Un riche industriel s'adresse à un ami ministre en ces termes :
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, il ne cherche même pas de travail, il passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon Chef De cabinet, avec un traitement de 6.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai chargé de mission en chef, à 5.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... chargé de mission alors? 2.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie, et il débuterait à moins de 1.200 euros par mois.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours...
Au cours d'une réunion, le chef de service informa son équipe qu'il n'était pas suffisamment respecté comme il se doit.
Le lendemain matin, il apporta une petite pancarte où il était écrit :
ICI, C'EST MOI LE CHEF ! Et il la plaça bien en évidence sur la porte de son bureau.
Quand il revint, après le déjeuner, il vit un post-it à coté de la pancarte ... Quelqu'un y avait indiqué :
- Votre femme a téléphoné . Elle veut récupérer sa pancarte !
Un médecin reçoit une patiente qui fiévreuse depuis quelques jours :
- Écoutez, chère madame, il va falloir que je vous prenne la température !
- D’accord mais je suis très sensible !
- Si vous voulez, le thermomètre, je vous le mets dans la bouche …
- Ah non ! Pas dans la bouche !
- Peut-être que je pourrais vous le mettre sous le bras ?
- Ah non ! Pas sous le bras, ça va me chatouiller !
- Bon, écoutez ! Je vais vous le mettre dans le nombril !
- Dans le nombril, je veux bien ! Mais on éteint la lumière parce que je suis très timide !
Il éteint la lumière et elle lui fait :
- Mais c’est pas le nombril, là !
- C’est pas grave, c’est pas le thermomètre !
Dolores voulait une augmentation, elle en parle à la propriétaire du manoir dans lequel elle travaille. La Maîtresse de maison est très énervée par cette requête et lui demande :
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation, Dolores ?
- Et bien Madame pour trois raisons. La première, c’est parce que je repasse mieux que Madame.
- Et qui vous dit ça ?
- C’est Monsieur qui me dit ça.
- Ah bon ?
- La deuxième, c’est que je cuisine mieux que Madame.
- Sornettes ! Et qui dit que vous cuisinez mieux que moi ?
- C’est Monsieur qui dit que je cuisine mieux que Madame.
- Tiens donc ? … Et la troisième raison Dolores ?
- La troisième raison , c’est que je fais mieux l’amour que Madame.
- Et c’est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l’amour que moi ?
- Non, Madame. C’est le jardinier... !
- Très bien vous avez votre augmentation.
Un épicier est très radin. Il ne pense qu'à son argent. Un jour, un de ses amis veut lui faire une blague. Il demande donc à une femme d'entrer complètement nue dans le magasin pour voir sa réaction.
La femme entre dans le magasin, prend un article et se dirige vers la caisse. L'épicier la regarde, il la fixe de haut en bas. La femme lui dit alors :
- Qu'est-ce qu'il y a, je te plais c'est ça ?
L'homme se met à rire et lui dit :
- Non, j'essaye juste de trouver d'où vous allez sortir l'argent pour me payer !
Le PDG d’un grand groupe multinational déambule dans son bureau climatisé de 130 m², emmerdé par l’ennui d’une nouvelle journée de glande. Après avoir consulté ses mails de blagues illustrées, le cours du CAC40 et quelques minutes les meilleurs moments de "L’amour est dans le pré" sur le net, il décide d’aller voir son vice-président (lui-même plongé dans une partie de poker en réseau). Une fois dans le bureau, il lui dit :
- Écoutez, j’ai une terrible préoccupation à propos de mon épouse qui détient la moitié des parts de l'entreprise. Je me demande si le fait de lui faire l’amour est une question de travail ou si c’est juste une question de plaisir ?
Le vice-président embarrassé, lui répond sans trop se mouiller :
- Franchement, je n’en ai aucune idée M. Le Président.
- Vous avez une heure pour me donner la réponse ! ordonne le PDG.
Le Vice-président court voir son vice-président adjoint qui lisait l’Équipe tranquillement dans son bureau climatisé de 60 m² et lui expose le problème :
- Une question : si notre cher Président se tape sa femme, à ton avis, c’est une affaire de travail ou c’est juste pour le plaisir ?
- Alors là, j’en sais rien ! Lui répond-il.
- Tu as 55 minutes pour me répondre !!
Le Vice-président adjoint va voir son directeur financier en pause-café :
- Si notre président saute sa chérie, c’est du travail ou du plaisir ?
- Financièrement, le coût est nul, je ne peux donc pas répondre.
- T’as 45 minutes.
Celui-ci va voir son chef de département en réunion, qui à son tour va voir un de ses chefs de projets le seul qui ne soit pas en RTT :
- Si le vieux bal5e sa meuf, c’est du taf ou c’est juste pour le fun ?
- J’en sais rien.
- Réponse dans 20 minutes !
Le chef de projet va voir donc un de ses responsables techniques qui en dernier recours va demander à l’un de ses stagiaires en pleine période de bourre, avec dix cahiers des charges sur la table, trois mois de boulot sur le dos, pleins de docs à rédiger, la messagerie qui fume, le téléphone qui sonne sans arrêt :
- Oh ! Le stagiaire ! Une question !
- Pas maintenant, je suis blindé jusqu’au cou, j’ai pas le temps, j’ai plein de trucs à faire.
- C’est super urgent !! Il faut que tu répondes.
- Vas-y ! C’est quoi ? demande le stagiaire.
- Si le Big Boss f0urre sa pouf, c’est du boulot ou du plaisir ?
- C’est du plaisir ! affirme le stagiaire.
- Attends ! Comment tu peux savoir aussi vite ?
Le stagiaire répond, indigné :
- Dans cette boîte, si jamais c’était du boulot, c’est moi qui serais en train de me la taper !!!