Blague : Si les animaux pouvaient parler


Un type se perd dans la forêt. Heureusement il se fait héberger par un paysan qui lui offre le gîte et le couvert. Le lendemain, le type qui voudrait remercier le paysan, constate qu’il n’a pas un rond en poche, mais comme il est ventriloque, il décide de lui faire un petit tour en guise de remerciements. Le type va vers une poule et lui dit :
- Salut Madame la poule ! Comment ça va ?
La Poule :
– Bonjour Monsieur, ça va bien merci, il y a juste le paysan qui me pique mes œufs, mais autrement ça va…

Le paysan qui n'avait ce genre de choses jusqu'à présent est estomaqué :
– Nom de Dieu !!! Vous faites parler les poules !!
Le type :
– Oh, pas rien que les poules, Il s'avance vers la vache.
- Salut la Vache, comment ça va ?
La Vache :
– Bonjour Monsieur, ça va, il y a juste le paysan qui me tire mon lait tout les matins, mais sinon ça va…
Le Paysan :
– Crévinguieu !!! Les vaches aussi ?
Le type :
– Oh tous les animaux, regardez celle-ci…
Il va vers la chèvre et fait :
– Bonjour Madame la chèvre !
Alors le paysan tout affolé dit au type :
– Ne l’écoutez pas ! C’est une menteuse !

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Un singe rentre dans un bar et demande au barman :

- Vous avez des bananes ?
- Non on n'a pas de banane.
- Vous avez des bananes ?
- Non on en n'a pas.
- Vous avez des bananes ?
- Non, t'es sourd ou quoi ! Si tu me demandes encore si j'ai des bananes je te cloue la langue au comptoir !
- Vous avez des clous ?
- Non.
- Vous avez des bananes ?

Le coq à 500 euros - Animaux - 28/01/2014

Un fermier breton vient de perdre son valeureux coq. Il se rend alors au marché de Vannes mais arrive un peu tard, malheureusement. Les meilleures bêtes ont déjà été vendues. Il commence à regarder les coqs qui restent mais il n’y en a plus qu’un, maigrichon, à demi affalé sur le bord de sa cage. Il s’avance vers le propriétaire et lui demande :
- Combien vous demandez pour le coq ?
- 500 euros.
- 500 euros !!! Êtes-vous malade ?
- Holà, attention, l’ami ! Ce coq est l’un des plus grands spécimens de son espèce. Ce qu’il est capable de faire à vos poules, aucun coq n’est capable de le faire.

Se disant qu’il n’a rien à perdre, notre fermier paie et emporte son coq. Rentré chez lui, il le lâche dans sa basse-cour puis va nourrir les animaux de l’étable. Soudain, il entend un vacarme épouvantable : le coq est train de baiser les poules à un rythme infernal ! Puis il tombe par terre, les yeux clos.

Le fermier, en rogne, se dit :
- Bon, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut déjà plus rien!
Le lendemain, au réveil, le fermier entend encore un vacarme épouvantable dans le poulailler. Il regarde à la fenêtre et voit le coq en train de mettre les lapins et les dindons ! Encore une fois, le coq tombe par terre, yeux clos.

Le fermier, en rogne, se dit :
- Bon, cette fois c’est sûr, je me suis fait avoir ! Ce coq ne vaut rien !
Le surlendemain matin, même scénario. Le coq saute tout ce qui bouge dans la ferme : vache, cochon, poulet… puis s’effondre. Les vautours commencent alors à tourner autour de la ferme dans le ciel. Le fermier arrive au pas de course et se met à hurler :
- Mon pauvre coq ! Mon Dieu…
Alors le coq ouvre un œil, pointe une aile vers le ciel puis dit tout bas au fermier :
- Tsss ! Ferme-là ! Tu vas leur faire peur !!!!


Un savant étudie la puce.
Il dit "saute" et la puce saute.
Il coupe les pattes de la puce et dit "saute". La puce ne saute pas.
Déduction : "Quand on coupe les pattes d’une puce elle devient sourde."

Jimmy suit son cours de Biologie à l'école. Le professeur est en train d'expliquer une des curiosités de la nature, à savoir que seuls les humains bégaient. Aucun autre animal ne possède de tel trouble de l'élocution.
Mais Jimmy n'est pas d'accord :
- Monsieur, Monsieur, c'est pas vrai. Moi je connais au moins un animal qui bégaie!
- Ah oui?" fait le professeur étonné, et quel est donc cet animal?
- Ben, en fait, c'était mon chat : l'autre jour, je jouais avec lui sous la véranda et le Rottweiler du voisin s'est rapproché, alors mon chat a commencé à faire "ffffffffff! ffffffffffff! ffffffffff !" et avant qu'il puisse dire "FOUS LE CAMPS!", eh bien, le chien l'avait mangé!

C’est deux serpents qui se télescopent  en plein milieu de la forêt tropicale.
- Aïe ! s’écrie le premier. Vous pourriez faire un peu attention ! Vous venez de me marcher sur le pied !
- Mais les serpents n’ont pas de pieds… répond l’autre.

Et il s’en va en haussant les épaules...