Blague : La peau du chorizo


La peau du chorizo - Etrangers - 08/05/2013

Un mec rencontre une super nana au bois de Boulogne et les choses se passent plutôt bien. La nuit est superbe et le mec entraîne sa compagne dans un bosquet et là... la fille lui dit :
- Oh ! Non. Une autre fois. j'ai mes ragnagnas...
- Ça ne fait rien je mets un préservatif et on y va !


La fille accepte et dès qu'ils ont terminé le mec enlève le préservatif et le balance par-dessus le bosquet où passait un badaud espagnol (de surcroît) qui voyant passer l'objet se précipite, le ramasse, le porte à sa bouche en bougonnant :
- Ils y comprennent rien ces français, dans le chorizo, c'est la peau le meilleur !

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Héritage corse - Etrangers - 08/05/2014

Sur le point de mourir, un vieux Corse choisit de léguer sa fortune au plus fainéant de ses trois fils qu’il décide de tester. Il demande à l’aîné de monter :
- Mon fils, que fais-tu si, à la terrasse d’un bar, alors qu’il fait très chaud, tu aperçois un billet de 200 euros de l’autre côté de la route ?
- Ouh… j’attends qu’il fasse moins chaud pour aller le ramasser !

Le vieil homme appelle son deuxième fils :
- Que fais-tu si une jolie fille te fait de l’œil pendant que tu fais la sieste ?
- Ouh… Je termine la sieste d’abord !

Le vieillard appelle alors le benjamin :
- Oh, Doume ! Monte me voir !
- Non… Toi, descends !

Un Italien coureur de jupons, un Écossais très avare et un Grec homosexuel se retrouvent face à St Pierre. Les trois hommes supplient Saint-Pierre pour qu'il leur laisse une seconde chance. St Pierre finit par accepter et les renvoie sur terre mais à une condition : ne plus jamais céder à leur vice. Sinon, retour au ciel !

Les trois hommes se retrouvent à marcher sur le trottoir d'une grande avenue. Une jolie fille passe et l'Italien se retourne pour regarder son postérieur. Aussitôt, POF! il disparait et se retrouve de nouveau devant le St Pierre.

Écossais et le Grec poursuivent leur chemin jusqu'à ce que leur route croise une pièce de 50 centimes sur le trottoir. Alors l’Écossais se baisse, et POF! le Grec disparaît.


Allemands à Paris - Etrangers - 09/03/2013

C'est deux Allemands qui visitent Paris. Mais comme ils sont très snobs, ils veulent se faire passer pour des touristes anglais. Ils rentrent donc dans une brasserie des Champs Élysées. Le premier allemand au barman :
- Two martinis, please!
- Dry ? demande le barman.
Et l'autre allemand :
- Nein! Zwei!

El Sombrero - Etrangers - 09/01/2013

Au Mexique, dans un petit village, c'est l'heure de la messe... Toute la population est rassemblée et écoute le pretre faire son sermon  Calme et ferveur...

Soudain la porte centrale s’entrouvre bruyamment et rentre un bandidos bardé de revolvers et cartouchières. Il remonte la nef, fier, coiffé de son traditionnel chapeau, ses éperons d'argent résonnent sur le carrelage...

Un murmure timide dans l'assemblée de fidèles puis qui grossit alors qu'il s'avance vers l'autel : "Le Sombréro... El Sombrero, Signor... El Sombréro...Signor... Gracias .."

Le caballero continue, arrive près des marches de l'autel, se retourne et lance "A la démandé yénérale, yé vé vous interpréter moun famousse soucé el Sombrero"

Un ministre africain vient en voyage officiel en France, et se fait inviter à dîner chez son homologue français. En voyant la somptueuse villa de ce dernier, et toutes les toiles de maître aux murs, il lui demande comment il peut bien s’assurer un tel train de vie avec sa paye somme toute modeste de serveur de la République. Le français l’entraîne près de la fenêtre :
- Vous voyez l’autoroute là-bas ?
- Oui
- Elle a coûté vingt milliards, l’entreprise l’a facturée 25 et m’a versé la différence.

Deux ans plus tard, le ministre français est en voyage officiel en Afrique et rend visite à son homologue. Quand il arrive chez lui, il découvre un palais comme il n’en avait encore jamais vu. Stupéfait, il demande :
- Mais je ne comprend pas, il y a 2 ans vous trouviez que j’avais un train de vie princier, mais par rapport à vous…

Le ministre africain l’entraîne près de la fenêtre :
- Vous voyez l’autoroute là-bas ?
- Non…
- Ben voilà…