Blague : Les pilotes d'avion aveugles


Les passagers d'un avion sont tous assis à leur place. Mais, au moment du départ, les pilotes ne sont pas encore arrivés. Au bout d'une demi-heure d'attente, ils arrivent et passent entre les sièges avec des lunettes foncées, des cannes blanches et un chien.

Plusieurs passagers s'étonnent et rient nerveusement à la pensée que ce sont des aveugles. Les moteurs démarrent, l'avion prend de la vitesse sur la piste, va de plus en plus vite, mais ne semble pas décoller. Les passagers regardent par la fenêtre et réalisent que l'avion se dirige tout droit vers un lac.

L'avion roule maintenant très vite, et plusieurs passagers réalisent qu'ils vont peut-être plonger dans le lac. Ils crient, et à ce moment là, l'avion décolle tout doucement.

Remis de leurs émotions, ils rient et se sentent stupides de leur peur. Dans la cabine de pilotage, l'un des pilotes tâte le tableau de bord et trouve le bouton du pilote automatique, il dit ensuite au copilote :
- Tu sais ce qui me fait peur ?
- Non ?
- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.

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Partie 3 des réflexions :

Soyez gentils avec vos enfants. Ayez toujours à l'esprit que ce sont eux qui choisiront votre maison de retraite.

Le mec qui a convaincu les aveugles de porter des lunettes de soleil est quand même un excellent commercial.

A l'école, ils nous apprennent le passé simple, ils feraient mieux de nous faire apprendre le futur compliqué.

Quand un homme dit des obscénités à une femme, c'est un pervers. Quand une femme dit des obscénités à un homme, c'est 3,95€ la minute.

J'ai postulé pour travailler dans un pressing et ils m'ont dit de repasser demain. Je ne sais pas comment le prendre.

Two beer or not two beer, that is the pression.

Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.

Il est impossible de faire 10 000 pompes par jour. Sauf si vous êtes un enfant chinois dans une usine Nike.

Une lesbienne qui n'a pas de seins, c'est une omoplate ?

Première partie

Mozart :
- Célèbre compositeur que l'on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.

Jardiland :
- Seul endroit où si tu prends trois râteaux tu as une pelle offerte.

Un meurtre de sang froid :
- Un ice-crime

Archipel :
- Outil pour creuser des archi trous.

Les ciseaux à bois :
- Les chiens aussi.

Fainéant :
- Ne jamais remettre a demain ce que tu peux faire faire après-demain.

Saturne :
- C'est quand tu es buré !

Atypique :
- T'y es mal rasé.

Psychopathe :
- Psychologue chez Lustucru.

Le Gospel :
- C'est quand ton gamin a pris un coup de soleil.


Masochisme :
- Concept proche de la politesse : frapper avant d'entrer.

Être au bout du rouleau :
- Situation très peu confortable, surtout quand on est aux toilettes.

Facebook :
- Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule.

Oui-Oui :
- Fils illégitime de Sissi.

GPS :
- Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.

Autobus :
- Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.

Taser :
- Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.

Sudoku :
- Qui a le nord en face.

Porte-clefs :
- Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un coup au lieu de les perdre une par une.

État :
- Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.

Un automobiliste, après avoir fait 6 heures de voiture, décide de s’arrêter pour faire une petite sieste. Juste au moment où il ferme les yeux, un coureur frappe à la vitre :
- Vous avez l’heure ?
- Il est 2h, répond l’autre.
- Merci !

Dix minutes plus tard, un autre coureur frappe à la vitre et dit :
- Vous avez l’heure ?
- Il est 2h10, répond l’automobiliste, exaspéré.
- Merci !

Le chauffeur, pour ne plus être dérangé, colle sur la fenêtre un papier, sur lequel est écrit : "JE N’AI PAS L’HEURE !! "
A peine vient-il de se rendormir, qu’un autre coureur frappe à la fenêtre :
- Il est 2h20, Monsieur !

Un homme se ballade dans un jardin public du centre-ville de Toulouse. Soudain, il s'immobilise et scrute fixement une passante. Il la rattrape en criant :
- Laura… Laura ! Mais oui, c’est bien toi !
Il l’embrasse et lui dit :
- Mais qu’est-ce que tu as changé, Laura ! Tu portes des lunettes, maintenant… Tu t’es laissé pousser les cheveux… Tu as changé de sac aussi, Laura !

La dame proteste :
-Mais enfin, je ne m’appelle pas Laura !
-Ça alors, Laura… c’est incroyable ! Tu as même changé de nom !