Blague : Compliment au golf


Compliment au golf - Etrangers - 23/03/2014

Un homme va dans un bar et rencontre une femme japonaise. Ils passent la nuit ensemble et toute la nuit il l'entend crier : "Sushugu, Sushugu !" Il se dit qu'elle doit le trouver formidable, l'homme continue son affaire en y mettant toujours plus de cœur.

Quelques jours plus tard, il participe à un tournoi de golf et ils se trouve à jouer avec le président de Nintendo qui tire un coup fantastique et met la balle dans le trou. Voulant le flatter il lui crie " Sushugu !". Furieux le président de Nintendo lui dit :
- Quoi, mauvais trou ???

D'autres blagues pour la catégorie Etrangers

Donald Mac Arthur, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires. Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.

Un Italien coureur de jupons, un Écossais très avare et un Grec homosexuel se retrouvent face à St Pierre. Les trois hommes supplient Saint-Pierre pour qu'il leur laisse une seconde chance. St Pierre finit par accepter et les renvoie sur terre mais à une condition : ne plus jamais céder à leur vice. Sinon, retour au ciel !

Les trois hommes se retrouvent à marcher sur le trottoir d'une grande avenue. Une jolie fille passe et l'Italien se retourne pour regarder son postérieur. Aussitôt, POF! il disparait et se retrouve de nouveau devant le St Pierre.

Écossais et le Grec poursuivent leur chemin jusqu'à ce que leur route croise une pièce de 50 centimes sur le trottoir. Alors l’Écossais se baisse, et POF! le Grec disparaît.


El Sombrero - Etrangers - 09/01/2013

Au Mexique, dans un petit village, c'est l'heure de la messe... Toute la population est rassemblée et écoute le pretre faire son sermon  Calme et ferveur...

Soudain la porte centrale s’entrouvre bruyamment et rentre un bandidos bardé de revolvers et cartouchières. Il remonte la nef, fier, coiffé de son traditionnel chapeau, ses éperons d'argent résonnent sur le carrelage...

Un murmure timide dans l'assemblée de fidèles puis qui grossit alors qu'il s'avance vers l'autel : "Le Sombréro... El Sombrero, Signor... El Sombréro...Signor... Gracias .."

Le caballero continue, arrive près des marches de l'autel, se retourne et lance "A la démandé yénérale, yé vé vous interpréter moun famousse soucé el Sombrero"

Salon de l'automobile : Comment reconnaître les nationalités des visiteurs du Mondial de l'Automobile ?

- L'Allemand examine le moteur.
- L'Anglais examine les cuirs.
- Le Grec examine l'échappement.
- L'Italien examine le Klaxon.
- Le Portugais examine la peinture.
- L’américain examine la taille.
- Le Suisse examine le coffre.
- Le Chinois examine tout.
- Le Belge examine rien.
- Le Français examine la vendeuse.

A la frontière entre le Mexique et les États-Unis un homme passe tous les matins sur un âne avec deux sacoches.

Au bout d’un certain temps, le douanier, intrigué par ce manège, fouille les sacoches et n’y trouve que de la paille. Et ça dure pendant des mois et des années.

Le douanier retire la selle de l'âne, inspecte le casse-croute, passe la paille au rayon X... rien, absolument rien. Et tous les matins, sourire aux lèvres, l’autre passe.

Au bout de longues années, après l’avoir contrôlé quotidiennement, le douanier lui dit :
- Vous ne me verrez plus. Je prends ma retraite ce soir. Mais pour que j’aie l’âme en paix, dites-moi la vérité : Vous faisiez un trafic ?

- Bien entendu, dit l’autre.

- Et vous passiez quoi ?

- Des ânes…