Jean et Paul, deux chrétiens, se perdent dans le désert, marchent pendant des heures et s'épuisent de soif et de fatigue. Alors qu’ils étaient sur le point de perdre complètement espoir et s'abandonner à leur sort, ils aperçoivent le minaret d'une petite mosquée...
Ils accourent vers la mosquée, quand Jean dit à Paul : Ce sont des musulmans, je vais leur dire que je m'appelle Mohamed, alors ils vont bien s'occuper de moi. Mais Paul n'est pas d'accord : Non, moi je dirai la vérité.
L'imam de la mosquée les voit et s'approche d'eux : Bienvenus à mes frères. Que puis-je pour vous ?
Jean : S'il vous plait, aidez-nous. Nous avons soif et faim, ça fait longtemps qu’on marche dans le désert. Jean hésite un peu mais il continue : Je m'appelle Mohamed, et il pince son ami Paul.
Paul : Moi, je m'appelle Paul, en jetant un regard coléreux à Jean.
L'imam : Entrez, entrez et mettez-vous à l'ombre. Puis il s’absente un moment et revient avec un plateau de dattes fraîches, de l'eau, du lait et du pain :
- Voilà pour Paul, quant à toi Mohamed, apparemment la chaleur t’as fait oublié que c'est le mois de Ramadan. Alors un peu de patience, il ne reste que quelques heures avant le coucher de soleil !!
Le Dalaï Lama et DSK meurent en même temps, mais il semblerait qu'il y ait eu une erreur d'aiguillage. En effet, DSK est accueilli au paradis tandis que ce pauvre Dalaï Lama se retrouve en enfer. Saint-Pierre vient trouver le pauvre homme dans l'antre de Satan et lui annonce qu'il est trop tard pour rétablir les choses et qu'il passera la nuit en enfer. Il lui précise que l'ordre normal sera rétabli le lendemain.
Ainsi, le lendemain, au moment de l'échange, le Dalaï Lama croise DSK et lui dit :
"Je suis content, je vais voir la vierge Marie."
DSK rétorque:
"Écoutez, Marie peut-être, mais vierge, il fallait passer hier."
A la cantine de l’entreprise, plusieurs employées discutent sur le fait de savoir si une femme, lorsqu’elle a un bébé, doit s’arrêter de travailler ou non.
- Moi, dit l’une, je pense qu’un petit enfant a besoin de la présence de sa mère. Alors, priorité au gosse…
- Pas d’accord ! fait une autre. Dès qu’on peut reprendre le boulot, il faut le faire si on en a envie, ça ne pose aucun problème à l’enfant. Regardez l’exemple de la Vierge Marie…
- Mais t’es malade ! La Vierge Marie n’a jamais travaillé ! s’exclament les autres.
- Vous avez tort, les filles ! C’est écrit dans l’Évangile : elle a mis son fils à la crèche.
Bénissez-moi, mon père, car j'ai péché, se confesse Roland. Hier soir, j'ai connu charnellement sept femmes différentes.
- Prenez sept citrons et avalez-en le jus, dit le prêtre.
- Cela me lavera de mes péchés ? questionne Roland.
- Non. Mais cela effacera le sourire stupide que vous affichez.
Un jeune curé, très angoissé, est incapable de prononcer un seul mot le jour de son premier sermon. Il va voir l'archevêque le lendemain et lui demande quelques conseils pour être à la hauteur, au sermon du dimanche suivant.
L'archevêque lui conseille de se verser quelques gouttes de vodka dans un grand verre d'eau pour se sentir plus détendu.
Le dimanche suivant, le jeune prêtre suit le conseil et réussit à parler sans être paralysé par le trac. De retour à la sacristie, il trouve une lettre laissée par l'archevêque, ainsi rédigée :
Mon fils, la prochaine fois, mettez quelques gouttes de vodka dans un grand verre d'eau et non quelques gouttes d'eau dans la bouteille de vodka.
D'autre part, je tiens à vous faire-part des quelques observations suivantes, afin que vous puissiez vous améliorer encore un peu lors de vos prochains prêches :
1 - Il n'est nul besoin de mettre une rondelle de citron sur le bord du calice.
2 - Évitez de vous appuyer sur la statue de la Sainte Vierge et surtout, évitez de l'embrasser en la serrant étroitement dans vos bras.
3 - Il y a 10 commandements et non pas 12.
4 - Les apôtres étaient 12 et non pas 7, et aucun n'était nain.
5 - Nous ne parlons pas de Jésus-Christ et ses apôtres comme de "J.-C. & co."
6 - Nous ne nous référons pas à Judas comme à "ce fils de pu..."
7 - Vous ne devez pas parler du Pape en disant "le Parrain."
8 - Ben Laden n'a rien à voir avec la mort de Jésus.
9 - Les murailles qui se sont effondrées au septième jour ne se trouvaient pas à Mexico, mais à Jéricho.
10 - L'eau bénite est faite pour bénir et non pour se rafraîchir la nuque.
11 - Ne célébrez jamais la messe assis sur les marches de l'autel.
12 - Ponce Pilate a dit "vos histoires, je m'en lave les mains" et non" vos conneries, je m'en bats les couilles."
13 - Les hosties ne sont pas des gâteaux apéritifs à consommer avec le vin de messe.
14 - Les pêcheurs iront en enfer et non "se faire scoudre chez les papous."
15 - L'initiative d'appeler les fidèles à danser était bonne, mais pas celle de faire la chenille dans toute l'église.
16 - L'homme assis près de l'autel et que vous avez qualifié de "vieux déviant" et " le travelo en jupe", c'était moi.
Sincèrement, l'Archevêque.
P.-S. : Jésus n'a pas été fusillé, mais crucifié.
Il y avait, dans un village, deux hommes qui s'appelaient Michel. L'un était prêtre et l'autre chauffeur de taxi. Le destin voulut que tous deux meurent le même jour. Ils arrivent au ciel et se présentent devant Saint-Pierre. Michel, le chauffeur de taxi passe le premier. Saint-Pierre consulte ses registres et lui dit :
- Très bien, mon fils. Tu as gagné le Paradis. Tu as droit à une tunique en fils d'or et un bâton en platine. Tu peux y aller.
Quand passe l'autre Michel, Dieu lui dit :
- Bien, tu as mérité le Paradis. Tu as droit à une tunique de lin et un bâton en chêne.
Le prêtre est surpris :
- Pardon Seigneur, mais il doit y avoir une erreur. Je suis bien Michel, le prêtre !
- Oui mon fils, tu as mérité le Paradis avec cette tunique de lin.
- Non ! Ce n'est pas possible ! Il doit surement y avoir une méprise. Je connais l'autre Michel, il vivait dans mon village. C' était une catastrophe comme chauffeur de taxi ! Il avait des accrochages tous les jours, il roulait comme un dingue et conduisait très mal. Et moi j' ai passé 50 ans de ma vie à prêcher tous les dimanches à la paroisse. Comment est-il possible qu'on lui donne la tunique en fil d' or et à moi celle-ci ?
Et Saint-Pierre lui répond :
- Non, mon fils, il n' y a aucune erreur. Nous faisons maintenant des évaluations et des bilans.
- Comment ??? Je ne comprends pas.
- Oui... nous travaillons au résultat et avec des objectifs.
Durant ces derniers 25 ans, chaque fois que tu prêchais, les paroissiens s'endormaient... Mais lui, chaque fois qu'il conduisait, tout le monde priait.