Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…
Une vieille fermière, dont le mari est décédé depuis peu, doit gérer seule leur élevage bovin. Seulement voilà, son vieux fermier était le seul des deux à s'occuper de l'insémination des vaches. Or, l'une d'elle est prête pour la gestation.
Elle n'y connait donc rien, et se souvient juste de ce que lui a dit le fermier avant sa mort :
- Appelle le véto, il le fera à ma place.
Elle appelle le vétérinaire. Il lui dit qu'il passera le lendemain, et qu'il faut qu'elle installe la vache dans une pièce propre avec baquet d'eau chaude. Le jour-dit, la fermière conduit le vétérinaire dans l'étable, nettoyée de frais, vache incluse, et lui dit :
- Bon, tout est là, vous m'excuserez mais j'ai jamais voulu regarder mon mari faire.
Elle se dirige vers la sortie d'un air empressé, puis au dernier moment se retourne et lui précise :
- Sur la porte, y a un clou pour accrocher votre pantalon...
C'est un homme sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet. Sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième qui est tout maigrichon et laid comme un cafard.
Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !
Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhht. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !
Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme, soulagée de ne pas avoir menti à un mourant, murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...
Dans un trou perdu en pleine campagne, le père et le fils bêchent lorsque, soudain, l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'étrange objet et dit à son père :
- R'garde donc l'pére c'que j'viens d'trouver !
Le père lui répond :
- Oh putain ! Une grenade de la dernière guerre et... Ho putain ! Où est la goupille ?
Le père arrache la grenade des mains du fils, la balance loin... sur les chiottes au fond du jardin et BOUMMMM...
A ce moment, la grand-mère sort du nuage de fumée en titubant et dit :
- Cré vin diou... Heureus’ment qu'j'la pas lâché dans la cuisine celui-là !
Un couple célèbre son 50e anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :
- Quel couple pacifique et amoureux.
Un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.
- Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d'âne. Nous n'avions pas encore parcouru une grande distance que l'âne de ma femme a trébuché. Ma femme, sur un ton tranquille, a dit :
- Première fois.
Elle a fait se relever l'âne et nous avons continue. Après une courte distance l'âne trébuche de nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :
- Seconde fois.
Elle a encore fait se relever l'âne et nous somme repartis. Nous n'avions pas fait la moitié d'un mile que l'âne trébuche pour une 3e fois.
Tranquillement, ma femme a sorti un pistolet de sa bourse et a tué l'âne.
C'est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m'a regardé et m'a dit d'une voix tranquille :
- Première fois.
Depuis ce jour, nous vivons heureux.
C'est l'histoire d'une dame très âgée vivant a la campagne qui est sur son lit gravement malade. Le papy attend dans le sejour que le médecin lui donne la signification de la maladie de son épouse. Le médecin sort après de très longues minutes et lui dit :
- Votre femme est presque dans un état comateux !
Le papy qui n'a pas bien compris, rentre dans la chambre de sa femme. La mamie lui demande d'une voix faible :
- Qu'ek ksi ti qui l' a dit l'docteur a mon sujet ?
- Oh ché pas trop...Il a dit k'tes dans un état comme ma queue... répond le papy
La mamie:
- Non di diou, non di diou !!! Ben ch'ui pas prête d'me lever alors !!!