Un dimanche matin, tous les habitants d'un petit village se levèrent tôt pour se rendre à l'église pour assister au sermon dominical du prêtre Frédéric. Avant que le service religieux n'ait commencé, les villageois prirent place sur les bancs et parlèrent de leurs vies, de leurs familles... Soudain, Satan apparut dans l'église. Chacun commença à crier, à s'agiter, à courir dans tous les sens afin de s'éloigner du mal incarné.
Tout le monde a évacué l'église, excepté un vieux monsieur, assis calmement, apparemment inconscient de cette présence démoniaque. Satan est un peu déstabilisé devant cette réaction, il marcha vers l'homme est dit :
- Vous ne savez pas qui je suis ?
L'homme répondit :
- Naturellement que je le sais !
Satan demanda alors :
- Vous n'êtes pas effrayé par ma présence ?
- Oh que non ! répondit l'homme.
- Mais pourquoi donc ? s'énerva Satan.
L'homme répondit calmement :
- Oh vous savez, je suis marié depuis 48 ans...
Un jeune marié en voyage de noces a quitté son épouse pour aller faire une partie de pêche. Sur le bord de la rivière, il rencontre un de ses potes.
- Comment, tu n'es pas avec ta femme ?
- Ben non, tu sais combien j'aime la pêche...
- Tout de même, tu aurais pu rester consommer un peu ton mariage...
- Ben non, elle a une infection vaginale... Et tu sais combien j'aime la pêche...
- D'accord, mais à ce moment là tu pouvais tout de même l'embrasser un peu ?
- Ben non, elle a des abcès dentaires et toutes ses dents sont gâtées... Et tu sais combien j'aime la pêche.
- Bon, mais alors pourquoi tu ne l'as pas emmenée faire une promenade ?
- Impossible, elle a un pied bot. Et tu sais combien j'aime la pêche.
- Excuse-moi, mon pote, mais si elle a autant de problèmes, pourquoi l'as-tu épousée ?
- Ben c'est qu'en plus elle a des vers. Et tu sais combien j'aime la pêche...
C'est l'histoire d'un couple de motards. Thierry rêve depuis longtemps d'une nouvelle paire de bottes. Un jour, il en voit une belle paire à son BMW Store de Sucy-en-Brie et il décide de les acheter. Il rentre chez lui et demande à sa femme :
- Est-ce que tu remarques quelque chose de différent sur moi ?
Elle le regarde et répond :
- Non ! Pourquoi ?
Frustré, Thierry s'enferme dans la salle de bain, se déshabille et en ressort complètement nu, mais portant toujours ses belles nouvelles bottes. Il redemande à sa femme :
- Et alors, est-ce que tu remarques quelque chose de différent maintenant ?
Elle le regarde et lui répond :
- Qu'est-ce qu'il y a de différent ? Elle pendait hier, elle pend aujourd'hui et elle va encore pendre demain.
Furieux, Thierry s'écrie :
- Si elle pend, c'est parce qu'elle admire mes nouvelles bottes !
Et sa femme lui répond :
- T'aurais dû t'acheter un nouveau casque !
Un garçon écrit a une fille qu'il aime :
- Le matin,je ne mange as car je pense à toi.
- A midi,je ne mange pas car je pense à toi.
- Le soir, je ne mange pas car je pense à toi.
- Et la nuit je ne dors pas car j'ai faim...
C'est un couple anglais qui veut faire un bébé mais qui ne sait pas comment s'y prendre. Ils se rendent chez le gynéco.
- Ow, docteur, comment faisons nous les baby ?
- Euh... et bien...(gêné) monsieur met son point faible dans celui de madame...
- Ow, d'accord, merci docteur !
Ils rentrent chez eux et la femme demande à son mari :
- Ow, darling, quel est ton point faible ?
- Moi je crois que c'est mon derrière, et toi ?
- Moi je crois que c'est mon oreille.
Elle pose son oreille sur son cul et il pète un gros coup. La femme s'exclame alors :
- Ow, darling, je crois que j'entends le bébé arriver en mobylette !
C'est l'histoire de deux jeunes mariés, quelques mois après le mariage. L'air préoccupé, la jeune épouse invite son mari à se confier :
- Je sais que tu as connu pas mal d'autres femmes dans ta vie, dit-elle, mais j'aimerais que tu me dises combien il y en a eu vraiment...
Son époux lui répond :
- Écoute, je ne voudrais pas t'énerver tu sais. Tu devrais te contenter de savoir qu'il y en a eu quelques unes, c'est tout.
Mais comme toujours, mue par une curiosité irrésistible, la femme insiste. Et pour avoir la paix, le mari finit par céder :
- Alors voyons, réfléchit-il à haute voix, il y a eu la première, la deuxième, la troisième, la quatrième, la cinquième, toi , la septième, la huitième...