Blague : Coup de fusil pour tirer un coup


Monsieur Émile est allé en ville voir le docteur. Il lui expose précisément son problème :
- Voilà docteur, je suis bien embêté, dit-il , à mon âge y en a beaucoup qui vous demanderaient du Viagra. Moi j’en ai point besoin, j’ai la zig0unette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle se met au garde à vous, je suis dans les champs, et le temps de retourner à la ferme voilà quelle regarde à nouveau mes bottes.

Le médecin hoche la tête d’un air grave. Émile continue alors son histoire :
- Vous n’auriez pas des fois un truc pour y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ?
- J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
- Tirer en l’air pour tirer un coup ? En voila une idée qu’elle est pas mauvaise !

Quelque temps plus tard voilà que Émile  débarque dans le cabinet du docteur. Il raconte comment il a mis en application la fameuse technique :
- Je viens vous voir, rapport au fusil !
- Pourquoi ça ne marche pas ?
- Oh ! ça eu marché, fait Émile , mais ça ne marche plus. Pendant tout l’été j'ai tiré en l’air… La Sylvaine rappliquait en courant au galop et hop ! je la bouriaudais dans les fougères !
- Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
- Ben… depuis l’ouverture de la chasse, je la vois plus !!!

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Un petit garçon passe l'après-midi chez sa grand-mère pendant que ses parents travaillent. Soudain on frappe à la porte, ce sont les enfants du voisin qui viennent le chercher pour aller jouer au ballon. Le petit garçon est alors partagé entre rejoindre ses camarades et abandonner la boîte de friandises que sa grand-mère lui a gentiment achetée.

Il décide de solliciter son aïeule pour lui confier la précieuse boîte :
- Grand-maman as-tu des bonnes dents ?
- Malheureusement non mon petit…
- Très bien ! Tu peux surveiller mes caramels ?

C'est un homme sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet. Sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième qui est tout maigrichon et laid comme un cafard.

Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !

Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhht. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !

Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme, soulagée de ne pas avoir menti à un mourant, murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...


Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan

Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.

Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.

Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.

Un paysan et son jeune fils visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu’ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s’ouvrir en deux et se refermer.

Le petit garçon demanda :
- C’est quoi, Père ?
Le père qui n'avait jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c’est.

Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration. Une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu’aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s’ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu’à ce que les chiffres se mettent à défiler dans l’ordre inverse. Les murs s’ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 25 ans sortit. Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !

Georges, 75 ans, va voir son médecin pour une analyse de sperme. Son médecin lui donne un petit flacon et lui dit de revenir le lendemain pour l’analyse. Le lendemain, l’homme lui remet le flacon. Ce dernier est vide et propre.

Le médecin lui demande pourquoi.
- Eh ! Bien voilà, docteur. J’ai essayé avec la main droite, sans succès. Avec la main gauche, rien non plus.
Alors, j’ai demandé à ma femme de m’aider. Elle a essayé avec la main droite puis la gauche.
Toujours rien. Ensuite, elle a essayé avec la bouche, avec ses dents, sans ses dents. Toujours sans succès.
Alors, on a demandé à la jeune voisine qui a essayé avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, avec ses dents, sans ses dents…

Le médecin, choqué, l’interrompt :
- Vous avez même demandé l’aide de la voisine ?…

- Et oui docteur. Vous voyez, on a tout essayé et on n’a toujours pas pu ouvrir ce put41n de flacon !!