Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…
Georges, 75 ans, va voir son médecin pour une analyse de sperme. Son médecin lui donne un petit flacon et lui dit de revenir le lendemain pour l’analyse. Le lendemain, l’homme lui remet le flacon. Ce dernier est vide et propre.
Le médecin lui demande pourquoi.
- Eh ! Bien voilà, docteur. J’ai essayé avec la main droite, sans succès. Avec la main gauche, rien non plus.
Alors, j’ai demandé à ma femme de m’aider. Elle a essayé avec la main droite puis la gauche.
Toujours rien. Ensuite, elle a essayé avec la bouche, avec ses dents, sans ses dents. Toujours sans succès.
Alors, on a demandé à la jeune voisine qui a essayé avec la main droite, la gauche, avec sa bouche, avec ses dents, sans ses dents…
Le médecin, choqué, l’interrompt :
- Vous avez même demandé l’aide de la voisine ?…
- Et oui docteur. Vous voyez, on a tout essayé et on n’a toujours pas pu ouvrir ce put41n de flacon !!
Dans un trou perdu en pleine campagne, le père et le fils bêchent lorsque, soudain, l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'étrange objet et dit à son père :
- R'garde donc l'pére c'que j'viens d'trouver !
Le père lui répond :
- Oh putain ! Une grenade de la dernière guerre et... Ho putain ! Où est la goupille ?
Le père arrache la grenade des mains du fils, la balance loin... sur les chiottes au fond du jardin et BOUMMMM...
A ce moment, la grand-mère sort du nuage de fumée en titubant et dit :
- Cré vin diou... Heureus’ment qu'j'la pas lâché dans la cuisine celui-là !
Pendant la guerre, un allemand rentre en enfonçant la porte d'une maison, se précipite sauvagement dans la pièce, casse tout, et aperçoit, dans le grenier, une adolescente, très belle, et sa grand mère apeurées. Alors il se rue sur la jeune fille, et abuse d'elle violemment. Puis, il se dirige vers la porte pour sortir.
Alors, la grand-mère en criant :
- Eh ! Pas si vite !! C'est la guerre pour tout le monde, non ?
Un couple de personnes âgées avait fêté son soixantième anniversaire de mariage. Ils s'étaient connus amis d’enfance et venaient se promener main dans la main dans le quartier de leur jeunesse; ils voulaient revoir leur ancienne école. La grille n'était pas fermée, ils sont entrés et ont retrouvé le vieux pupitre qu'ils avaient partagé, sur lequel René avait gravé : « Je t'aime, Thérèse. »
En revenant à la maison, un sac tomba d’un fourgon blindé presque à leurs pieds. Thérèse le ramassa et l’emporta à la maison. Là, elle l'ouvrit et compta... Il y avait cinquante mille euros dans le sac !
René déclara :
- Nous devons le rendre.
- Qui trouve garde, lui répondit Thérèse. Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier.
Le lendemain, deux policiers vinrent enquêter dans le quartier. Ils frappèrent à leur porte. Un policier se mit à questionner le couple sur la disparition d'un sac de billets :
- Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui est tombé d'un fourgon blindé hier ?
- Non, rétorqua sèchement Thérèse.
- Elle ment. Elle l’a caché dans le grenier, la coupa René.
- Ne le croyez pas, il est sénile, continua Thérèse.
Les agents se sont alors tournés vers René et lui ont demandé :
- Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le début.
- Bien ! poursuivit René, Thérèse et moi revenions de l’école, hier, quand...
Le premier agent se tourna vers son collègue et lui dit :
- Viens on s'en va !
C'est un pépé à l’hôpital qui se fait surprendre par l’infirmière alors qu'il est en train de se tripoter sous les draps. L’infirmière s'écrie :
- Attendez, je vais vous aider !
Et là, elle commence à l’entreprendre et lui fait une super gâterie. Le vieux n'en revient pas, mais, enchanté, lui demande :
- Mais pourquoi j'ai droit à cela ? C’est Noël ?
- Vous savez, avec le boulot qu'on a ici, j'ai plus vite fait de me rincer la bouche que de changer les draps !