Blague : Au revoir papa


Au revoir papa - Enfants - 09/09/2013

Un papa va coucher sa petite fille de trois ans. Il lui raconte une histoire et écoute ses prières qu'elle termine en disant :
- Protège ma maman, protège mon papa, protège ma grand-mère et au revoir grand-père.

Le papa demande :
- Pourquoi dis-tu au revoir grand-père?
La petite fille dit:
- Je ne sais pas papa, cela me semblait la seule chose à dire.

Le lendemain, le grand-père meurt. Le père se dit que c'est une étrange coïncidence. Quelques mois plus tard, le père couche sa fille et écoute ses prières qui se terminent par :
- Protège ma maman, protège mon papa et au revoir grand-mère.

Le lendemain, la grand-mère meurt. Le père abasourdi se dit que sa fille est en contact avec l'au-delà. Quelques semaines plus tard, alors qu'il vient de lui raconter une histoire il écoute ses prières :
- Protège ma maman et au revoir papa.

Réellement choqué, l'homme ne dort pas de la nuit, va au travail très tôt le matin. Nerveux toute la journée, il regarde sa montre sans arrêt et reste à son bureau jusqu'au minuit. A minuit, il est toujours vivant et décide de rentrer à la maison.

Sa femme étonnée lui dit:
- C'est bien la première fois que tu rentres si tard du travail. Que s'est-il passé?
- J'ai passé la pire journée de ma vie, mais n'en parlons plus.

Elle répond:
-Tu as eu une mauvaise journée, mais tu n'imagines pas ce qui m'est arrivé. Ce matin, le facteur est tombé mort devant notre porte !

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Ludo et son copain bavardent dans la cour de récréation de l'école primaire :
- T'as demandé quoi pour Noël ?
- Un game boy, et toi ?
- Un Tampax.
- C'est quoi ça ?
- Je sais pas mais avec tu peux faire du cheval, de la gym, du vélo...

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Ludo revient de l'école avec son bulletin trimestriel. Il a des zéros dans chaque matière.
- Quelle excuse vas-tu encore me donner? soupire son père.
- Eh bien ! J'hésite encore entre l'hérédité et l'environnement familial.

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Le petit Ludo et son papa se baladent en ville. Soudain Ludo voit dans la rue un chien en train de saillir une chienne. Il demande à son père ce qu'ils font. Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener.
Après être resté quelques instants perplexe, Ludo répond :
- C'est comme maman hier, heureusement qu'elle se tenait bien à la machine à laver, sans cela le facteur l'emmenait à la poste.

Une mère se promène avec son fils dans les rues de sa ville. Elle rencontre une de ses amies, une dame très jolie, et elle demande à son fils de l’embrasser pour lui dire bonjour. Son fils qui s’appelle Samuel s’écrit alors :
- Non, maman je n’embrasserais pas la dame !
- Samuel, veux-tu l’embrasser ! c’est un ordre !
- Non, maman, je ne veux pas !
- Mais pourquoi refuses-tu d’embrasser cette dame ?
- Ben, c’est juste que papa a voulu l’embrasser hier et la dame lui a donné une paire de claques.


L'institutrice demande à sa classe :
- Si j'ai trois pommes à diviser en huit parties égales, que dois-je faire ?
Marco répond sûr de lui :
- De la compote madame !

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Le petit Marco se réveille au milieu de la nuit en entendant du bruit qui provient de la chambre de ses parents. Il se lève sans faire de bruit et va observer la scène intime. Le lendemain matin, au petit déjeuner, il demande à sa mère :
- Pourquoi tu rebondissais sur papa, cette nuit ?
La mère, embarrassée, essaye d'inventer une réponse :
- Tu sais, comme papa a un gros ventre, je saute dessus pour le faire maigrir !
Le petit réfléchit trois minutes et dit :
- Ça ne marchera jamais !
Sa maman, amusée, lui demande :
- Et pourquoi, ça ne marcherait pas selon toi, Marco ?
Le petit explique :
- Parce que quand tu vas faire les commissions, le dimanche matin, il y a la voisine qui vient et qui regonfle papa.

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Marco est puni par son père pour ces nombreuses bêtises de la semaine. Il est consigné dans sa chambre jusqu'à nouvel ordre.

Au bout de dix minutes, Marco crie à travers la porte :
- Papa, apporte-moi un verre de sirop !
- Non, tu n'avais qu'à prévoir...

Au bout de dix autres minutes :
- Papa, apporte moi un verre de sirop !
- Si tu n'arrêtes pas, je monte te donner une fessée.

- Papa, quand tu monteras me donner une fessée, est-ce que tu peux m'apporter un verre de sirop ?

Histoire de bottes - Enfants - 12/05/2014

C'est l'histoire vraie d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde ... Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler.

Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
- Elles sont à l'envers, maîtresse.
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds

Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
- C'est pas mes bottes.

A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas.

Elle dit alors :
- Bon, allez, on les enlève.

Et elle se met à nouveau au boulot. Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
- C'est pas mes bottes, c'est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre.

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
- Où sont tes gants?

Et le gamin de répondre le plus simplement du monde :
- Pour pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes.

L'instituteur questionne un élève qu'il soupçonne de de voler des fruits :
- Bertrand, dis-moi un peu qui d'entre vous est venu hier voler des cerises dans mon cerisier ?
- Je ne vous entends pas bien monsieur, vu que je suis sur le dernier banc de la rangée répond Bertrand.
- C'est ce qu'on va voir ! Viens ici t'asseoir à ma place. J'irai m'asseoir à la tienne et à ton tour, tu me poseras une question.

Ils échangent leur place et Bertrand fait ce que l'instituteur lui a demandé :
- Maître, qui est venu dormir avec maman alors que papa était de service de nuit ?
- Tu as raison Bertrand, on ne comprend rien ici dans le fond !