Pourquoi Dieu a créé les femmes belles et stupides ?
Belles pour que les hommes puissent les aimer et stupides pour qu'elle puissent aimer les hommes.
Un couple de clochards partagent leur sac de couchage. Alors qu'ils sont installés l'un à côté de l'autre, Raymond dit à Giselle, en roucoulant et en se frottant contre elle :
- Chérie, j'ai envie.
- Non ! Tu ne t'es pas lavé depuis deux semaines, tu pues, pas question !
- Allez, sois gentille, je te fais tout ce que tu veux !
- Tout ce que je veux ? Dans ce cas c'est d'accord, tu me lèches !
- Ah non ! Tu ne t'es pas lavée depuis un mois !
- Chose vomie, chose bue, tu me lèches !
Et Giselle s'installe alors sur Raymond, qui commence à la lécher. Quelques pertes jaunes, et vertes plus tard, Raymond demande grâce :
- Ça suffit, je n'en peux plus ! On arrête !
- Non, continue, c'est bon !
Quelques morpions, des dizaines de poils et quelques pertes rouges et blanches plus tard, Raymond est au bord de l'apoplexie :
- Stop, j'étouffe !
- Non, continue, je viens, c'est bon !
Et en jouissant, elle lâche une énorme flatulence. Et Raymond en prenant une grande respiration :
- Ouf ! De l'air !
Une dame de couleur se rend chez son gynécologue. Elle se déshabille et il commence à l'examiner. Il reste pensif et déclare :
- Hou ce n'est pas beau... ce n'est vraiment pas beau. C'est même franchement laid.
Et de rajouter :
- Vous permettez que j'appelle mon épouse ?
La patiente est interloquée mais elle accepte néanmoins.
- Chérie, chérie, viens voir...
L'épouse arrive. Le docteur l'informe :
- Tu vois, ce que je te disais.
L'épouse de rétorquer :
- Nom d'un chien, tu as raison, c'est vraiment pas beau à voir. Zut alors, qu'allons-nous faire maintenant ? Appelle le gamin.
- Tu as raison, je l'appelle. Fabrice, tu as une minute ?
Fabrice entre. Son père et sa mère lui demandent de regarder. La patiente commence à être exaspérée. Le fils commente :
- Notez bien que moi, je ne trouve pas ça si mal...
La dame auscultée explose finalement :
- Mais nom d'un chien, va-t-on enfin se décider à me dire ce qui se passe ?
Le gynécologue répond :
- Ne vous inquiétez pas, madame. Le problème est que cela fait des semaines que nous discutons, ma femme, mon fils et moi. Nous n'arrivons pas à nous décider. Mais franchement, je ne pense pas que nous allons prendre la Twingo noire intérieur rose.
Aux assises, c'est l'heure du réquisitoire. La parole est au procureur qui s'adresse aux jurés :
- Messieurs les jurés, l'homme que vous voyez assis dans le box à tué son père et sa mère. Je demande une peine exemplaire !
Puis c'est au tour de l'avocat de la défense de s'exprimer :
- Messieurs les jurés, je réclame votre indulgence : n'oubliez pas que mon client est orphelin...
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C'est l'histoire d'un type qui vient de passer des examens de santé à l'hôpital. Le médecin annonce au patient qu'il est gravement malade et qu'il va mourir. Le gars demande ce qu'il peut faire pour le guérir. Le médecin lui répond :
- Vous n'avez qu'à faire des bains de boue.
- Pourquoi ça va me guérir ?
- Non, mais ça vous habitueras à la terre.
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A table, un garçon interpelle sa mère :
- Maman, maman, je n'aime pas grand-mère !
La mère :
- C'est pas grave, laisse-là sur le bord de ton assiette et finit ta purée.
Deux cannibales, père et fils, prennent le frais devant leur case quand, soudain, passe une très jeune et jolie touriste. Le fils pousse le bras de son père :
-Dis, p’pa… on la capture et on la mange !
-D’accord, on la capture mais on mange ta mère!
L'histoire se passe dans un centre des impôts, au ministère des finances. C'est un jour de réception du public et l'on fait la queue devant le guichet. Arrive le tour d'un monsieur qui demande à parler au contrôleur Paul. La fonctionnaire de l'autre côté du guichet lui dit qu'elle est vraiment désolée, mais que ce ne sera pas possible car ce contrôleur est décédé inopinément fin de la semaine précédente.
Le monsieur s'en va, se remet à la fin de la file et se représente quelques minutes plus tard devant le même guichet :
- Bonjour, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, dit la dame, je vous ai dit qu'il était décédé fin de la semaine passée.
Avant qu'elle ait pu lui proposer quelqu'un d'autre, le contribuable va se replacer à la fin de la file. A son tour, il se représente une troisième fois devant la même personne :
- Bonjour, dit-il, très poli, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, je vous ai déjà dit deux fois qu'il était décédé! Vous ne me comprenez pas ?
- Si très bien, mais cela me fait tellement plaisir de vous l'entendre dire !