C’est Dédé qui arrive au café, il s’installe au bar et le barman lui demande :
- Qu’est ce que vous buvez ?
Et Dédé dit :
- Quand Dédé boit tout le monde boit !
Le barman sert tout le monde, et Dédé trinque avec les habitués du bar.
Une demi-heure plus tard, il a fini son verre et il dit :
- Quand Dédé re-boit tout le monde re-boit !
Le barman se dit qu’il est généreux et en remet une deuxième pour tout le monde. La générosité de Dédé continue encore plusieurs tournées. Au bout de deux heures, le barman arrive près de Dédé et lui dit :
- Il faudrait payer, vous êtes à plus de 300 €.
Et Dédé répond :
- Quand Dédé paye, tout le monde paye.
Un type s'installe au comptoir d'un bar. Le barman s'approche et lui demande :
- Vous voulez boire quoi ?
- Un double whisky, merci
Le barman sert le double whisky que le type enfile d'une seule traite avant de se lever pour quitter les lieux. Le barman lui crie alors :
- Hé ! Vous n'avez pas réglé votre consommation !
- Mais... je ne vous ai rien demandé. C'est vous qui m'avez proposé quelque chose. Je n'ai rien commandé, je ne vous dois rien !
Et le type s'en va s'en payer. Le lendemain, il revient au bar. Il s'installe au comptoir et le barman qui a compris la leçon de la veille l'ignore totalement. Le type se met alors découper minutieusement une cacahuète avec un couteau.
Agacé et intrigué, le barman finit par lui adresser la parole :
- Vous faites quoi ?
- Je découpe une cacahuète en fines tranches.
- Et pour quoi faire ?
- Pour aller à la pêche, c'est ce que j'accroche à l'hameçon.
- Ah ? Et vous prenez quoi avec ça ?
- Un double whisky, merci...
Un homme rentre dans un bar, se met au milieu du comptoir et commande un café. Le garçon le sert et lui demande de lui régler trois euros. Le type sort alors trois pièces de un euro, en met une en face de lui, et jette les deux autres à droite et à gauche du zinc.
Le barman assez surpris ne bronche pas, prend la pièce en face de lui et va de part et d’autre du comptoir pour récupérer les 2 autres pièces. Le type boit son café et s’en va.
Le lendemain, il revient et recommande un café qu’il repaye au même garçon avec 3 pièces de 1 euro dispersées le long du comptoir. Le même scénario continue pendant 3 jours et énerve de plus en plus le barman, lorsqu’un matin le type paye son café avec un billet de 5 euros.
Le garçon esquisse un sourire car il voit arriver l’heure de la revanche : il prend le billet de 5 euros et prend dans sa poche 2 pièces de 1 euro pour rendre la monnaie qu’il lance à gauche et à droite sur le zinc du comptoir. Le client sort alors une pièce de 1 euro de sa poche qu’il pose en face de lui en disant :
- Un autre !
Un type entre dans un bar en braillant :
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron sert, le type boit.
Puis il recommence:
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron sert à nouveau, le type boit à nouveau et redemande:
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
La patron sert un nouvelle fois, le type boit puis demande encore :
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron s’approche alors vers lui et lui dit :
- Vous êtes bien sympa mais il faudrait éventuellement songer maintenant à payer.
Le type hurle alors :
- B0rdel… Ça y est, ça commence…
Un mec est en voiture avec sa femme et ses 2 gosses. Il se fait arrêter pour un contrôle d'alcoolémie.
Le résultat est sans appel : 1.6 g
Le gendarme lui dit : Monsieur vous êtes au dessus du seuil autorisé.
Le gars : mais non c'est votre truc qui est foireux, faites souffler ma femme.
La femme souffle et là 1.8 g
Le gars : vous voyez votre truc est foireux, ma femme ne boit jamais une goutte d'alcool, faites soufflez mes enfants vous verrez.
Les 2 gamins soufflent et là 1.2 g et 2.2 g.
Le gendarme : Effectivement je nos éthylotests sont défectueux, c'est bon vous pouvez y aller.
La famille reprend la route et là le mari dit à sa femme: tu vois chérie, je t'avais dit que c'était une bonne idée de faire boire les gosses.
Un jour, une femme appelle furieuse son mari sur mon téléphone portable :
- Et bien, vieux soulard, où est-ce que tu es ?
Je réponds doucement :
- Et bien, te souviens-tu de cette bijouterie où, il y a très longtemps, tu avais repéré une superbe bague sertie de diamants et tu en étais tombée dingue amoureuse. Je t'avais dit à ce moment : "un jour elle sera à toi". Mais à cette époque je n'avais pas encore assez d'argent pour te l'offrir.
La femme, calmée et soudainement toute émue, la voix presque sanglotante :
- Oh oui, mon amour, je me souviens...
- Et bien, je suis dans le bistrot, juste à côté !