C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.
Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !
L'histoire se passe dans une caserne de l'armée de terre, le matin à l'appel :
- Franck Manko : "présent"
- Marc Senim : "présent"
- Isabelle Weber : "présent".
Le gradé intrigué demande :
- Isabelle Weber, sortez du rang.
Un grand type s'avance, 1m95, 120 kilos, tatoué, portant la barbe. Le gradé poursuit :
- Comment cela se fait-il que vous vous appeliez Isabelle ?
- Yop, la faute de mon papa ! A la marie, ils ont demandé comment s'appelait son fils et il a répondu avec l'accent alsacien :
- Y s'appelle Weber.
Deux fous décident de dormir dans la rue. Au moment de se coucher ils cherchent le meilleur endroit pour passer la nuit en toute sécurité. Le premier propose alors :
- Tiens, on devrait se mettre contre cet arbre là.
- Crois-moi, on sera bien plus à l’abri au milieu de la route !
Ils s’installent donc au milieu de la route. Une voiture arrive à toute vitesse et, pour éviter les deux fous, le conducteur donne un violent coup de volant et va s’encastrer dans l’arbre.
- Alors tu vois que j’avais raison. On serait mort maintenant !
Un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi.
Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque ?
Pour vomir, mets un doigt dans la gorge et l'autre dans ton cuI et si ça ne marche pas, inverse.
La lampe torche. Le PQ aussi.
Parler à un c0n, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat
L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne.
Après avoir raté son examen, un étudiant demande un entretien à son professeur et lui demande :
- Monsieur, comprenez-vous vous-même quelque chose au sujet de l'examen ?
- Cela va de soi, sinon je ne serais pas professeur.
- Bon, alors j'aimerais vous poser une question. Si vous pouvez me donner la bonne réponse, j'accepte la note insuffisante de mon examen. Si toutefois vous n'y parveniez pas, vous me donnerez un 20/20. D'accord ?
- D'accord. Quelle est la question ?
- Qu'est-ce qui est légal, mais pas logique, logique mais pas légal et en plus, ni logique ni légal ?
Après une longue réflexion et avoir pris en considération toutes les possibilités qui lui venaient à l'esprit, le professeur donne sa langue au chat et change la note de l'étudiant en 20/20.
Étant toutefois frustré, il décide de soumettre la question à son meilleur étudiant. Ce dernier lui répond directement :
- Vous avez 65 ans et vous êtes marié à une femme de 30 ans. Ce qui est légal mais pas logique. Votre épouse a un amant de 25 ans, ce qui est logique mais pas légal. Mais le fait que vous ayez donné un 20/20 à l'amant de votre femme, alors qu'il a raté son examen, ça, ce n'est ni logique, ni légal !
A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !