Blague : Gardez mes cendres près de vous


Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :

– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !

Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.

Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :

– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…

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Un paysan et son jeune fils visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu’ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s’ouvrir en deux et se refermer.

Le petit garçon demanda :
- C’est quoi, Père ?
Le père qui n'avait jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c’est.

Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration. Une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu’aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s’ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu’à ce que les chiffres se mettent à défiler dans l’ordre inverse. Les murs s’ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 25 ans sortit. Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !

Deux hommes qui viennent de fêter le début de la retraite, parlent du vieillissement et l’un dit à l’autre:
- Le pire, c’est pour nos femmes. Elles refusent d’admettre qu’elles vieillissent et essaient toujours de cacher leurs petits bobos.
L’autre lui répond :
- Tu as bien raison mais j’ai trouvé un sacré bon truc pour les prendre à leur petit jeu… Ainsi, si tu veux savoir si ta femme commence à être sourde, place-toi à 10 mètres d’elle et pose-lui une question.
Puis, quand tu verras qu’elle ne répond pas, avance-toi à 5 mètres.
Puis à 2 mètres.
Puis à 1 mètre.
Et là, elle va devoir se rendre à l’évidence qu’elle est sourde !

Le papy trouve l’idée très bonne et en entrant chez lui, il se place à dix mètres de sa femme et lui demande d’une voix forte :
- Chérie, qu’est-ce qu’on mange pour dîner ?
Pas de réponse…

Il s’approche alors de cinq mètres et lui demande à nouveau :
- Chérie, qu’est-ce qu’on mange pour dîner ?
Pas de réponse…

Il s’approche encore, à deux mètres, et lui redemande :
- Chérie, qu’est-ce qu’on mange pour dîner ?
Pas de réponse…

Le gars n’en revient pas !
Il s’approche alors à un mètre et hurle :
- Chérie, qu’est-ce qu’on mange pour dîner ?
Sa femme se retourne et lui dit, l’air agacée :
- Pour la quatrième fois : du saumon et du riz !


Le club du troisième âge d'un village propose un petit voyage organisé à ses membres. Après quelques heures de trajet, le chauffeur du bus fait descendre tout le monde pour la pause pipi. Alors que tout le monde est descendu, une mamie vient faire une confidence à l'oreille du chauffeur :
- Monsieur, je pense avoir été victime d'une agression sexuelle tout à l'heure dans ce bus...

Le chauffeur, sans vouloir mettre en doute ses dires, reste tout de même dubitatif. Il lui promet néanmoins de la surveiller afin que cela ne se reproduise pas. A midi, alors que le bus s'était arrêté pour le déjeuner, une deuxième vieille dame va trouver le chauffeur et lui confie :
- Je viens d'être victime d'une agression sexuelle !

Cette fois, le chauffeur commence à considérer avec plus d'attention les propos des 2 vieilles. Il inspecte les travées à la recherche du pervers. Et il tombe sur un petit vieux qui est là, à quatre pattes entre les sièges. Il l'empoigne par la veste et lui demande :
- Bonjour monsieur,est-ce que je peux vous aider ?
Le vieux le regarde et il lui répond :
- Pour sûr que tu peux m'aider fiston !J'ai perdu ma moumoute et j'essaie de la retrouver. Par deux fois,je pensais avoir mis la main dessus,mais les 2 avaient la raie au milieu, alors que la mienne a la raie sur le côté.

Comme tous les après-midi, les deux pépés Michel et Fernand, sont assis sur un banc dans le parc. Michel dit alors :
- J'ai une folle envie de glace
- Je vais en chercher deux , que veux-tu ? répond Fernand
- Chocolat et pistache, et toi ?
- Moi, je prendrai vanille fraise.

Michel qui connait bien son ami lui dit sur un ton prévenant :
- Il vaudrais mieux que tu le notes.
- Mais non, le camion de glaces est juste là, devant !
- Note-le, je te dis que tu vas oublier.
- Non, non, je n'oublierai rien !

Fernand part en grommelant "Chocolat pistache, vanille fraise... Chocolat pist…" Après un bon quart d'heure Fernand revient avec deux saucisses et deux cornets de frites bien dorées !

Michel lui dit
- Et où est la moutarde ?
- Bon sang, je l'ai oubliée !
- Tu vois, répond Michel, je te l'avais bien dit de le noter !

Confession publique - Vieux - 11/09/2013

Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du dimanche matin, quand tout à coup le curé dit :
- Que tous ceux qui ont commis le péché d'adultère s'avancent.

La petite vieille, un tantinet dure d'oreille, demande à son voisin :
- Qu'est-ce que vient de dire Monsieur le curé ?
Ce dernier répond :
- Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille à la menthe s'avancent.

La petite vieille, chancelante et s'appuyant sur sa canne, se lève alors avec peine. Le curé lui lance, offusqué :
- Vous Madame ? A votre âge, vous n'avez pas honte ?
- C'est pas parce que je n'ai plus mes dents que je ne suis pas capable d'en sucer une de temps en temps, vous savez !