Blague : Les caramels de Grand-Maman


Un petit garçon passe l'après-midi chez sa grand-mère pendant que ses parents travaillent. Soudain on frappe à la porte, ce sont les enfants du voisin qui viennent le chercher pour aller jouer au ballon. Le petit garçon est alors partagé entre rejoindre ses camarades et abandonner la boîte de friandises que sa grand-mère lui a gentiment achetée.

Il décide de solliciter son aïeule pour lui confier la précieuse boîte :
- Grand-maman as-tu des bonnes dents ?
- Malheureusement non mon petit…
- Très bien ! Tu peux surveiller mes caramels ?

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Mamie en croisière - Vieux - 08/11/2013

Une dame âgée était appuyée sur la rampe d' un bateau de croisière tenant fermement son chapeau pour qu' il ne s' envole pas dans le vent. Un jeune homme l' approcha et lui dit :
- Pardonnez-moi Madame, je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas mais saviez-vous que votre robe se soulève avec ce grand vent ?
- Oui, je sais, répondit la dame, mais j' ai besoin de mes deux mains pour tenir mon chapeau !
- Mais Madame, vous ne portez pas de culotte et vos parties intimes sont exposées à la vue de tous !

La femme regarda son interlocuteur de haut en bas et répondit :
- Cher jeune homme, ce que vous voyez plus bas date de 75 ans ... et ce chapeau est neuf d' hier !

Monsieur Émile est allé en ville voir le docteur. Il lui expose précisément son problème :
- Voilà docteur, je suis bien embêté, dit-il , à mon âge y en a beaucoup qui vous demanderaient du Viagra. Moi j’en ai point besoin, j’ai la zig0unette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle se met au garde à vous, je suis dans les champs, et le temps de retourner à la ferme voilà quelle regarde à nouveau mes bottes.

Le médecin hoche la tête d’un air grave. Émile continue alors son histoire :
- Vous n’auriez pas des fois un truc pour y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ?
- J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
- Tirer en l’air pour tirer un coup ? En voila une idée qu’elle est pas mauvaise !

Quelque temps plus tard voilà que Émile  débarque dans le cabinet du docteur. Il raconte comment il a mis en application la fameuse technique :
- Je viens vous voir, rapport au fusil !
- Pourquoi ça ne marche pas ?
- Oh ! ça eu marché, fait Émile , mais ça ne marche plus. Pendant tout l’été j'ai tiré en l’air… La Sylvaine rappliquait en courant au galop et hop ! je la bouriaudais dans les fougères !
- Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
- Ben… depuis l’ouverture de la chasse, je la vois plus !!!


Douze prêtres étaient sur le point d'être ordonnés. Leur ultime épreuve était de s'aligner entièrement dénudés dans le jardin du couvent tandis qu'une belle fille très jolies, danserait complètement dévêtue devant chacun d'eux.

Chaque futur prêtre avait une clochette fixée à son s... et il était prévu que... quiconque ferait tinter sa clochette pendant qu'elle dansait ne serait pas ordonné parce qu'il n'avait pas atteint un état de pureté spirituelle.

La fille commença à danser devant le premier candidat. Aucune réaction.

Elle procéda ainsi le long de la rangée des candidats prêtres avec la même absence totale de réaction de tous jusqu'au dernier : Yves Pauvre Yves, alors que la fille s'avançait vers lui en dansant, sa cloche sonna si fort qu'elle s'envola dans le jardin et atterrit loin devant lui.

Confus et honteux, Yves s'avança rapidement vers la clochette et se baissa pour la récupérer. C'est à ce moment que toutes les autres clochettes se mirent à carillonner...

Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan

Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.

Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.

Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.

La veuve et le paysan - Vieux - 15/07/2014

Un paysan s'arrête au garage du coin pour faire réparer sa fourgonnette. Le garagiste ne peut pas le faire immédiatement et doit garder la fourgonnette pour l'après-midi. Le paysan se dit alors qu'il n'habite pas loin et qu'il va rentrer à pied.Sur le chemin du retour, il s'arrête dans une boutique où il achète un seau et une boîte de 10 litres de peinture. Puis il s'arrête dans une autre boutique et prend deux canards et une oie.

Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu'à la maison ? Pendant qu'il se gratte la tête, une petite vieille s'approche de lui et lui dit qu'elle est perdue. Elle lui demande :
- Pouvez-vous me dire comment me rendre au 58 Chemin des Figuiers ?
Le paysan lui dit :
- Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n'arrive pas à porter tout ceci.
La vieille dame suggère :
- Pourquoi ne mettez-vous pas la boîte de peinture dans le seau. Portez le seau d'une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l'oie dans l'autre main ?
- Merci bien, dit-il, et il se mit en route accompagnant la vieille dame.

En cours de route, il dit :
- Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement et dit :
- Je suis une veuve sans personne pour me défendre... Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n'allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
Le paysan dit :
- Cré vin di diou, ma petite dame, je porte un seau, une boîte de 10 litres de peinture, deux canards et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
La vieille dame répondit :
- Posez l'oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la boîte de peinture sur le seau, et je tiendrai les canards...