Blague : Résister à la tentation


Un Italien coureur de jupons, un Écossais très avare et un Grec homosexuel se retrouvent face à St Pierre. Les trois hommes supplient Saint-Pierre pour qu'il leur laisse une seconde chance. St Pierre finit par accepter et les renvoie sur terre mais à une condition : ne plus jamais céder à leur vice. Sinon, retour au ciel !

Les trois hommes se retrouvent à marcher sur le trottoir d'une grande avenue. Une jolie fille passe et l'Italien se retourne pour regarder son postérieur. Aussitôt, POF! il disparait et se retrouve de nouveau devant le St Pierre.

Écossais et le Grec poursuivent leur chemin jusqu'à ce que leur route croise une pièce de 50 centimes sur le trottoir. Alors l’Écossais se baisse, et POF! le Grec disparaît.

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Compliment au golf - Etrangers - 23/03/2014

Un homme va dans un bar et rencontre une femme japonaise. Ils passent la nuit ensemble et toute la nuit il l'entend crier : "Sushugu, Sushugu !" Il se dit qu'elle doit le trouver formidable, l'homme continue son affaire en y mettant toujours plus de cœur.

Quelques jours plus tard, il participe à un tournoi de golf et ils se trouve à jouer avec le président de Nintendo qui tire un coup fantastique et met la balle dans le trou. Voulant le flatter il lui crie " Sushugu !". Furieux le président de Nintendo lui dit :
- Quoi, mauvais trou ???

Le million - Etrangers - 22/01/2013

C'est un noir qui rentre dans un tabac et qui demande un millionnaire à gratter. Il joue et gagne 100 euros puis il part tout content. Le lendemain on peut lire dans le journal qu'un grave accident de bus à tués 100 noirs.

Quelques jours plus tard, un chinois rentre dans ce même tabac et demande un millionnaire à gratter. Il joue et gagne 10 000 euros puis il part tout content. Le lendemain on peut lire dans le journal qu'un grave accident d'avion a tué 10 000 chinois.

Quelques jours plus tard, un arabe rentre dans le même tabac et demande un millionnaire et là tout le monde lui crie :
"LE MILLION !! LE MILLION !! LE MILLION !!"


C'est un Corse, un Français et un Italien. Leur patron les voyant trainer la patte décide de leurs lancer un défi. Il leur tend 100 euros en leurs disant qu'à la fin de la journée le plus fainéant récoltera cette somme.

A la fin de la journée, le patron arrive et les trouve allongés dans l'herbe. Il demande qui a été le plus fainéant durant la journée. Le français se lève et dit :
- C'est moi!
L'italien se lève à son tour :
- Non, c'est moi!
Le corse, lui, reste allongé et dit en montrant sa poche :
- Met-les là !

Cela se passe en France dans la région alsacienne, par manque de main d’œuvre les vignerons ont engagé des étrangers pour les vendanges et parmi eux un Africain surnommé Toussaint qui parle peu le français. Après la première journée, la dame du vigneron inquiète demande donc à Toussaint comment cela s’est-il passé :
- Oh très bien madame; il y a une bonne ambiance et aujourd’hui nous avons coupé la riesling.
- Mais non on ne dit pas LA riesling, mais LE riesling (Vin d'Alsace).
- Ah bon ? J'ai fait une erreur sur LE.

La seconde journée de nouveau la dame lui demande donc comment la journée s’est-elle passée :
- Oh très bien madame, l’ambiance est très bonne malgré le travail dur, je me plais bien, les copains sont chouettes aujourd’hui nous avons coupé la Gewurztraminer.
- Mais non Toussaint , on dit LE Gewurztraminer et pas LA Gewurztraminer (Vin d'Alsace).

Le lendemain janvier est absent au départ du matin et la dame du vigneron est donc très inquiète pour lui, mais vers 10 heures, elle rencontre Toussaint, assis sur le banc près de l’église et elle l’interroge :
- Mais Toussaint pourquoi n’es-tu pas venu au travail aujourd’hui ?
- Oh non madame, car aujourd’hui mes copains ont dit qu’ils coupaient LE pinot noir (Vin d'Alsace) ! J'ai eu peur qu'ils se soient trompés eux aussi !

Donald Mac Arthur, un Écossais de pure souche, fut un beau jour obligé de s'expatrier à Londres pour poursuivre ses études secondaires. Après son premier mois de scolarité, il reçoit la visite de sa maman dans sa chambrette de résidence universitaire.
- "Alors, comment sont les autres étudiants anglais, Donald ?, demande-t-elle.
- Ils sont exécrables maman. Ce sont vraiment des gens bruyants et sans-gêne. Tous les soirs par exemple, mon voisin de la chambre à ma droite n'arrête pas de se cogner la tête contre la paroi. Quant à mon voisin de la chambre située de l'autre côté, tout ce qu'il sait faire c'est hurler et hurler encore !
- Oh mon pauvre Donald ! Comment arrives-tu à supporter ces malappris de voisins anglais ?
- Maman, je ne fais rien du tout. Je les ignore. Je reste là calmement assis sur mon lit à jouer de ma cornemuse.