Deux adolescents se font prendre par la gendarmerie pour avoir fumé de l'herbe. Au moment de leur passage au tribunal, le juge, magnanime, leur dit :
- J'aimerais vous donner une seconde chance avant de vous expédier en prison. Avant la fin de cette semaine, vous devez rencontrer et convaincre le plus grand nombre de personnes intoxiquées. Je vous reverrai ici-même mardi pour faire le bilan.
Mardi arrive et nos deux p'tits mecs sont de retour devant le juge :
- Alors, quels résultats avez-vous obtenu ?
Le premier garçon se lève et annonce fièrement :
- Votre honneur, j'ai réussi à convaincre 19 personnes d'arrêter totalement la drogue.
- Dix-neuf personnes ? C'est très bien. Comment êtes-vous arrivé à cela ?
- Je leur ai montré un petit dessin, votre honneur. J'ai dessiné deux cercles : un grand et un petit. Puis je leur ai dit : Ceci (le grand cercle) c'est votre cerveau avant la drogue et ceci (petit cercle) c'est votre cerveau après la drogue.
- Excellente démonstration ! Et vous (au deuxième garçon), votre bilan ?
- Votre honneur, j'ai persuadé 158 personnes d'abandonner la drogue à tout jamais.
- Cent cinquante-huit personnes ! C'est exceptionnel ! Par quel moyen avez-vous pu arriver à un tel réultat ?
- Eh bien j'ai utilisé la même approche en plus simple. Je leur ai dit (pointant le petit cercle): ça, c'est votre tr0u du cuI avant la prison...
Exercice de mise en situation posé aux ingénieurs en aérospatial lors des tests d'embauche à la NASA.
Vous êtes au volant d’une voiture et vous roulez à vitesse constante.
A votre droite, le vide… A votre gauche, un camion de pompiers qui roule à la même vitesse et dans la même direction que vous.
Devant vous, un cochon, qui est plus gros que votre voiture !
Derrière vous, un hélicoptère qui vous suit, en rase-motte.
Le cochon et l’hélicoptère vont à la même vitesse que vous.
Face à tous ces éléments, comment faites-vous pour vous arrêter ?
C’est simple, vous descendez du manège !
A la piscine, un nageur se fait enguirlander parce qu'il a fait pipi dans l'eau.
- Mais enfin, proteste-t-il, vous exagérez, je ne suis pas la seule personne à faire ça !
- Si, monsieur, du haut du plongeoir, vous êtes le seul !
Un égoïste, c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi.
Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque ?
Pour vomir, mets un doigt dans la gorge et l'autre dans ton cuI et si ça ne marche pas, inverse.
La lampe torche. Le PQ aussi.
Parler à un c0n, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat
L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne.
A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !
Les passagers d'un avion sont tous assis à leur place. Mais, au moment du départ, les pilotes ne sont pas encore arrivés. Au bout d'une demi-heure d'attente, ils arrivent et passent entre les sièges avec des lunettes foncées, des cannes blanches et un chien.
Plusieurs passagers s'étonnent et rient nerveusement à la pensée que ce sont des aveugles. Les moteurs démarrent, l'avion prend de la vitesse sur la piste, va de plus en plus vite, mais ne semble pas décoller. Les passagers regardent par la fenêtre et réalisent que l'avion se dirige tout droit vers un lac.
L'avion roule maintenant très vite, et plusieurs passagers réalisent qu'ils vont peut-être plonger dans le lac. Ils crient, et à ce moment là, l'avion décolle tout doucement.
Remis de leurs émotions, ils rient et se sentent stupides de leur peur. Dans la cabine de pilotage, l'un des pilotes tâte le tableau de bord et trouve le bouton du pilote automatique, il dit ensuite au copilote :
- Tu sais ce qui me fait peur ?
- Non ?
- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.