Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…
Dans le train, le contrôleur dit à une vieille dame :
- Votre billet est pour Lille. Or ce train va à Strasbourg.
- C’est ennuyeux, grommelle la voyageuse. Et ça arrive souvent au chauffeur de se tromper comme ça ?
Dans un trou perdu en pleine campagne, le père et le fils bêchent lorsque, soudain, l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'étrange objet et dit à son père :
- R'garde donc l'pére c'que j'viens d'trouver !
Le père lui répond :
- Oh putain ! Une grenade de la dernière guerre et... Ho putain ! Où est la goupille ?
Le père arrache la grenade des mains du fils, la balance loin... sur les chiottes au fond du jardin et BOUMMMM...
A ce moment, la grand-mère sort du nuage de fumée en titubant et dit :
- Cré vin diou... Heureus’ment qu'j'la pas lâché dans la cuisine celui-là !
Trois frères, devenus adultes à présent, se réunissent. Ils discutent à propos des cadeaux d’anniversaire qu’ils venaient d’offrir à leur vieille mère.
Le premier dit : "J’ai fait construire une grande maison pour notre mère…"
Le second dit : "Je lui ai offert une belle Mercedes avec chauffeur…"
Le troisième sourit et dit : "J’ai eu une bien meilleur idée que vous. Vous savez comme Maman aime lire la bible ? Et vous savez que sa vue a énormément baissé. Je lui ai donc envoyé un perroquet remarquable qui récite la bible en entier. Cela a pris aux frères de l’église 8 ans pour le lui enseigner. C’est un spécimen rare. Maman doit seulement dire le chapitre et le verset et le perroquet récite."
Quelques jours plus tard, la mère envoie une lettre à chacun de ses fils pour les remercier :
- Jean, écrit-elle à un de ses fils, la maison que tu m’as construite est si grande. Je ne vis que dans une pièce… mais je dois nettoyer toute la maison…
- Hervé, écrit-elle à un autre, je suis trop vieille pour voyager… Je reste la plupart du temps à la maison. J’utilise rarement la Mercedes… et le chauffeur est si grossier au volant…
- Mon cher René, écrit-elle à son troisième fils, tu connais bien les goûts de ta maman… Tu sais toujours exactement ce qui pourrait me faire plaisir… Merci, le poulet était vraiment délicieux...
C'est une infirmière dans une maison de retraite. Une nuit, elle remarque qu'un de ses pensionnaires mâle sort de la chambre d'une des pensionnaires. Elle s'approche alors de lui et lui dit:
- Que faisiez-vous ici en pleine nuit ?
Le vieux monsieur répond:
- Ah... vous savez ce que c'est. Je suis vieux, j'ai besoin d'être soulagé de temps en temps ! Et Mme Martin est très efficace pour ça !
L'infirmière lui répond alors:
- Vous savez bien que nous sommes aussi formées pour cela. ce n'est pas la peine d'aller embêter les pensionnaires la nuit.
Alors le vieux monsieur:
- Ah oui, peut-être, mais Mme Martin, elle a la maladie de Parkinson.
Un paysan et son jeune fils visitaient un centre commercial. Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu’ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s’ouvrir en deux et se refermer.
Le petit garçon demanda :
- C’est quoi, Père ?
Le père qui n'avait jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n’ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c’est.
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration. Une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu’aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s’ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs. Ils continuèrent de regarder jusqu’à ce que les chiffres se mettent à défiler dans l’ordre inverse. Les murs s’ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 25 ans sortit. Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !