C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ... Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.
Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
- Elles sont à l'envers, maîtresse.
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds
Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
- C'est pas mes bottes.
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.
Elle dit alors :
- Bon, allez, on les enlève.
Et elle se met à nouveau au boulot. Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
- C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre.
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
- Où sont tes gants?
Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
- Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes.
Par une belle nuit étoilée, une fillette et son papa sont allongés dans l'herbe et regardent le ciel étoilé.
– Oh regarde papa une étoile filante ! s’écrie Louisa
– J’espère que tu as eu le temps de faire un vœu
– Oui, j’espère qu’il se réalisera, sinon j’aurai 0/20 en géographie !
– Ah bon ? C’était quoi, ton vœu ?
– Que Bruxelles devienne la capitale de l’Allemagne, avant que le prof corrige les copies.
Le soir d’Halloween un petit garçon frappe à la porte d’une maison, déguisé en Rocky... Une dame lui ouvre et lui demande :
- Tu viens pour des bonbons... Tiens, en voici une grosse poignée .
Le petit garçon la remercie et s’en va.
Dix minutes plus tard, la dame entend sa sonnette retentir à nouveau. Elle ouvre la porte et reconnaît le petit garçon. Elle lui dit :
- Je te reconnais petit malin ... Tu es passé il y a 5 minutes déguisé en Rocky !
Et le petit lui répond :
- C’est pas moi, m’dame … Moi j’suis Rocky 2 !
Une mère, inquiète dit à sa fille qui doit partir à son premier rendez-vous avec son nouveau fiancé :
- Tu sais, les garçons parfois tentent de profiter de la situation, ce sont tous des cochons. Tu dois être prudente. S'il essaie de toucher ta poitrine tu lui dis : "Non, là il y a des épines qui piquent" et si il essaye de te toucher entre les jambes tu dois lui dire : "Non, ici, il y a un four qui brûle".
La fille répond qu'elle a bien compris et se rend au rendez-vous. Quand elle revient sa mère lui demande comment ça s'est passé ... et... et puis que s'est-il passé ?
La fille :
- Eh bien j'ai découvert que mon four ne fonctionne pas ! Il a laissé cuire sa saucisse pendant plus d'une heure, mais quand il me l'a faite goûter... elle était toujours crue !
A l'école primaire, l'instituteur demande :
- Qu’est-ce qui est le plus près, le Brésil ou la lune ?
Le petit Alain lève le doigt et répond :
- La lune bien sûr !
L'instituteur lui demande de préciser :
- Comment peux-tu penser ça ?
Yves explique alors son raisonnement :
- Et bien… la lune on peut la voir d’ici, le Brésil non !
Franck demande 10 euros à son père. celui-ci le questionne :
- C’est pour quoi faire ?
- Pour donner à une vieille dame.
- Bravo, c’est très bien de vouloir l’aider. Et où est-elle cette dame.
- Là-bas, elle vend des glaces !