Blague : Ampoules dans les mains


Deux amis discutent de leur travail :
- Moi j’ai toute l’année des ampoules dans les mains.
- Vous faites un travail difficile?
- Non, je suis vendeur au rayon électricité.

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Un journaliste visite un hôpital psychiatrique et interviewe le directeur :
- Comment pouvez-vous dire si une personne a besoin d’être internée ?
- Nous remplissons une baignoire avec de l’eau et nous leur offrons une petite cuillère, un bol et 1 seau, en leur demandant de vider la baignoire.
- Je vois… Une personne normale aurait choisi le seau parce qu’il est plus gros, c’est ça ?
- Non. Une personne normale retirerait le bouchon de la baignoire… Vous voulez une chambre avec ou sans fenêtre ?

Voiture :
- Invention ingénieuse, permettant d'avoir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.

GPS :
- Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin.

Autobus :
- Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans.

Taser :
- Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse.

Sudoku :
- Qui a le Sudoku a le nord en face.

Péniche :
- C'est oune zizi portugaiche.

Porte-clefs :
- Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d'un seul coup au lieu de les perdre une par une.

Cravate :
- Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.

Parents :
- Deux personnes qui t'apprennent à marcher et à parler pour ensuite te dire de t'asseoir et de fermer ta gueule.

Titeuf :
- Ce qui sort de la TitePoule.


L’histoire se passe dans un avion prêt à décoller. Tous les passagers d’un avion sont à bord mais le pilote et le copilote manquent. Le pilote arrive et traverse l’avion avec des lunettes noires et une canne blanche. Les passagers sont estomaqués et commencent à rire nerveusement quand arrive le copilote avec un chien d’aveugle. Les passagers commencent à s’inquiéter sérieusement, mais trop tard, les moteurs s’allument et l’avion démarre.

L’avion prend de plus en plus de vitesse et ne décolle pas, le bout de la piste n’est plus qu’à quelques mètres et les passagers poussent tous ensemble un immense cri de désespoir…

Ouf  les roues se détachent du sol à quelques millimètres du bout de la piste.

Dans le poste de pilotage, le pilote commente au copilote :
- Tu vas voir qu’un de ces jours on va se casser la gueule parce que ces abrutis ne vont pas crier à temps.

Partie 2 des réflexions :

Vous rouliez a combien ? Bah... tout seul

A quoi bon tuer des baleines si c'est pour maquiller des thons

Kadhafi est parti sans dire au revoir, ce n’est pas Tripoli de sa part. C'est écrit dans la presse si tu libyen.

Ma femme me traite comme un Dieu. Elle oublie totalement mon existence sauf quand elle a besoin de moi.

C'est en se plantant qu'on devient cultivé

Les petits garçons aiment les soldats, les petites filles aiment les poupées, les grands garçons aiment les poupées, les grandes filles aiment les soldats

Ikéa est le meilleur prénom pour une femme : suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter

Tout est gratuit dans la vie, il faut juste savoir courir vite

Le taux de radiation est plus élevé au pôle emploi qu'à Tchernobyl.

Les passagers d'un avion sont tous assis à leur place. Mais, au moment du départ, les pilotes ne sont pas encore arrivés. Au bout d'une demi-heure d'attente, ils arrivent et passent entre les sièges avec des lunettes foncées, des cannes blanches et un chien.

Plusieurs passagers s'étonnent et rient nerveusement à la pensée que ce sont des aveugles. Les moteurs démarrent, l'avion prend de la vitesse sur la piste, va de plus en plus vite, mais ne semble pas décoller. Les passagers regardent par la fenêtre et réalisent que l'avion se dirige tout droit vers un lac.

L'avion roule maintenant très vite, et plusieurs passagers réalisent qu'ils vont peut-être plonger dans le lac. Ils crient, et à ce moment là, l'avion décolle tout doucement.

Remis de leurs émotions, ils rient et se sentent stupides de leur peur. Dans la cabine de pilotage, l'un des pilotes tâte le tableau de bord et trouve le bouton du pilote automatique, il dit ensuite au copilote :
- Tu sais ce qui me fait peur ?
- Non ?
- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.