Un homme se rend chez son psychiatre pour lui parler d'un problème qui l'empêche de dormir depuis des mois :
- Docteur, j' ai un problème. Tous les soirs, quand je suis au lit, j' ai l' impression qu'il y a quelqu'un caché dessous. Alors je me relève pour regarder sous le lit, et bien sûr il n' y a personne. Je me recouche, mais au bout d' un moment je me dis que je n' ai peut-être pas bien regardé. Alors je me relève pour vérifier de nouveau, sans résultat bien entendu. Bref, j' ai beau me dire que c'est impossible, je ressens toujours le besoin de m' assurer que personne n' est caché sous le lit. Docteur, tout ça me pourrit la vie, pouvez-vous faire quelque chose ?
Le psychiatre :
- Hum... Je vois... obsessionnel compulsif... Comptez quatre ans d'entretiens de physiothérapeute, à raison de trois séances par semaine et je vous guéris de votre obsession.
Le patient :
- Euh.. Combien ça va me coûter, Docteur ?
Le psychiatre :
- 100 euros par séance.
Le patient après avoir fait un rapide calcul dans sa tête :
- Euh... je crois que je vais réfléchir un petit peu avant de commencer la thérapie.
Six mois plus tard, le psychiatre rencontre le type dans la rue, par hasard :
- Alors ? Pourquoi n' êtes-vous jamais revenu me voir ?
Le patient :
- A 100 euros la séance ? Mon livreur de pizza m' a résolu mon problème pour seulement 5 euros.
Le psychiatre qui n'est pas convaincu qu'un livreur de pizza soit plus efficace que lui demande :
- Votre livreur de pizza ? Vraiment ? Et comment a t-il fait ?
Le patient :
- Il m' a conseillé de scier les pieds de mon lit !!
Les passagers d'un avion sont tous assis à leur place. Mais, au moment du départ, les pilotes ne sont pas encore arrivés. Au bout d'une demi-heure d'attente, ils arrivent et passent entre les sièges avec des lunettes foncées, des cannes blanches et un chien.
Plusieurs passagers s'étonnent et rient nerveusement à la pensée que ce sont des aveugles. Les moteurs démarrent, l'avion prend de la vitesse sur la piste, va de plus en plus vite, mais ne semble pas décoller. Les passagers regardent par la fenêtre et réalisent que l'avion se dirige tout droit vers un lac.
L'avion roule maintenant très vite, et plusieurs passagers réalisent qu'ils vont peut-être plonger dans le lac. Ils crient, et à ce moment là, l'avion décolle tout doucement.
Remis de leurs émotions, ils rient et se sentent stupides de leur peur. Dans la cabine de pilotage, l'un des pilotes tâte le tableau de bord et trouve le bouton du pilote automatique, il dit ensuite au copilote :
- Tu sais ce qui me fait peur ?
- Non ?
- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.
Quatre types sont en train de se raconter des histoires dans un bar. Un des types s'absente pour aller aux toilettes. Les trois autres continuent à parler. Le premier dit :
- J'avais peur que mon fils soit un bon à rien parce qu'il a commencé en lavant des voitures pour un concessionnaire local. Or le concessionnaire est tombé malade, ils ont nommé mon fils vendeur et il a vendu tellement de voitures que c'est lui qui est devenu concessionnaire. En fait, c'est une belle réussite, non ? Et il vient tout juste d'offrir à son meilleur ami une Porsche pour son anniversaire.
Le second qui dit :
- Je me faisais des cheveux blancs pour mon fils, parce qu'il a commencé en ratissant les feuilles dans des jardins pour un agent immobilier. Mais l'agent a dû interrompre sa carrière, mon fils est devenu vendeur commissionné, et finalement il a acheté l'agence immobilière. Ça marche tellement bien qu'il vient juste d'offrir une nouvelle maison à son meilleur ami pour son anniversaire.
Le troisième type dit :
- Oui, oui c'est pas mal. Mais mon fils, à moi, a débuté en lavant les sols dans une société de courtage. Eh bien Il a pris un congé, il est devenu trader, et maintenant c'est lui le patron de la société de courtage. Il est tellement riche qu'il vient d'offrir à son meilleur ami 1 million de dollars en actions pour son anniversaire.
Le 4e type revient des toilettes. Les trois premiers lui racontent qu'ils étaient en train de parler de leurs fils respectifs, et de leurs belles réussites dans la vie et il répond :
- Malheureusement, je dois admettre que mon fils est une des grandes déceptions de ma vie. Il a commencé comme coiffeur et il est toujours coiffeur après quatorze ans. En plus, je viens de découvrir qu'il est homosexuel et qu'il a plusieurs petits amis. Mais bon, j’essaie de voir le bon côté des choses: ses petits amis viennent juste de lui offrir une nouvelle Porsche, une nouvelle maison et 1 million de dollars en actions pour son anniversaire !!!
Les ex :
- C'est comme la prison, si tu y retournes c'est que tu n'as pas compris la leçon.
La beauté intérieure :
- Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
Pharmacie :
- Confiserie pour vieux.
Être au bout du rouleau :
- Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.
Orteil :
- Appendice servant à détecter les coins de portes.
Facebook :
- Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.
État :
- Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
Aides internationales :
- Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
C'est un braqueur qui arrive dans une banque. Il tient tout le monde en respect avec une arme et exige l'accès au coffre fort. Il ressort quelques instants plus tard avec plusieurs sacs de billets. Il regarde alors un client droit dans les yeux et lui demande :
- "Tu as vu quelque chose ?
Le client répond :
- Oui, vous avez....
Il n'a pas le temps de finir sa phrase qu'il est abattu d'une balle entre les deux yeux.
Le malfaiteur regarde le client à côté de lui droit dans les yeux, et lui repose la même question :
- Tu as vu quelque chose ?
Le client répond :
- Moi, non. Mais ma femme, elle, a tout vu !!
L'histoire se passe dans une caserne de l'armée de terre, le matin à l'appel :
- Franck Manko : "présent"
- Marc Senim : "présent"
- Isabelle Weber : "présent".
Le gradé intrigué demande :
- Isabelle Weber, sortez du rang.
Un grand type s'avance, 1m95, 120 kilos, tatoué, portant la barbe. Le gradé poursuit :
- Comment cela se fait-il que vous vous appeliez Isabelle ?
- Yop, la faute de mon papa ! A la marie, ils ont demandé comment s'appelait son fils et il a répondu avec l'accent alsacien :
- Y s'appelle Weber.