Blague : Avoir un jour de congé supplémentaire


Un employé prend rendez-vous avec son DRH car il a besoin de prendre une journée de congé supplémentaire. Le DRH dont l'objectif est ne pas céder à tous les caprices de ses collaborateurs lui fait part de son analyse du problème :
- Voyons un peu ça : Il y a 365 jours dans une année et 52 semaines dans cette même année, et chaque semaine tu disposes déjà de deux jours pendant lesquels tu ne travailles pas, ce qui laisse 261 jours disponibles pour le travail.
- Puisque tu passes 16 heures par jour ailleurs que sur ton lieu de travail, tu utilises 170 jours et il ne te reste que 91 jours disponibles pour le travail.
- Tu prends chaque jour 30 minutes de pause café et une heure de pause déjeuner; ce qui te fait 69 jours par an à retirer : Il ne te reste donc que 22 jours.
- Tu es généralement malade 2 jours par an, il ne te reste donc que 20 jours disponibles pour le boulot. Et la boite ferme pour cause d'inventaire pendant 5 jours dans l'année, donc il te reste 15 jours disponibles.
- On te donne généreusement 14 jours de vacances chaque année ce qui fait qu'il te reste 1 jour pour travailler.
- Et tu voudrais que je te donne cette journée comme jour de congé ?

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Un agriculteur excédé de se faire voler des pastèques toutes les nuits par des gosses du village décide d'employer les grands moyens. Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit: "Attention ! Une de ces pastèques a été injectée avec du cyanure. Mortel !"

Le lendemain matin, alors qu'il patrouille dans son champ, il constate avec satisfaction que personne n'a touché à ses pastèques. Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une nouvelle pancarte qui n'est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s'approche... pour lire : " Maintenant, deux pastèques sont injectées au cyanure ! "

Marco revient au bureau après 15 jours d'arrêt maladie. Ses collègues viennent aux nouvelles :
- Alors tu vas mieux ?
- Oui et ça a été pour moi une expérience magnifique !
- La grippe, une expérience magnifique ?
- Oui, parce que j'ai compris à quel point ma femme m'aimait !
- Comment ça...
- Et bien à chaque fois que le facteur sonnait, elle ne pouvait s'empêcher de crier sa joie : Mon mari est à la maison ! Mon mari est à la maison !!!


Délit d'initié - Travail - 14/04/2013

Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.

Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?

Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !

Un représentant, une employée de bureau et un directeur du personnel sortent du bureau à midi et marchent vers un petit restaurant, lorsqu'ils trouvent sur un banc, une vieille lampe à huile. Ils la frottent et un génie s'en échappe :
- D'habitude, j'accorde trois souhaits, mais comme vous êtes trois, vous n'en aurez qu'un chacun.

L'employée de bureau bouscule les deux autres en gesticulant :
- A moi, à moi ! Je veux être sur une plage immaculée des Bahamas, en vacances perpétuelles, sans aucun souci qui pourraient m'empêcher de profiter de la vie !
Et pouf, l'employée de bureau disparaît.

Le représentant s'avance à son tour :
- A moi, à moi ! Je veux siroter une Pina Colada sur une plage de Tahiti avec la femme de mes rêves !
Et pouf, le représentant disparaît.

Il ne reste plus que le directeur du personnel en face du génie.
- C'est à toi dit le génie en regardant le directeur du personnel.
- Je veux que ces deux là soient de retour au bureau après la pause déjeuner...

Morale : En règle générale, laissez toujours les chefs s'exprimer en premier, et méfiez vous du Directeur des ressources humaines...

Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l'école de Gendarmerie.
- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
- Rémi, et vous ?

Le capitaine, furieux, s'écrie :
- Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle "Mon CAPITAINE". De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Rémi Tartempion, je vous appellerai "Tartempion", pas Rémi. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui, mon capitaine.
- Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
- Montcherry.
- Très bien, Rémi, au travail.