Blague : Ampoules dans les mains


Deux amis discutent de leur travail :
- Moi j’ai toute l’année des ampoules dans les mains.
- Vous faites un travail difficile?
- Non, je suis vendeur au rayon électricité.

D'autres blagues pour la catégorie Inclassable

Partie 6 des réflexions :

Il faudrait un distributeur d'apéros dans le mur pour quand ça ferme, pareil que les banques !

On s’en fout pas mal que le poulet soit élevé au bon air, après tout on ne mange pas les poumons.

Le ridicule ne tue pas, mais il t’a bien amoché.

Chaque jour, t’as 30 morts sur la route. Moi je vais rouler sur le trottoir

40 % des accidents sont provoqués par l’alcool, ça veut dire que les 60 % sont des buveurs d’eau.

Un égoïste, c’est quelqu’un qui ne pense pas à moi.

L’alcool tue, certes, mais combien sont nés grâce à lui ?

Elle est tellement bavarde qu’elle arrive à se couper la parole.

Si il y avait un concours de la bêtise, t’es tellement bête que tu finirais deuxième.

La majorité du temps, le bug est assis entre le clavier et la chaise.

Partie 5 des réflexions :

Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !

Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.

Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.

Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.

C’est toujours les cons qui l’emportent. Question de surnombre.

Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.

Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l’ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.

Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.

Une journée sans voiture ! T'as vu le bordel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !

L’intelligence artificielle n’a aucune chance en face de la stupidité naturelle.

 


A la différence de l'homme, le lézard est prêt à sacrifier sa queue pour sauver sa vie.

Jeanne d'Arc, elle a frit, elle a tout compris

Si vous parlez à Dieu, vous êtes croyant. S'il vous répond, vous êtes schizophrène

Les américains ont Steve Jobs, nous on a Paul Emploi.

La médecine du travail est la preuve que le travail est bien une maladie.

Ikéa est le meilleur prénom pour une femme : suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter

La s0d0mie c'est comme les impôts : c'est le premier tiers qui fait mal

Si la violence ne résout pas ton problème c'est que tu ne frappes pas assez fort.

Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé.

Le Lundi, je suis comme Robinson Crusoé, j'attends Vendredi.

C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.

Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !

L’histoire se passe dans un avion prêt à décoller. Tous les passagers d’un avion sont à bord mais le pilote et le copilote manquent. Le pilote arrive et traverse l’avion avec des lunettes noires et une canne blanche. Les passagers sont estomaqués et commencent à rire nerveusement quand arrive le copilote avec un chien d’aveugle. Les passagers commencent à s’inquiéter sérieusement, mais trop tard, les moteurs s’allument et l’avion démarre.

L’avion prend de plus en plus de vitesse et ne décolle pas, le bout de la piste n’est plus qu’à quelques mètres et les passagers poussent tous ensemble un immense cri de désespoir…

Ouf  les roues se détachent du sol à quelques millimètres du bout de la piste.

Dans le poste de pilotage, le pilote commente au copilote :
- Tu vas voir qu’un de ces jours on va se casser la gueule parce que ces abrutis ne vont pas crier à temps.