Un homme amoureux va voir le père de sa petite amie pour lui demander sa main :
- Monsieur je veux épouser votre fille.
- Avez-vous vu ma femme ?
- Oui mais je préfère votre fille !
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Cette nuit un cambrioleur s'est introduit chez moi. Il cherchait de l'argent. Du coup je me suis levé de mon lit et on a commencé à chercher ensemble.
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C'est une maman qui rend visite à son fils en prison pour la première fois , et lui apporte les petites choses en lui demandant comment il se sent :
- Pourquoi tu apportes tout ça maman , ici on mange bien , on dort bien et on passe un bon moment avec de gentils gardiens !
- Alors promets-moi de ne pas faire de bêtises , reste sage , je ne veux pas qu'ils te renvoient à la maison !
Partie 5 des réflexions :
Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !
Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.
Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.
Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.
C’est toujours les cons qui l’emportent. Question de surnombre.
Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.
Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l’ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.
Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.
Une journée sans voiture ! T'as vu le bordel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !
L’intelligence artificielle n’a aucune chance en face de la stupidité naturelle.
Un homme radin comme pas deux va consulter un psychanalyste célèbre. On lui a dit que la première fois on payait deux cents euros, et les fois suivantes seulement la moitié.
Aussi, lorsqu’il entre dans le cabinet, il prend un ton enjoué :
- Bonjour, docteur, c’est encore moi !
Le psychanalyste l’écoute, l’interroge, prend des notes. A la fin de la séance il prend les cent euros, puis, en souriant, lui dit :
- Rien de nouveau, suivez mes conseils de la dernière fois.
C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.
Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !
Entre Lille et Nice, un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent partager une même unité de wagon-lit. Bien qu' un peu gênés d' avoir à partager autant d' intimité, les deux sont fatigués et tombent bien vite endormis. Lui sur la couchette du haut ; elle sur celle du bas.
Vers 2 heures du matin l'homme se penche au dessus de la couchette du bas et réveille la dame :
- Madame. Madame. Excusez moi de vous déranger. Mais j' ai terriblement froid. Auriez-vous la gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ?
- J' ai une bien meilleure idée, répond la femme. Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés. Juste pour cette nuit. Ça vous va ?
- Quelle idée intéressante vous avez là s'exclame l'homme, Je suis bien d' accord !
- Bon! alors, dit-elle, va la chercher toi-même ta couverture et laisse moi dormir !
Deux fous se baladent dans la cour de l’asile avec une casserole sur la tête.
- Que c’est lourd ! dit l’un.
- Oh oui, on devrait faire des casseroles en paille pour l’été, répond l’autre !