Blague : Hospitalité dans le désert


Jean et Paul, deux chrétiens, se perdent dans le désert, marchent pendant des heures et s'épuisent de soif et de fatigue. Alors qu’ils étaient sur le point de perdre complètement espoir et s'abandonner à leur sort, ils aperçoivent le minaret d'une petite mosquée...

Ils accourent vers la mosquée, quand Jean dit à Paul : Ce sont des musulmans, je vais leur dire que je m'appelle Mohamed, alors ils vont bien s'occuper de moi. Mais Paul n'est pas d'accord : Non, moi je dirai la vérité.

L'imam de la mosquée les voit et s'approche d'eux : Bienvenus à mes frères. Que puis-je pour vous ?

Jean : S'il vous plait, aidez-nous. Nous avons soif et faim, ça fait longtemps qu’on marche dans le désert. Jean hésite un peu mais il continue : Je m'appelle Mohamed, et il pince son ami Paul.

Paul : Moi, je m'appelle Paul, en jetant un regard coléreux à Jean.

L'imam : Entrez, entrez et mettez-vous à l'ombre. Puis il s’absente un moment et revient avec un plateau de dattes fraîches, de l'eau, du lait et du pain :

- Voilà pour Paul, quant à toi Mohamed, apparemment la chaleur t’as fait oublié que c'est le mois de Ramadan. Alors un peu de patience, il ne reste que quelques heures avant le coucher de soleil !!

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Une bonne sœur dit a un petit enfant de chœur en lui tenant son nez avec ses doigts :
- Tu sais mon petit, quand on n'est pas sage on ne va pas au Paradis.
Et le petit à son tour pince le nez de la bonne sœur et lui dit :
- Tu sais ma sœur quand on a les doigts qui sentent la bi*e, on n'y va pas non plus...

A demain - Religion - 18/01/2013

Un mendiant sonne à la porte d'un prêtre.
- Vous auriez pas un petit quelque chose pour moi ?
- Oui, vous aimez la soupe de la veille ?
- Ho oui, ho oui !
- Ben repassez demain !


Le pape arrive à Roissy, et une limousine est mise à sa disposition. Or, peut-être ne le saviez-vous pas, mais le pape est un FAN de bagnoles. Il supplie le chauffeur de prendre le volant. Le chauffeur, après de longues hésitations, finit par accepter. Il se met à l'arrière et le pape prend le volant. Le pape démarre, emprunte le périphérique et commence à pousser un peu la caisse histoire de voir ce qu'elle a dans le moteur.

A ce moment-là il est flashé et une moto de la gendarmerie fait arrêter la limousine. La vitre teintée se baisse, et le gendarme aperçoit le pape.

Le gendarme, livide, prend son talkie-walkie :
- Allo brigadier chef ?
- Oui je vous entend.
- A fortiori, nous venons d'arrêter quelqu'un de très important pour excès de vitesse.
- Ah bon ? Le préfet ?
- Non monsieur. Plus important.
- Un ministre ?
- Non monsieur. Plus important.
- Enfin... Le président de la république ?
- Non Monsieur. Plus important.
- Ne me dites pas que c'est Barack Obama !
- Non Monsieur. Plus important.
- Enfin ce n'est pas possible ! Dites-moi enfin de qui il s'agit !

Et le gendarme d'ajouter:
- Écoutez, je ne sais pas, mais il a le pape comme chauffeur !

Dans un compartiment de chemin de fer, il y a un prêtre et deux appelés qui viennent d’être libérés du service militaire :

- Moi dit le premier, en arrivant chez moi, je vais fêter mon retour avec mes potes. Crois-moi, pendant un sacré bout de temps, je serai bourré tous les soirs ! Je vais me prendre des cuites d’enfer !
- Moi, fait l’autre, je vais me taper des filles ! Plein de gonzesses, une par jour, peut-être même plusieurs ! Je vais faire que ça toute la journée !

Une demi-heure passe, et un des deux bidasses, qui s’est mis à lire le journal, demande à son copain :
- C’est quoi un lumbago ?
- Je sais pas…
- Et vous Monsieur le curé, vous savez ce que c’est ?

Le prêtre, qui avait entendu, outré, la conversation précédente, répond d’un ton sec :
- C’est une affection extrêmement douloureuse qui frappe les alcooliques invétérés et les obsédés qui se livrent à des p4r*0uze5 !

Quelques secondes s’écoulent, puis le prêtre demande :
- Au fait, pourquoi vous me demandez ça ?
- Oh, pour rien… C’est parce que dans le journal, ils disent que le pape souffre d’un lumbago…

Un rabbin et un prêtre entrent en collision lors d'un accident de voiture. Les deux voitures sont complètement démolies mais, curieusement, aucun des deux hommes n'est blessé. Après que chacun se soit extirpé de sa voiture, le rabbin voit la petite croix argentée sur le revers de la veste du prêtre et lui dit :
- Ah vous êtes prêtre. Je suis rabbin. Regardez nos voitures. Il n'en reste rien, mais nous ne sommes pas blessés. Ce doit être un signe du tout-puissant. Dieu a du vouloir que nous nous rencontrions, devenions amis et vivions en paix pour le reste de nos jours.
- Je suis entièrement d'accord avec vous. Ce doit être un signe de Dieu.

Le rabbin poursuit :
- Regardez. C'est encore un miracle. Ma voiture est en morceaux, mais cette excellente bouteille de vin d'Israël est intacte. Dieu veut certainement que nous buvions ce vin et célébrions notre bonne chance.

Il ouvre la bouteille et la tend au prêtre. Le prêtre est d'accord et en boit quelques grosses gorgées (l'émotion, la chaleur), puis rend la bouteille au rabbin. Le rabbin prend la bouteille, la rebouche puis la rend au prêtre.

Le prêtre demande :
- Vous n'en buvez pas ?
Le rabbin répond :
- Non... Je crois que je vais attendre la police !