Un type entre dans un bar en braillant :
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron sert, le type boit.
Puis il recommence:
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron sert à nouveau, le type boit à nouveau et redemande:
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
La patron sert un nouvelle fois, le type boit puis demande encore :
- Patron ! Un double Cognac ! Avant que ça commence !
Le patron s’approche alors vers lui et lui dit :
- Vous êtes bien sympa mais il faudrait éventuellement songer maintenant à payer.
Le type hurle alors :
- B0rdel… Ça y est, ça commence…
Une femme dit à son mari qui vient tout juste de rentrer tard le soir et qui sent l'alcool à 5 mètres :
- Tu peux m'expliquer à quoi ça rime de rentrer à la maison à moitié bourré ?
- C'est pas de ma faute, j'avais plus d'argent...
Au cours d'un contrôle d'alcoolémie un policier interroge les occupants d'une voiture :
- Vous avez bu ?
- Oui, ce matin j'ai marié ma fille et comme je n'aime pas les messes, je suis allé au café et j'ai bu quelques bières. Puis pendant le banquet j'ai essoré 3 bonnes bouteilles : une de Corbières, une de Minervois et une de Faugères. Pour finir pendant la fête dans la soirée deux bouteilles de whisky Johnny Walker étiquette noire.
Finalement le policier, irrité, lui dit :
- Avez-vous compris que je suis policier et que je vous ai arrêté pour un contrôle de l'alcoolémie ?
- Le "british" lui répond alors :
- Et vous, savez-vous que cette voiture est anglaise et que c'est ma femme qui conduit !!
Tout le monde étant en état d'ébriété avancée, la fête de mariage avait tourné court. A l'issue du repas, les représentants masculins des deux familles concernées en étaient venus aux mains. La police avait finalement embarqué tout le monde et la semaine d'après, une dizaine d'hommes passaient devant le juge...
La rixe se poursuit jusque dans la salle d'audience jusqu'au moment où le juge frappe un grand coup de marteau pour calmer tout le monde. Il prend alors la parole :
- Hé bien, qui peut m'apporter une explication plausible à ce qui s'est passé ?
Un homme, avec des bandages partout, se lève et raconte :
- Moi, j'étais le témoin du marié et je peux tout expliquer. Dans notre tradition, c'est toujours le témoin qui ouvre le bal avec la mariée. J'ai donc dansé avec elle une première fois, puis comme les chansons se sont enchaînées, j'ai fait la deuxième danse, et puis la troisième... Je pense que ça a dû énerver le père de la mariée car à la quatrième danse, il a adressé un coup de pied brutal dans l'entre-jambe de sa propre fille...
Le juge, médusé, remarque :
- Waoooo ! C'est que ça a dû faire très mal...
Et le témoin explique :
- M'en parlez pas, cet abruti m'a cassé deux doigts...
Il y a une quinzaine de jours, j'étais sortie pour une soirée avec des amis et j'ai bu quelques verres et un peu de bon vin rouge. Sachant pertinemment que j'étais légèrement au-dessus de la limite, j'ai fait quelque chose que je n'avais jamais fait auparavant : J'ai pris un taxi pour rentrer chez moi.
Bien sûr, j'ai croisé un barrage de police sur ma route, mais puisque j'étais dans un taxi, ils m'ont saluée et m'ont laissé passer.
Je suis arrivée chez moi sans problème et sans accident, ce qui a été une réelle surprise puisque je n'avais jamais conduit un taxi auparavant et que je ne sais même plus où je l'ai trouvé...ni quoi en faire maintenant qu'il est dans mon garage !
Une femme un peu naïve entre dans un bar et voit un beau cow-boy assis au comptoir. Ses longues jambes et ses longs pieds dans l’allée !
Elle s’approche et lui demande :
- Je peux vous poser une petite question ?
- Oui, la p’tite.
- Est-ce que c’est vrai ce qu’on dit concernant la longueur des pieds des hommes par rapport à vous savez quoi ?
- Suivez-moi chez moi et trouvez la réponse vous-même !
Pourquoi pas, se dit-elle. Rendu chez le cow-boy, elle décide d’y passer la nuit. Au matin, se préparant à partir, elle glisse un billet de $100 sur la table de chevet.
- Hey ! C’est la première fois qu’on me paie pour mes services, ce n’est pas vraiment nécessaire.
- Je ne te paie pas pour tes services, je te laisse de l’argent pour que tu t’achètes des chaussures de la bonne taille !