Blague : Les caramels de Grand-Maman


Un petit garçon passe l'après-midi chez sa grand-mère pendant que ses parents travaillent. Soudain on frappe à la porte, ce sont les enfants du voisin qui viennent le chercher pour aller jouer au ballon. Le petit garçon est alors partagé entre rejoindre ses camarades et abandonner la boîte de friandises que sa grand-mère lui a gentiment achetée.

Il décide de solliciter son aïeule pour lui confier la précieuse boîte :
- Grand-maman as-tu des bonnes dents ?
- Malheureusement non mon petit…
- Très bien ! Tu peux surveiller mes caramels ?

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Un senior, pas vraiment en pleine forme, faisait de la musculation selon ses capacités dans une salle de gym quand il remarqua une jeune femme très jolie. Il demanda au moniteur le plus proche :
- Quelle machine vous me conseillez d' utiliser pour impressionner cette charmante petite chose là-bas ?

Le moniteur le toisa de haut en bas et lui répondit :
- Vous devriez essayer le distributeur de billets dans le hall d'entrée...

Sur la route des vacances, un couple de personnes âgées s'arrête à une station-service au bord de la nationale. Le pompiste arrive et demande :
- Bonjour. Je vous fais le plein ?
- Oui allez-y, répond le vieux monsieur
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT SI ON VOULAIT FAIRE LE PLEIN, répond le vieux en criant.
Le pompiste demande :
- Alors, vous allez où comme ça ?
- On va passer les vacances à Sainte-Maxime, dans la villa de notre fille, répond le vieux.
La vieille dame demande alors :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DEMANDAIT OÙ ON ALLAIT. JE LUI AI DIT QU'ON ALLAIT À SAINTE-MAXIME.
Le pompiste :
- Vous avez de la chance. Vous allez avoir un grand soleil pour les 2 semaines qui arrivent.
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y FERA BEAU LA-BAS.
Le pompiste :
- Et où habitez vous quand vous n'êtes pas en vacances ?
- On habite La-Ferté-sur-Orge, répond le vieux.
- Ah ouais ?! J'ai connu une fille de La-Ferté-sur-Orge un jour. Elle ne pouvait pas s'arrêter de parler, et en plus elle était nulle au lit. Vraiment, ce n'était pas une affaire !
La vieille :
- Qu'est-ce qu'y dit ?
- Y DIT QU'Y TE CONNAIS BIEN !


Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :

– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !

Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.

Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :

– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…

Une vieille femme d’environ 80 ans, va chez son médecin. Cela fait maintenant plus de 10 ans que son mari est décédé, et il lui arrive de retrouver des sensations qui lui rappellent sa jeunesse.  Arrivée dans son cabinet, elle explique au docteur qu’elle a des orgasmes répétitifs.

Après l’avoir longtemps ausculté le médecin lui dit :
- OK, je vois que vous avez un abcès sur votre clitoris.
- Ah d’accord, c’est à cause de cet abcès alors.
- Non non, c’est à cause de l’asticot qui tourne autour.

Une vieille femme de 90 ans avait décidé qu'elle en avait vu assez et fait assez dans ce monde. Il était temps pour elle de partir.
Mais sa santé était encore bonne, et il ne fallait pas compter sur le destin. Aussi, elle s'était résolu à mettre elle-même fin à ses jours. Parmi toutes les méthodes envisagées, elle avait retenu l'arme à feu. Le pistolet de son défunt mari pourrait enfin servir à quelque chose.

À ce stade de ses résolutions, elle se dit: "Je n'oserais jamais me tirer une balle dans la tête. Je vais plutôt me tirer une balle dans le cœur". Mais problème, où était exactement le cœur ? Comment être certaine de ne pas se rater ?

Alors, innocemment, elle appela son médecin par téléphone pour lui demander quel était l'emplacement exact de l'organe. "Votre coeur est situé environ 5 centimètres sous votre sein gauche" lui dit-il.

Le lendemain, la pauvre veille était admise à l'hôpital pour plaie par balle dans le genou gauche