Aides internationales :
- Aides payées par les pauvres des pays riches pour aider les riches des pays pauvres.
Oui chérie ! :
- Gain de temps.
Soutien-gorge :
- Synonyme de flamby. Tu tires la languette et tout tombe.
Je me suis fait un bleu :
- Expression couramment utilisée par Zahia.
La beauté intérieure :
- Concept inventé par les moches pour pouvoir se reproduire.
Péniche :
- C'est oune zizi portugaiche.
Pharmacie :
- Confiserie pour vieux.
Pruneau :
- Synonyme de personne âgée. Qui est ridé et qui fait ch1er.
Où est donc mon Ricard ? :
- Conjonctions de coordination.
Suppositoire :
- Invention qui restera dans les annales.
A suivre...
C'est l'histoire de Fabien qui rentre dans son village après des années passer a la ville. Et là, il croise un de ses vieux copains :
- Tiens Fabien ça fais des lustres qu'on t'avait pas vu dans le coin ! Mais tu deviens quoi toi maintenant ?
- Bah moi je suis professeur de logique!
- Et c'est quoi ça ?
- Regarde, je vais te montrer : t'as un aquarium chez toi ?
- Ouais !
- Donc si t'as un aquarium c'est que tu aimes les poissons ?
- Ouais !
- Si tu aimes les poissons c'est que tu aimes la mer ?
- Ouais !
- Si tu aimes la mer c'est que tu aimes la plage ?
- Ouais !
- Si tu aimes la plage c'est que tu aimes les femmes sur la plage ?
- Ouais !
- Si tu aimes les femmes c'est que tu aimes coucher avec ?
- Ouais !
- Bah tu vois c'est ça la logique !
Sur ce le mec repart tout content et va voir un de ses amis pour lui faire part du retour de leur ancien pote :
- Je viens de croiser Fabien là, et tu sais ce qu'il fait maintenant ?
- Non ?
- Il est professeur de logique.
- Et c'est quoi ça ?
- Regarde, je vais te montrer : t'as un aquarium chez toi ?
- Non.
- Bah... C'est que tu es gay alors !!!
L'histoire se passe dans une caserne de l'armée de terre, le matin à l'appel :
- Franck Manko : "présent"
- Marc Senim : "présent"
- Isabelle Weber : "présent".
Le gradé intrigué demande :
- Isabelle Weber, sortez du rang.
Un grand type s'avance, 1m95, 120 kilos, tatoué, portant la barbe. Le gradé poursuit :
- Comment cela se fait-il que vous vous appeliez Isabelle ?
- Yop, la faute de mon papa ! A la marie, ils ont demandé comment s'appelait son fils et il a répondu avec l'accent alsacien :
- Y s'appelle Weber.
Partie 5 des réflexions :
Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !
Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.
Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.
Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.
C’est toujours les cons qui l’emportent. Question de surnombre.
Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l’ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.
Une journée sans voiture ! T'as vu le bordel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !
L’intelligence artificielle n’a aucune chance en face de la stupidité naturelle.
Zé doit faire un tour chez le coiffeur , rapport à la nuque longue.
- Allez chef, c’est à nous. Zou, assieds toi là ... Alors, comme je te les coupe.
- Ecoute-moi bien : tu vas me faire une spéciale... Tu me fais une fausse raie sur la gauche avec une frange mi longue devant. Derrière tu me fais un dégradé asymétrique... asymétrique, tu m’entends bien... A droite tu me frises un peu, léger, hein pas de trop, mais que ça ce voit quand même... , la patte de droite tu la laisses plus longue que celle de gauche et au dessus des oreilles, tu me fais des zigzags.
- Oh, Zé, t’ies gaga ? C'est quoi, cette coupe ?
- C'est quoi cette coupe, tu me dis, figure de poulpe ? C'est celle que tu m'as fait le mois dernier.
A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !