Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste. Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou dont les adresses étaient inexistantes. Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à Dieu. Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de retour à l'intérieur. Il l'ouvrit et lut :
> Cher Dieu,
> Je suis une vieille veuve de 91 ans, qui vit sur une très petite pension.
> Hier quelqu'un m'a volé ma sacoche.
> Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
> Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
> Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriture pour les recevoir.
> Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul espoir.
> S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide ?
> Sincèrement,
> Gisèle
> 12 rue Gabriel Bernier
> 33170 Gradignan
Le travailleur postal fut très touché. Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste. Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 95 euros. Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit livrer à l'adresse de la vieille dame. Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille. Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre. Il était écrit :
> Cher Dieu,
> Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
> Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
> Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.
> Au fait, il manquait 5 euros sur le montant.
> J'ai bien peur que cela ait été volé par ces félons d'employés du Bureau de Poste.
Une vieille dame décide de s'offrir un beau cadeau pour ses 70 ans en passant une nuit dans un magnifique hôtel. Au moment de payer le lendemain matin, l'employé au comptoir lui tend une note pour 200 €. Elle demande alors pourquoi c'est si cher :
- Je suis bien d'accord que c'est un bel hôtel, mais franchement, ça ne valait pas 200 € pour juste une nuit et en plus, je n'ai pas pris de petit déjeuner !
L'employé lui répond que 200€ c'est le prix standard et que le petit déjeuner était compris et qu'elle aurait pu le prendre. Elle demande alors à parler au directeur. Celui-ci apparaît et déjà prévenu par l'employé lui annonce :
- Cet hôtel a une piscine de taille olympique et un centre de conférences tout équipé.
- Mais je ne les ai pas utilisés ! dit-elle
- Peut-être mais c'était là et vous pouviez les utiliser.
Il continua en expliquant que l'hôtel avait aussi un show très connu et qu'elle aurait pu y assister.
- Mais je n'y suis pas allée !
Et après chaque service que le directeur lui détaillait elle répondait qu'elle n'en avait pas profité. Et le directeur lui redonnait sa réponse standard :
- Mais vous auriez pu !
Au bout d'un moment, elle se décide et fait un chèque de 50 € qu'elle tend au directeur.
Celui-ci, surpris en regardant le chèque, déclare :
- Mais madame, c'est un chèque de 50 € au lieu de 200 !
- C'est vrai mais je vous ai facturé 150 € pour avoir couché avec moi.
- Mais madame, je ne l'ai pas fait ! s'exclame le directeur surpris.
- Ah ! c'est bien dommage, j'étais là et vous auriez pu en profiter !
Le club du troisième âge d'un village propose un petit voyage organisé à ses membres. Après quelques heures de trajet, le chauffeur du bus fait descendre tout le monde pour la pause pipi. Alors que tout le monde est descendu, une mamie vient faire une confidence à l'oreille du chauffeur :
- Monsieur, je pense avoir été victime d'une agression sexuelle tout à l'heure dans ce bus...
Le chauffeur, sans vouloir mettre en doute ses dires, reste tout de même dubitatif. Il lui promet néanmoins de la surveiller afin que cela ne se reproduise pas. A midi, alors que le bus s'était arrêté pour le déjeuner, une deuxième vieille dame va trouver le chauffeur et lui confie :
- Je viens d'être victime d'une agression sexuelle !
Cette fois, le chauffeur commence à considérer avec plus d'attention les propos des 2 vieilles. Il inspecte les travées à la recherche du pervers. Et il tombe sur un petit vieux qui est là, à quatre pattes entre les sièges. Il l'empoigne par la veste et lui demande :
- Bonjour monsieur,est-ce que je peux vous aider ?
Le vieux le regarde et il lui répond :
- Pour sûr que tu peux m'aider fiston !J'ai perdu ma moumoute et j'essaie de la retrouver. Par deux fois,je pensais avoir mis la main dessus,mais les 2 avaient la raie au milieu, alors que la mienne a la raie sur le côté.
Comme tous les après-midi, les deux pépés Michel et Fernand, sont assis sur un banc dans le parc. Michel dit alors :
- J'ai une folle envie de glace
- Je vais en chercher deux , que veux-tu ? répond Fernand
- Chocolat et pistache, et toi ?
- Moi, je prendrai vanille fraise.
Michel qui connait bien son ami lui dit sur un ton prévenant :
- Il vaudrais mieux que tu le notes.
- Mais non, le camion de glaces est juste là, devant !
- Note-le, je te dis que tu vas oublier.
- Non, non, je n'oublierai rien !
Fernand part en grommelant "Chocolat pistache, vanille fraise... Chocolat pist…" Après un bon quart d'heure Fernand revient avec deux saucisses et deux cornets de frites bien dorées !
Michel lui dit
- Et où est la moutarde ?
- Bon sang, je l'ai oubliée !
- Tu vois, répond Michel, je te l'avais bien dit de le noter !
Un vieil homme meurt et avait décidé de se faire incinérer. On le met dans un cercueil et puis dans l'incinérateur.
Le cercueil brûle mais pas le corps du bonhomme.
On le place dans un autre cercueil et on recommence. Pareil... le cercueil brûle mais pas le type.
Et la veuve déclare :
- Ça ne m’étonne pas, ça fait 30 ans qu’il prend des anti-inflammatoires !!!
Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…