C’est le petit chaperon rouge qui va apporter une galette à sa mère-grand. Tout d’un coup, il rencontre le loup derrière un arbre et lui dit :
- Qu’est-ce que tu as de grands yeux ! Et là, le loup prend peur et s’en va en courant.
Le petit chaperon un peu surpris continue son chemin. Un peu plus loin, il revoit le loup derrière un rocher et lui dit :
- Qu’est-ce que tu as de grandes yeux ! Là, pareil le loup s’en va en courant.
Le petit chaperon continue alors sa route, sûr de lui et revoit le loup derrière un buisson. Il lui dit:
- Qu’est-ce que tu as de grandes dents !?
Et là le loup énervé lui répond :
- Bon tu vas me laisser ch1er tranquillement maintenant ?
C'est un garçon qui va voir son père, tout fier :
- Papa, papa, je viens de faire l'amour !
- Oh ! Très bien ! Et quand recommences-tu ?
Et la, le garçon, hésitant :
- Ben, je sais pas... Ça fait quand même très mal au cul...
Un petit gamin se lève pendant la nuit pour aller aux toilettes. En passant devant la chambre de sa grande sœur, il entend du bruit. Il colle son oreille à la porte et entend sa sœur qui dit :
- Oh ! C’est bon. C’est bon…! Encore !
Le lendemain matin, pendant le petit déjeuner avec toute la famille, il demande au copain de sa sœur :
- Dis Hubert, c’est quoi que tu donnais à manger à Viviane pendant la nuit? Elle disait que c’était bon.
Hubert est très embarrassé devant les parents de Viviane et fini par lui répondre :
- Ah oui, c’était du chocolat !
- Ah… Ah … Menteur va ! Ce n’est pas vrai, c’était du saucisson ! J’ai retrouvé la peau sous le lit !
En arrivant de l'école, le jeune Luis va voir son père pour avoir des explications sur sa leçon d'histoire de l'après-midi :
- Papa, comment commencent les guerres?
- Eh bien, mon garçon, imaginons que les États-Unis et l'Afghanistan ont une divergence d'opinion...
- Un moment, intervient la maman. Pourquoi prends-tu des Talibans et des Américains comme exemple ? Après ça Luis va raconter des choses à l'école et il va se mettre plein de gens à dos.
- Voyons donc, ma chérie ! Il faut raconter les choses telles qu'elles sont dans la réalité.
- Non, non et non. Tu simplifies toujours trop les choses et tu vas nous amener des problèmes.
- Écoute bien, c'est juste un exemple...
- C'est à toi de m'écouter : c'est une vraie honte de raconter des histoires comme ça. Si tu ne sais pas de quoi tu parles, tais-toi !
Et la mère s'en va, contrariée.
- Papa, intervient Luis, je crois que j'ai compris maintenant comment les guerres débutent.
Lors de la guerre 39-45, deux enfants jouent sur la plage à touche pipi, quand soudain le petit garçon crie :
-Les chleus ! Les chleus !
- Oh non, il est plein de sable !
Pauline va voir sa maman et demande :
- Est-ce que je pourrais avoir du chocolat ?
- On dit comment ? S’il… s’il ?
- S’il en reste encore ?