Blague : Réincarnation dans le Gers


C’est l’histoire de deux amis très proches. Tellement proches qu’ils partagent tout, ils sont tous les jours ensemble. Ils se font même une promesse mutuelle : le premier qui meurt réserve une place à l’autre dans l’au-delà.

Et ce qui devait arriver arriva : un des deux compères décède peu de temps après. Le deuxième n’a pas la force d’attendre de mourir lui aussi pour retrouver son ami. Il décide donc de consulter une voyante spécialisée avec les dialogues avec l'au-dela pour entrer en communication avec lui :
- Alors comment ça va ?
- Je vais bien merci, la vie est fantastique ici…
- Hé bien raconte ! Comment se passent tes journées ?
- Je me lève le matin et crac-crac, tu vois ce que je veux dire, un peu d’exercice dès le lever, puis je prends mon petit-déjeuner et crac-crac. Je déjeune et là-dessus crac-crac jusqu’au dîner. Finalement quelque crac-crac avant de dormir et voilà…
- Le rêve… alors tu me la réserves cette place au paradis hein…
- Mais je ne suis pas au paradis, je suis dans un élevage de lapins dans le Gers !

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A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.

Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.

Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?

L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !

Zé doit faire un tour chez le coiffeur , rapport à la nuque longue.

- Allez chef, c’est à nous. Zou, assieds toi là ... Alors, comme je te les coupe.

- Ecoute-moi bien : tu vas me faire une spéciale... Tu me fais une fausse raie sur la gauche avec une frange mi longue devant. Derrière tu me fais un dégradé asymétrique... asymétrique, tu m’entends bien... A droite tu me frises un peu, léger, hein pas de trop, mais que ça ce voit quand même... , la patte de droite tu la laisses plus longue que celle de gauche et au dessus des oreilles, tu me fais des zigzags.

- Oh, Zé, t’ies gaga ? C'est quoi, cette coupe ?

- C'est quoi cette coupe, tu me dis, figure de poulpe ? C'est celle que tu m'as fait le mois dernier.


Partie 5 des réflexions :

Ma femme peut pas me quitter, je suis jamais là !

Il a perdu son taxi parce qu'il buvait trop, maintenant il est chauffeur de car en Bretagne.

Je n'achète rien quand c'est fabriqué par des enfants du tiers-monde, ça se casse tout de suite.

Je suis chômeur occasionnel et en ce moment c'est l'occasion.

C’est toujours les cons qui l’emportent. Question de surnombre.

Le naturisme, sur le dépliant c'est des jeunes filles à poil sur la plage mais quand tu y es, c'est que des retraités de la SNCF.

Mieux vaut se taire et passer pour un con que de l’ouvrir et ne laisser aucun doute sur le sujet.

Quand tu tues ta femme, c'est pas la peine de prendre la fuite, elle va pas te courir après.

Une journée sans voiture ! T'as vu le bordel ? Des embouteillages partout ! Dans ce cas-là qu'ils fassent une journée sans pognon !

L’intelligence artificielle n’a aucune chance en face de la stupidité naturelle.

 

C'est l'histoire d'un vieux fermier avec sa vache, qui font du stop au bord de la nationale. Un homme s'arrête et le paysan monte dans la voiture. Le conducteur lui demande :
- Et votre vache ?
- Ne vous inquiétez pas, on va l'accrocher derrière ; elle a l'habitude de suivre.

La voiture démarre, le trajet commence tranquillement. A 40 km/h , la vache suit en trottinant. Le conducteur accélère alors un peu jusqu'à 60 km/h. La vache suit toujours. A 80 km/h, la vache est toujours là sans problème apparent. Le conducteur commence à s'énerver, et accélère encore. Le petit jeu se poursuit jusqu'aux limites de sa voiture. À 160 km/h , le conducteur regarde dans son rétroviseur puis, triomphant, s'adresse au paysan :
- Elle fatigue, votre vache ; elle tire la langue.
- De quel côté ?
- Euh ? A gauche.
- Alors, c'est qu'elle veut doubler !

Deux chasseurs parlent ensemble :
- Tiens ! Tu as fait un nœud aux oreilles de ton chien ?
- Oui, c’est pour penser à acheter du gibier en rentrant !