Dov est dans une mauvaise passe niveau argent… Il ne voit pas d’autre solution que de gagner à la loterie pour se sortir de là. Il se rend à la synagogue et se met à prier pour gagner. Le jour du tirage, il attend mais il ne gagne pas. Il retourne à la synagogue et prie à nouveau en insistant sur le fait que toute sa vie, il a respecté les principes religieux, les rituels, l’alimentation et même les dons pour les associations juives.
De nouveau il attend le tirage de la loterie, mais là encore, rien ne se passe. Proche du désespoir il allait se remettre à prier lorsqu’une voix surgit de là haut dans le ciel lui dit :
- D’accord Dov, tu veux gagner à la loterie, mais peut-être que tu pourrais m’aider un peu. Va t’acheter un ticket !
Un gars entre dans le confessionnal après des années loin de l'Église. Il tire le rideau, entre et s'assied . Il y a un bar entièrement équipé avec des verres en cristal, le meilleur vin, Guinness à la pression, cigares et liqueurs chocolats à proximité, et sur le mur une belle exposition photographique de dames bien en chair qui semblent avoir égaré leurs vêtements.
Il entend un prêtre entrer dans le confessionnal :
- Mon Père, pardonnez-moi il y a longtemps que je suis venu me confesser. Et je dois admettre que le confessionnal est beaucoup plus accueillant qu'autrefois.
Ce à quoi le prêtre répond :
- Sortez de là, vous êtes de mon côté !
Une femme sort avec un médecin. Peu de temps après, elle tombe enceinte. Ils ne savent pas quoi faire. Quelques neuf mois plus tard, juste au moment où elle devrait mettre au monde l'enfant, un curé entre à l'hôpital pour se faire soigner une affection de la prostate.
Le médecin annonce à la femme :
- Je sais ce que nous allons faire. Après avoir opéré le curé, je lui donnerai le bébé et lui dirai qu'il s'agit d'un miracle.
- Penses-tu que ça marchera ?
- Ça vaut la peine d'essayer...
Ainsi le médecin délivre la femme de son bébé et puis opère le curé. Après l'intervention, il s'entretient avec le prêtre :
- Mon père, vous n'allez pas me croire...
- Quoi ? Que s'est-il passé ?
- Mon père, vous avez eu un bébé.
- C'est impossible...
- J'ai opéré moi-même. Il s'agit certainement d'un miracle. Voici votre fils.
Quinze ans plus tard, le curé se rend compte qu'il doit tout avouer à son fils. Il l'appelle auprès de lui et dit :
- Mon garçon, j'ai quelque chose à te dire. Je ne suis pas ton père.
- Que veux-tu dire ? Je ne suis pas ton fils ?
- Je suis ta mère. L'archevêque est ton père...
- Ma parole, Joseph, je t’assure, le noir, ce n’est pas une couleur !
- Sur ma vie, Simon, le noir, c’est une couleur !
- Non ! Non ! Non ! Joseph, ce n’est pas possible, le noir, c’est noir, ce n’est pas une couleur !
- Aïe, aïe, Dove, mais tu veux ma mort ou quoi ? Puisque je te le dis que le noir c’est une couleur !
- Écoute, Dove, on va voir le Rabbin, lui, il saura.
Et les deux amis vont voir le Rabbin.
- Rabbi, Rabbi ! Dis-lui, à Dove, que le noir c’est une couleur !
- Ma parole ! hurle le Rabbin, taisez-vous ! Bien sûr que le noir, c’est une couleur !
- Le noir ... Une couleur ?
- Eh oui ! Le noir, c’est une couleur !
Joseph et Dove repartent.
- Tu vois Dove, le noir, c’est une couleur !
- Eh oui ! D’accord, le noir c’est une couleur, mais le blanc, là, c’est sûr, ce n’est pas une couleur !
- Aïe, aïe, Dove! Mais bien sûr que si, le blanc c’est une couleur !
- Ah non, sur ma mère ! Le blanc, ce n’est pas une couleur, c’est blanc !
- Viens, Dove, on retourne voir le Rabbin.
- Rabbi, Rabbi ! Dis-le à Simon, que le blanc c’est une couleur !
- Ma parole, mes enfants ! Le blanc..., le blanc..., eh oui, le blanc c’est une couleur !
Joseph et Simon repartent.
- Bon, Joseph, tu avais raison, le blanc, c’est une couleur !
- Alors tu vois, Dove, que la télé noir et blanc que je t’ai vendue, c’est bien une télé couleur !
Un rabbin monte dans un taxi. Au moment où le chauffeur démarre, un arabe ouvre la portière, arrache la valise du passager et s'enfuit en courant... Le chauffeur sort de son taxi, rattrape le malfrat et commence à lui casser la figure.
Le rabbin sort à son tour et hurle :
- MAIS ARRÊTEZ, MAIS ARRÊTEZ !
Le chauffeur dans le feu de l'action n'entend rien et continue de frapper le voleur. Et le rabbin continue :
- MAIS ARRÊTEZ ! MAIS ARRÊTEZ ! ARRÊTEZ ! ARRÊTEZ !
Rien à faire, le chauffeur continue et le rabbin aussi :
- MAIS ARRÊTEZ ! ARRÊTEZ !!
Une fois que le voleur gît allongé à terre, le chauffeur reprend ses esprits. Il entend enfin le rabbin qui continue à crier:
- MAIS ARRÊTEZ ! MAIS ARRÊTEZ !!
Il lui répond:
- Arrêter quoi ? Il l'a cherché. En plus j' ai récupéré votre valise... Et vous n'allez pas me dire que ça vous dérange qu'un arabe se fasse tabasser ! Le rabbin continue de crier :
- MAIS ARRÊTEZ LE COMPTEUR !!!
En Grèce, un touriste veut visiter un monastère orthodoxe perché au sommet d'une falaise vertigineuse. On l'installe dans une nacelle accrochée à une simple corde, et en haut deux moines tournent une manivelle pour le hisser. En cours de route le touriste constate que la corde est complètement usée. Quand il arrive enfin, livide, il demande au moine :
- La corde vous la changez régulièrement ?
- Bien sûr ! Chaque fois qu'elle casse !
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Un homme retrouve un de ses amis assis dans un fauteuil roulant pour handicapé :
- Qu'est-ce qui t'es arrivé ?
- Un accident de voiture. Les médecins ont dit que je resterai paralysé à vie.
- Mon pauvre ! C'est épouvantable !
L'autre lui fait signe de se pencher et lui glisse à l'oreille :
- C'est un secret, ne le répète à personne, mais je n'ai rien. J'ai tout simulé pour toucher les cent briques de l'assurance, et ça a marché !
- Et tu vas jouer au paralytique toute ta vie pour cent briques ?
- Bien sûr que non! La semaine prochaine, je pars pour un pèlerinage à Lourdes...