Sur la route des vacances, un couple de personnes âgées s'arrête à une station-service au bord de la nationale. Le pompiste arrive et demande :
- Bonjour. Je vous fais le plein ?
- Oui allez-y, répond le vieux monsieur
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste demande :
- Alors, vous allez où comme ça ?
- On va passer les vacances à Sainte-Maxime, dans la villa de notre fille, répond le vieux.
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT OÙ ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À SAINTE-MAXIME.
Le pompiste :
- Vous avez de la chance. Vous allez avoir un grand soleil pour les 2 semaines qui arrivent.
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS.
Le pompiste :
- Et où habitez vous quand vous n'êtes pas en vacances ?
- On habite La-Ferté-sur-Orge, répond le vieux.
- Ah ouais ?! J'ai connu une fille de La-Ferté-sur-Orge un jour. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, ce n'était pas une affaire !
La vieille :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y TE CONNAIS BIEN !
C'est un homme sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet. Sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième qui est tout maigrichon et laid comme un cafard.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !
Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhht. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !
Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme, soulagée de ne pas avoir menti à un mourant, murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...
Un paysan et son jeune fils visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu’ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s’ouvrir en deux et se refermer.
Le petit garçon demanda :
- C’est quoi, Père ?
Le père qui n'avait jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c’est.
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration. Une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu’aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s’ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu’à ce que les chiffres se mettent à défiler dans l’ordre inverse. Les murs s’ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 25 ans sortit. Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !
Un paysan s'arrête au garage du coin pour faire réparer sa fourgonnette. Le garagiste ne peut pas le faire immédiatement et doit garder la fourgonnette pour l'après-midi. Le paysan se dit alors qu'il n'habite pas loin et qu'il va rentrer à pied.Sur le chemin du retour, il s'arrête dans une boutique où il achète un seau et une boîte de 10 litres de peinture. Puis il s'arrête dans une autre boutique et prend deux canards et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu'à la maison ? Pendant qu'il se gratte la tête, une petite vieille s'approche de lui et lui dit qu'elle est perdue. Elle lui demande :
- Pouvez-vous me dire comment me rendre au 58 Chemin des Figuiers ?
Le paysan lui dit :
- Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n'arrive pas à porter tout ceci.
La vieille dame suggère :
- Pourquoi ne mettez-vous pas la boîte de peinture dans le seau. Portez le seau d'une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l'oie dans l'autre main ?
- Merci bien, dit-il, et il se mit en route accompagnant la vieille dame.
En cours de route, il dit :
- Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement et dit :
- Je suis une veuve sans personne pour me défendre... Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n'allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
Le paysan dit :
- Cré vin di diou, ma petite dame, je porte un seau, une boîte de 10 litres de peinture, deux canards et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
La vieille dame répondit :
- Posez l'oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la boîte de peinture sur le seau, et je tiendrai les canards...
Un couple célèbre son 50e anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :
- Quel couple pacifique et amoureux.
Un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
- Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d'âne. Nous n'avions pas encore parcouru une grande distance que l'âne de ma femme a trébuché. Ma femme, sur un ton tranquille, a dit :
- Première fois.
Elle a fait se relever l'âne et nous avons continue. Après une courte distance l'âne trébuche de nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
- Seconde fois.
Elle a encore fait se relever l'âne et nous somme repartis. Nous n'avions pas fait la moitié d'un mile que l'âne trébuche pour une 3e fois.
Tranquillement, ma femme a sorti un pistolet de sa bourse et a tué l'âne.
C'est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m'a regardé et m'a dit d'une voix tranquille :
- Première fois.
Depuis ce jour, nous vivons heureux.
C'est l'histoire d'un vieux monsieur qui est atteint de la maladie d'Alzheimer. Son fils qui l'aime beaucoup, mais qui n'en voit plus le bout décide avec l'accord du père de le placer dans une maison de retraite médicalisée. Le jour de la séparation arrive. Le fils et son vieux se retrouvent dans le bureau de direction en compagnie de la directrice et d'une infirmière. Pendant que le fils signe les papiers, le vieux se penche tout doucement sur son côté vers la droite. L'infirmière bondit et vient arrêter le mouvement in extremis.
Quelques minutes plus tard, le vieux recommence à pencher, cette fois-ci vers la gauche. Encore une fois, l'infirmière bondit et parvient à arrêter la bascule du vieux dans sa course. Quelques temps plus tard, le corps du vieux se met à pencher en avant. Cette fois-ci, l'infirmière l'attache carrément à sa chaise.
À ce moment, le fils a fini de remplir les papiers. Il se lève et demande à son père :
- Alors papa, tu vas te plaire ici ?
Et le vieux répond:
- Ouais, je pense. Mais à mon avis, ils me laisseront jamais péter tranquillement !