Blague : Gardez mes cendres près de vous


Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :

– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !

Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.

Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :

– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…

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La vieille fermière - Vieux - 20/06/2013

Une vieille fermière, dont le mari est décédé depuis peu, doit gérer seule leur élevage bovin. Seulement voilà, son vieux fermier était le seul des deux à s'occuper de l'insémination des vaches. Or, l'une d'elle est prête pour la gestation.

Elle n'y connait donc rien, et se souvient juste de ce que lui a dit le fermier avant sa mort :
- Appelle le véto, il le fera à ma place.

Elle appelle le vétérinaire. Il lui dit qu'il passera le lendemain, et qu'il faut qu'elle installe la vache dans une pièce propre avec baquet d'eau chaude. Le jour-dit, la fermière conduit le vétérinaire dans l'étable, nettoyée de frais, vache incluse, et lui dit :
- Bon, tout est là, vous m'excuserez mais j'ai jamais voulu regarder mon mari faire.

Elle se dirige vers la sortie d'un air empressé, puis au dernier moment se retourne et lui précise :
- Sur la porte, y a un clou pour accrocher votre pantalon...

Trois frères, devenus adultes à présent, se réunissent. Ils discutent à propos des cadeaux d’anniversaire qu’ils venaient d’offrir à leur vieille mère.

Le premier dit : "J’ai fait construire une grande maison pour notre mère…"
Le second dit : "Je lui ai offert une belle Mercedes avec chauffeur…"
Le troisième sourit et dit : "J’ai eu une bien meilleur idée que vous. Vous savez comme Maman aime lire la bible ? Et vous savez que sa vue a énormément baissé. Je lui ai donc envoyé un perroquet remarquable qui récite la bible en entier. Cela a pris aux frères de l’église 8 ans pour le lui enseigner. C’est un spécimen rare. Maman doit seulement dire le chapitre et le verset et le perroquet récite."

Quelques jours plus tard, la mère envoie une lettre à chacun de ses fils pour les remercier :

- Jean, écrit-elle à un de ses fils, la maison que tu m’as construite est si grande. Je ne vis que dans une pièce… mais je dois nettoyer toute la maison…

- Hervé, écrit-elle à un autre, je suis trop vieille pour voyager… Je reste la plupart du temps à la maison. J’utilise rarement la Mercedes… et le chauffeur est si grossier au volant…

- Mon cher René, écrit-elle à son troisième fils, tu connais bien les goûts de ta maman… Tu sais toujours exactement ce qui pourrait me faire plaisir… Merci, le poulet était vraiment délicieux...


Un couple de personnes âgées avait fêté son soixantième anniversaire de mariage. Ils s'étaient connus amis d’enfance et venaient se promener main dans la main dans le quartier de leur jeunesse; ils voulaient revoir leur ancienne école. La grille n'était pas fermée, ils sont entrés et ont retrouvé le vieux pupitre qu'ils avaient partagé, sur lequel René avait gravé : « Je t'aime, Thérèse. »

En revenant à la maison, un sac tomba d’un fourgon blindé presque à leurs pieds. Thérèse le ramassa et l’emporta à la maison. Là, elle l'ouvrit et compta... Il y avait cinquante mille euros dans le sac !

René déclara :
- Nous devons le rendre.
- Qui trouve garde, lui répondit Thérèse. Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier.

Le lendemain, deux policiers vinrent enquêter dans le quartier. Ils frappèrent à leur porte. Un policier se mit à questionner le couple sur la disparition d'un sac de billets :
- Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui est tombé d'un fourgon blindé hier ?
- Non, rétorqua sèchement Thérèse.
- Elle ment. Elle l’a caché dans le grenier, la coupa René.
- Ne le croyez pas, il est sénile, continua Thérèse.

Les agents se sont alors tournés vers René et lui ont demandé :
- Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le début.
- Bien ! poursuivit René, Thérèse et moi revenions de l’école, hier, quand...

Le premier agent se tourna vers son collègue et lui dit :
- Viens on s'en va !

Confession publique - Vieux - 11/09/2013

Fidèle à ses habitudes, une petite vieille assiste à la messe du dimanche matin, quand tout à coup le curé dit :
- Que tous ceux qui ont commis le péché d'adultère s'avancent.

La petite vieille, un tantinet dure d'oreille, demande à son voisin :
- Qu'est-ce que vient de dire Monsieur le curé ?
Ce dernier répond :
- Il a dit que tous ceux qui désirent une pastille à la menthe s'avancent.

La petite vieille, chancelante et s'appuyant sur sa canne, se lève alors avec peine. Le curé lui lance, offusqué :
- Vous Madame ? A votre âge, vous n'avez pas honte ?
- C'est pas parce que je n'ai plus mes dents que je ne suis pas capable d'en sucer une de temps en temps, vous savez !

Pendant un repas de famille, Mamie plombe l'ambiance :
- Les enfants, je sais où je veux être enterrée...

Devant les regards gênés de la famille, elle poursuit :
- Sous le parking de chez Leclerc !

La famille est de plus en plus gênée et l'un des fils demande :
- Mais quelle idée! Vraiment !
- Si, si, répond la mamie, ainsi, je vous verrai tous une fois par semaine!