuant un des deux Italiens et en négociant les visas de sortie des deux Bulgares. Avec cet argent, il a acquis 33,3 % des parts de la distillerie irlandaise, obtenu une licence de vente exclusive pour les Anglais et a engagé un Grec comme vendeur Il emploie de plus les Allemands comme gardes du corps pour lui et sa fiancée russe en promettant à la Bulgare le poste de nurse pour son premier enfant. Enfin, il prend régulièrement des cours d'anglais avec la Suédoise.
11) Les trois Suisses, quant à eux, ont sorti un nouveau catalogue Printemps/été.
Salon de l'automobile : Comment reconnaître les nationalités des visiteurs du Mondial de l'Automobile ?
- L'Allemand examine le moteur.
- L'Anglais examine les cuirs.
- Le Grec examine l'échappement.
- L'Italien examine le Klaxon.
- Le Portugais examine la peinture.
- L’américain examine la taille.
- Le Suisse examine le coffre.
- Le Chinois examine tout.
- Le Belge examine rien.
- Le Français examine la vendeuse.
Salomon est au volant de grosse voiture en plein centre de Jérusalem et cherche désespérément une place pour se garer. Il fait le tour du quartier, il attend, il va chercher même un peu plus loin, rien. Il a un rendez-vous d'affaires très important et il risque de se mettre en retard. Mais rien, aucune place de libre ! Désespéré, il regarde vers le ciel et dit : 
- Mon Dieu, si tu me trouves une place de parking dans les 3 minutes, je te promets de ne plus faire d'écart et de manger toujours cacher, de faire Chomer-Chabat (respect du samedi), d'étudier le  Talmud, de respecter Yom-Kippour et toutes les fêtes...
Alors qu'il vient juste de terminer sa phrase - oh miracle ! - une place se libère juste devant lui ! Alors Salomon tourne son regard vers le ciel et dit :
- Tu peux arrêter de chercher mon Dieu, j'ai trouvé !
Deux voisins alsaciens discutent devant leurs portails :
- J'en ai marre, ça fait la deuxième fois qu'on me vide ma cuve à mazout pourtant la bouche de remplissage est bien cachée sous une vasque de fleurs !
- Moi j'ai résolu le problème, j'ai acheté un gros bouchon rouge avec MAZOUT marqué dessus en blanc.
- T'es fou ? Comme ça ils n'ont même plus à chercher ? ! ! !
- Ben ouais, mais le tuyau n'est pas relié à ma cuve à mazout... Il est raccordé à ma fosse septique : ça fait trois fois que les roms me la vide GRATOS en six mois !
Donald Mac Arthur, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires. Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.