Blague : Les comptables sont radins


Deux comptables sont dans une banque à l'instant où un groupe de voleurs armés y font irruption pour un braquage. Pendant que certains d'entre eux extorquent de l'argent aux caissiers, les autres font mettre les clients en rangs, y compris les deux comptables, et commencent à les dépouiller de leur porte-monnaie, de leur montre et de leurs bijoux.

L'un des comptables profite de ce moment pour presser quelque chose dans la main de son collègue. Sans regarder, ce dernier murmure :
- Qu'est-ce que c'est?
Et l'autre de répondre :
- Ce sont les 100€ que je te devais.

D'autres blagues pour la catégorie Travail

Un riche industriel s'adresse à un ami ministre en ces termes :
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, il ne cherche même pas de travail, il passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon Chef De cabinet, avec un traitement de 6.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai chargé de mission en chef, à 5.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... chargé de mission alors? 2.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie, et il débuterait à moins de 1.200 euros par mois.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours...

Vieille habitude - Travail - 12/04/2013

Un gars, dans un taxi, veut parler au chauffeur. Il se penche et, pour attirer son attention, lui tape gentiment sur l'épaule.

Le chauffeur jette un cri horrible, s'agrippe au volant et appuie sur l'accélérateur, si bien qu'il sort de la route et va s'écraser sur un platane.

Le pauvre client, tout secoué, s'excuse auprès du chauffeur :
- Je ne voulais vraiment pas vous faire peur, mais que s'est-il passé ?

Le chauffeur répond :
- Ce n'est vraiment pas votre faute. C'est ma première journée comme chauffeur de taxi. Avant je conduisais des corbillards…


A la clinique privée « La renaissance », un tout jeune chirurgien, fraichement diplômé, vient de terminer sa première intervention.

En sortant du bloc opératoire, il tombe nez à nez avec le Professeur Sanpierro, directeur de la clinique.

Le jeune chirurgien le salue :
– Bonjour, Professeur

Le Professeur lui rend son salut et l'interroge sur ses débuts dans son nouvel emploi :
– Bonjour, jeune homme. Alors, cette première opération, comment s’est-elle déroulée ?

Le jeune chirurgien :
– Comment ça, Professeur ? Quelle opération ? Ce n’était pas une autopsie ?

Deux types se baladent en montgolfière au-dessus de la campagne bourguignonne. Le brouillard tombant de plus en plus, ils finissent par descendre jusqu'à atterrir dans un champ. Aucune indication leur permet de savoir où ils se trouvent. Quand tout d'un coup, miracle... Ils voient arriver un homme à vélo...

Il décident alors de lui demander des indications quant au lieu dans lequel ils se sont posés :
- Ohé mon brave monsieur, pourriez-vous nous dire où nous nous trouvons, s'il vous plaît ?
Le type réfléchit dix secondes et répond :
- Eh bien, vous êtes dans la nacelle d'une montgolfière qui vient d'atterrir dans un pâturage où d'habitude il y a des vaches, de l'autre côté de la barrière qui marque la limite du pré et de la route sur laquelle je me trouve avec ma bicyclette à la main pendant que je réponds à la question que vous m'avez posée...
- Aaaaaahhh dit l'un des deux voyageurs à l'autre. Tu vois, ça c'est un expert-comptable.
- Comment peux-tu le savoir ? dit l'autre.
- Pas difficile, c'est un type qui donne des informations extrêmement précises mais complètement inutiles pour prendre une décision...

Tous pourris - Travail - 13/04/2013

Lundi à l'atelier, un jeune apprenti se plaint à son collègue de travail :
- J'en ai marre de ce monde d'individualistes. Personne n'est prêt à lever le petit doigt pour aider son prochain...
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ? demande l'autre.
- Regarde, ce week-end, mon beau-frère est venu manger à la maison. Comme je dois réparer mon Peugeot, je lui demande :

- Tu pourrais pas me prêter 100 euros pour que je puisse réparer mon scooter?. Eh bien, tu me croiras si tu veux, ce pourri me les a refusés !

Et le collègue:
- Je te préviens tout de suite : moi aussi je suis un pourri !