Blague : La grenade enterrée


La grenade enterrée - Vieux - 16/02/2014

Dans un trou perdu en pleine campagne, le père et le fils bêchent lorsque, soudain, l'outil du gamin frappe quelque chose de dur. Il ramasse l'étrange objet et dit à son père :
- R'garde donc l'pére c'que j'viens d'trouver !

Le père lui répond :
- Oh putain ! Une grenade de la dernière guerre et... Ho putain ! Où est la goupille ?

Le père arrache la grenade des mains du fils, la balance loin... sur les chiottes au fond du jardin et BOUMMMM...

A ce moment, la grand-mère sort du nuage de fumée en titubant et dit :
- Cré vin diou... Heureus’ment qu'j'la pas lâché dans la cuisine celui-là !

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Sucreuse de fraises - Vieux - 19/04/2013

C'est une infirmière dans une maison de retraite. Une nuit, elle remarque qu'un de ses pensionnaires mâle sort de la chambre d'une des pensionnaires. Elle s'approche alors de lui et lui dit:
- Que faisiez-vous ici en pleine nuit ?

Le vieux monsieur répond:
- Ah... vous savez ce que c'est. Je suis vieux, j'ai besoin d'être soulagé de temps en temps ! Et Mme Martin est très efficace pour ça !

L'infirmière lui répond alors:
- Vous savez bien que nous sommes aussi formées pour cela. ce n'est pas la peine d'aller embêter les pensionnaires la nuit.

Alors le vieux monsieur:
- Ah oui, peut-être, mais Mme Martin, elle a la maladie de Parkinson.

C'est un homme sur son lit de mort. Toute la famille est à son chevet. Sa femme et les quatre enfants. Il y a 3 garçons beaux, grands, robustes, et le quatrième qui est tout maigrichon et laid comme un cafard.

Le mourant se tourne vers sa femme et lui demande dans un soupir :
- Chérie, avant que je meure, jure moi que notre quatrième fils est bien de moi. Dis-moi la vérité, je veux le savoir avant de mourir. Je te pardonnerai de toute façon, mais je veux savoir !

Sa femme lui pose l'index sur les lèvres et le rassure :
- Chhht. Bien sûr mon chéri qu'il est de toi. Je te le jure sur la tombe de ma mère !

Et l'homme s'éteint, heureux...
Alors sa femme, soulagée de ne pas avoir menti à un mourant, murmure entre ses dents :
- Heureusement qu'il ne m'a pas demandé s'il était le père des trois autres...


Le procès - Vieux - 12/02/2013

Dans un procès se déroulant dans un petit village de France, un avocat appelle son premier témoin à la barre : une grand-mère très âgée. Il s'approche d'elle et lui demande :
- Mme Jeanne, me connaissez-vous ?
- Oh ! Oui je vous connais depuis votre enfance Maître Langlois, et sincèrement vous me décevez beaucoup : vous êtes un grand menteur, vous trompez votre femme, vous manipulez les gens et vous êtes un médisant et un calomniateur. Au lit, vous pensez être un bon coup alors que tout le monde sait que vous êtes un éjaculateur précoce. Vous n'êtes qu'une mauviette et vous ne voyez pas plus loin que le bout de votre nez. Oh ! Oui je vous connais !

L'avocat surpris et ne sachant que faire, pointe l'autre avocat du doigt.
- Mme Jeanne, connaissez-vous l'avocat de la défense ?
- Bien sûr que je le connais ! Je connais Maître Richard depuis qu'il est tout jeune. Il est paresseux, obèse et il est alcoolique. Il ne peut pas avoir de relation sexuelle normale et il est l'un des pires avocats de tout le département. Non seulement il a trompé sa femme avec trois femmes différentes, mais l'une d'entre elles est votre épouse. Oh ! Oui je le connais !

L'avocat de la défense est au bord de l'apoplexie. C'est alors que le juge demande aux deux avocats d'approcher et, d'une voix très calme, leur dit :
- Si l'un de vous demande à cette dame si elle me connaît, je vous envoie tous les deux en prison pour outrage à la Cour.

Une vieille dame décide de s'offrir un beau cadeau pour ses 70 ans en passant une nuit dans un magnifique hôtel. Au moment de payer le lendemain matin, l'employé au comptoir lui tend une note pour 200 €. Elle demande alors pourquoi c'est si cher :
- Je suis bien d'accord que c'est un bel hôtel, mais franchement, ça ne valait pas 200 € pour juste une nuit et en plus, je n'ai pas pris de petit déjeuner !

L'employé lui répond que 200€ c'est le prix standard et que le petit déjeuner était compris et qu'elle aurait pu le prendre. Elle demande alors à parler au directeur. Celui-ci apparaît et déjà prévenu par l'employé lui annonce :
- Cet hôtel a une piscine de taille olympique et un centre de conférences tout équipé.
- Mais je ne les ai pas utilisés ! dit-elle
- Peut-être mais c'était là et vous pouviez les utiliser.

Il continua en expliquant que l'hôtel avait aussi un show très connu et qu'elle aurait pu y assister.
- Mais je n'y suis pas allée !
Et après chaque service que le directeur lui détaillait elle répondait qu'elle n'en avait pas profité. Et le directeur lui redonnait sa réponse standard :
- Mais vous auriez pu !

Au bout d'un moment, elle se décide et fait un chèque de 50 € qu'elle tend au directeur.
Celui-ci, surpris en regardant le chèque, déclare :
- Mais madame, c'est un chèque de 50 € au lieu de 200 !
- C'est vrai mais je vous ai facturé 150 € pour avoir couché avec moi.
- Mais madame, je ne l'ai pas fait ! s'exclame le directeur surpris.
- Ah ! c'est bien dommage, j'étais là et vous auriez pu en profiter !

Un couple de personnes âgées avait fêté son soixantième anniversaire de mariage. Ils s'étaient connus amis d’enfance et venaient se promener main dans la main dans le quartier de leur jeunesse; ils voulaient revoir leur ancienne école. La grille n'était pas fermée, ils sont entrés et ont retrouvé le vieux pupitre qu'ils avaient partagé, sur lequel René avait gravé : « Je t'aime, Thérèse. »

En revenant à la maison, un sac tomba d’un fourgon blindé presque à leurs pieds. Thérèse le ramassa et l’emporta à la maison. Là, elle l'ouvrit et compta... Il y avait cinquante mille euros dans le sac !

René déclara :
- Nous devons le rendre.
- Qui trouve garde, lui répondit Thérèse. Elle remit l'argent dans le sac et le cacha dans le grenier.

Le lendemain, deux policiers vinrent enquêter dans le quartier. Ils frappèrent à leur porte. Un policier se mit à questionner le couple sur la disparition d'un sac de billets :
- Pardon, auriez-vous trouvé un sac qui est tombé d'un fourgon blindé hier ?
- Non, rétorqua sèchement Thérèse.
- Elle ment. Elle l’a caché dans le grenier, la coupa René.
- Ne le croyez pas, il est sénile, continua Thérèse.

Les agents se sont alors tournés vers René et lui ont demandé :
- Voulez-vous nous raconter l'histoire depuis le début.
- Bien ! poursuivit René, Thérèse et moi revenions de l’école, hier, quand...

Le premier agent se tourna vers son collègue et lui dit :
- Viens on s'en va !