Les gendarmes arrêtent un automobiliste pour un contrôle d’identité sur la route. L’un des gendarme dit :
- Papiers.
Le conducteur lui répond :
- Ciseaux ! J’ai gagné !
Deux fous se baladent dans la cour de l’asile avec une casserole sur la tête.
- Que c’est lourd ! dit l’un.
- Oh oui, on devrait faire des casseroles en paille pour l’été, répond l’autre !
Un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi.
Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque ?
Pour vomir, mets un doigt dans la gorge et l'autre dans ton cuI et si ça ne marche pas, inverse.
La lampe torche. Le PQ aussi.
Parler à un c0n, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat
L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne.
L’histoire se passe dans un avion prêt à décoller. Tous les passagers d’un avion sont à bord mais le pilote et le copilote manquent. Le pilote arrive et traverse l’avion avec des lunettes noires et une canne blanche. Les passagers sont estomaqués et commencent à rire nerveusement quand arrive le copilote avec un chien d’aveugle. Les passagers commencent à s’inquiéter sérieusement, mais trop tard, les moteurs s’allument et l’avion démarre.
L’avion prend de plus en plus de vitesse et ne décolle pas, le bout de la piste n’est plus qu’à quelques mètres et les passagers poussent tous ensemble un immense cri de désespoir…
Ouf les roues se détachent du sol à quelques millimètres du bout de la piste.
Dans le poste de pilotage, le pilote commente au copilote :
- Tu vas voir qu’un de ces jours on va se casser la gueule parce que ces abrutis ne vont pas crier à temps.
C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.
Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !
Williams le chef de la garde royale était un officiel a la cour du roi Arthur. Il était obsédé par un fantasme : fourrer son nez dans la voluptueuse poitrine de la jolie reine. Mais il savait que la sanction pour cet acte serait la mort. Un jour, il confia son fantasme à son collègue Emilio, lequel était le médecin personnel du roi. Emilio lui dit :
- Je peux arranger ça, mais j'ai besoin de 2000 pièces d'or pour soudoyer le personnel de chambre de la reine.
Williams le chef de la garde royale accepta sans sourciller. Le jour suivant, Emilio le médecin, fabriqua une lotion grattante et urticante. Il s'introduit dans les appartements de la reine avec la complicité du personnel et en versa un peu dans le soutien-gorge qu'elle prenait un bain. Peu après s'être vêtue, la démangeaison commença et augmenta en intensité dans les heures suivantes.
Après avoir été appelé à la chambre royale, Emilio dit au roi que seule une salive spéciale, appliquée pendant 4 heures, pouvait soigner ce type de démangeaison. Et les tests montraient qu'une telle salive ne pouvait être trouvée que dans la bouche de Williams le chef de la garde royale. Le roi convoqua Williams pour une mission de la plus haute importante...
Celui-ci se mit l'antidote que lui avait donne Emilio dans la bouche et pendant les 4 heures qui suivirent il lécha et suça passionnément les seins magnifiques de sa reine. Satisfait, il retourna dans ses appartements et y trouva Emilio qui l'attendait pour son paiement. Mais Williams refusa de régler Emilio et l'envoya paitre, sachant qu'il ne pourrait jamais rien dire au roi sur cette affaire.
Le jour suivant Emilio rependit une dose massive de la lotion grattante dans le caleçon du roi Arthur. Le roi convoqua Williams le chef de la garde royale...
Morale : mieux vaut payer ses dettes.