Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :
– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.
Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !
Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.
Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :
– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…
C'est un pépé à l’hôpital qui se fait surprendre par l’infirmière alors qu'il est en train de se tripoter sous les draps. L’infirmière s'écrie :
- Attendez, je vais vous aider !
Et là, elle commence à l’entreprendre et lui fait une super gâterie. Le vieux n'en revient pas, mais, enchanté, lui demande :
- Mais pourquoi j'ai droit à cela ? C’est Noël ?
- Vous savez, avec le boulot qu'on a ici, j'ai plus vite fait de me rincer la bouche que de changer les draps !
Une vieille femme de 90 ans avait décidé qu'elle en avait vu assez et fait assez dans ce monde. Il était temps pour elle de partir.
Mais sa santé était encore bonne, et il ne fallait pas compter sur le destin. Aussi, elle s'était résolu à mettre elle-même fin à ses jours. Parmi toutes les méthodes envisagées, elle avait retenu l'arme à feu. Le pistolet de son défunt mari pourrait enfin servir à quelque chose.
À ce stade de ses résolutions, elle se dit: "Je n'oserais jamais me tirer une balle dans la tête. Je vais plutôt me tirer une balle dans le cœur". Mais problème, où était exactement le cœur ? Comment être certaine de ne pas se rater ?
Alors, innocemment, elle appela son médecin par téléphone pour lui demander quel était l'emplacement exact de l'organe. "Votre coeur est situé environ 5 centimètres sous votre sein gauche" lui dit-il.
Le lendemain, la pauvre veille était admise à l'hôpital pour plaie par balle dans le genou gauche
Monsieur Émile est allé en ville voir le docteur. Il lui expose précisément son problème :
- Voilà docteur, je suis bien embêté, dit-il , à mon âge y en a beaucoup qui vous demanderaient du Viagra. Moi j’en ai point besoin, j’ai la zig0unette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle se met au garde à vous, je suis dans les champs, et le temps de retourner à la ferme voilà quelle regarde à nouveau mes bottes.
Le médecin hoche la tête d’un air grave. Émile continue alors son histoire :
- Vous n’auriez pas des fois un truc pour y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ?
- J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
- Tirer en l’air pour tirer un coup ? En voila une idée qu’elle est pas mauvaise !
Quelque temps plus tard voilà que Émile débarque dans le cabinet du docteur. Il raconte comment il a mis en application la fameuse technique :
- Je viens vous voir, rapport au fusil !
- Pourquoi ça ne marche pas ?
- Oh ! ça eu marché, fait Émile , mais ça ne marche plus. Pendant tout l’été j'ai tiré en l’air… La Sylvaine rappliquait en courant au galop et hop ! je la bouriaudais dans les fougères !
- Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
- Ben… depuis l’ouverture de la chasse, je la vois plus !!!
Un petit garçon passe l'après-midi chez sa grand-mère pendant que ses parents travaillent. Soudain on frappe à la porte, ce sont les enfants du voisin qui viennent le chercher pour aller jouer au ballon. Le petit garçon est alors partagé entre rejoindre ses camarades et abandonner la boîte de friandises que sa grand-mère lui a gentiment achetée.
Il décide de solliciter son aïeule pour lui confier la précieuse boîte :
- Grand-maman as-tu des bonnes dents ?
- Malheureusement non mon petit…
- Très bien ! Tu peux surveiller mes caramels ?
Un paysan s'arrête au garage du coin pour faire réparer sa fourgonnette. Le garagiste ne peut pas le faire immédiatement et doit garder la fourgonnette pour l'après-midi. Le paysan se dit alors qu'il n'habite pas loin et qu'il va rentrer à pied.Sur le chemin du retour, il s'arrête dans une boutique où il achète un seau et une boîte de 10 litres de peinture. Puis il s'arrête dans une autre boutique et prend deux canards et une oie.
Mais, arrivé laborieusement dehors, il a un problème : comment porter tous ses achats jusqu'à la maison ? Pendant qu'il se gratte la tête, une petite vieille s'approche de lui et lui dit qu'elle est perdue. Elle lui demande :
- Pouvez-vous me dire comment me rendre au 58 Chemin des Figuiers ?
Le paysan lui dit :
- Eh bien, en fait, ma ferme est tout près de cette maison. Je me mettrais bien en route, mais je n'arrive pas à porter tout ceci.
La vieille dame suggère :
- Pourquoi ne mettez-vous pas la boîte de peinture dans le seau. Portez le seau d'une main, mettez une poule sous chaque bras et portez l'oie dans l'autre main ?
- Merci bien, dit-il, et il se mit en route accompagnant la vieille dame.
En cours de route, il dit :
- Prenons mon raccourci et descendons par ce sentier. Nous y serons en un rien de temps.
La petite vieille le regarde attentivement et dit :
- Je suis une veuve sans personne pour me défendre... Qui me dit que quand nous serons dans le sentier vous n'allez pas me coincer contre un mur, retrousser ma jupe et me faire Dieu sait quoi ?
Le paysan dit :
- Cré vin di diou, ma petite dame, je porte un seau, une boîte de 10 litres de peinture, deux canards et une oie. Comment diable pourrais-je vous coincer contre le mur et faire ça ?
La vieille dame répondit :
- Posez l'oie, recouvrez-la avec le seau, mettez la boîte de peinture sur le seau, et je tiendrai les canards...