Blague : Dis-moi où tu manges


Un mec m'a demandé si j'avais une pièce pour manger.

Je lui ai répondu que oui et que ça s'appelait une salle à manger.

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Un SDF fait la manche à la hauteur d'un feu rouge. Une Ferrari s'y arrête, le mendiant frappe à la vitre et crie au chauffeur :
- J'ai faim !
Le conducteur regarde sa montre et lui répond :
- C'est normal, il est midi, moi aussi !!!

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- Maman, c'est vrai que la maison a brûlé ?
- Oui, mon chéri.
- Maman, c'est vrai que grand-mère a brûlé avec la maison ?
- Oui, mon chéri.
- Maman, pourquoi ça sent le caramel ?
- Mon chéri... Tu sais bien que grand-mère avait du diabète !

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Deux amis discutent :
- J'ai 2 nouvelles à t'annoncer.
- Commence par la bonne.
- Non, c'est deux mauvaises.

Comme chaque dimanche matin, deux Anglais sont sur un green en train de taper la balle de golf. Soudain, un convoi funèbre passe. L’un des deux joueurs enlève son chapeau et attend le passage, en faisant mine de se recueillir.
- Ça alors, lui fait l’autre, j’ignorais qu’un homme comme vous était aussi gentleman !
- Que voulez-vous, nous avons quand même été mariés 40 ans !

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Une fille de 11 ans se douche avec sa grande sœur de 17 ans. C’est la première fois qu’elle la voit nue et toute surprise lui demande :
- C’est normal ces poils la ?
- Ben ouais, tu verras dans quelques années tu en auras aussi.
- Et c’est pas gênant pour faire l’amour ?

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- Dis donc, pour un enfant de 6 ans tu es doué pour nager comme ça !
- Oui madame j’ai un entrainement spécial.
- Et c’est quoi ton entrainement ?
- Mon papa m’envoie au large en barque et je dois revenir en encaissant les coups de rame.
- Mais euh… c’est vraiment dur comme entrainement…
- Oui madame, ça l’est. Mais le plus dur est de sortir du sac !


L'histoire se passe dans un centre des impôts, au ministère des finances. C'est un jour de réception du public et l'on fait la queue devant le guichet. Arrive le tour d'un monsieur qui demande à parler au contrôleur Paul. La fonctionnaire de l'autre côté du guichet lui dit qu'elle est vraiment désolée, mais que ce ne sera pas possible car ce contrôleur est décédé inopinément fin de la semaine précédente.

Le monsieur s'en va, se remet à la fin de la file et se représente quelques minutes plus tard devant le même guichet :
- Bonjour, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, dit la dame, je vous ai dit qu'il était décédé fin de la semaine passée.

Avant qu'elle ait pu lui proposer quelqu'un d'autre, le contribuable va se replacer à la fin de la file. A son tour, il se représente une troisième fois devant la même personne :
- Bonjour, dit-il, très poli, je souhaiterais parler au contrôleur Paul.
- Mais Monsieur, je vous ai déjà dit deux fois qu'il était décédé! Vous ne me comprenez pas ?
- Si très bien, mais cela me fait tellement plaisir de vous l'entendre dire !

Un homme en cour, accusé d'un double meurtre et le juge dit :
- Vous êtes accusé d'avoir battu à mort votre femme avec un marteau.

Une voix dans l'assistance dit :
- Ah ! Le maudit bâtard !

Le juge continue :
- Et vous êtes aussi accusé d'avoir battu à mort votre fille avec un marteau.

Encore, une voix dans l'assistance :
- Ah ! Maudit bâtard de bâtard !

Le juge s'arrête, se retourne vers l'homme assis à l'arrière et dit :
- Monsieur, je peux comprendre votre frustration et votre dégoût face à ces crimes, mais je ne pourrai plus tolérer ces remarques de votre part. Avez-vous compris ?

L'homme dans le fond de la salle se lève et répond :
- Pendant 15 ans, j'ai vécu la porte voisine de chez lui et le maudit bâtard, à chaque fois que je lui demandais de me prêter un marteau, il disait qu'il n'en avait pas.

Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit. Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris. Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant après le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher.

Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadrage de porte regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait cru déjà rendu au ciel. Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.

Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table, se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.

Soudainement, il reçut de sa femme un coup de spatule sur la tête :
- Touche pas ! dit-elle, c'est pour l'enterrement...