Il y a une quinzaine de jours, j'étais sortie pour une soirée avec des amis et j'ai bu quelques verres et un peu de bon vin rouge. Sachant pertinemment que j'étais légèrement au-dessus de la limite, j'ai fait quelque chose que je n'avais jamais fait auparavant : J'ai pris un taxi pour rentrer chez moi.
Bien sûr, j'ai croisé un barrage de police sur ma route, mais puisque j'étais dans un taxi, ils m'ont saluée et m'ont laissé passer.
Je suis arrivée chez moi sans problème et sans accident, ce qui a été une réelle surprise puisque je n'avais jamais conduit un taxi auparavant et que je ne sais même plus où je l'ai trouvé...ni quoi en faire maintenant qu'il est dans mon garage !
Les hautes instances scientifiques viennent de prouver la présence, en quantité importante, d'hormones féminines dans la plupart des alcools.
Effectivement, on a constaté qu'un homme, après quelques verres, commence à parler fort et à raconter des conneries, puis ensuite est obligé de s'asseoir pour uriner, et enfin conduit aussi mal qu'une femme.
Un jour, une femme appelle furieuse son mari sur mon téléphone portable :
- Et bien, vieux soulard, où est-ce que tu es ?
Je réponds doucement :
- Et bien, te souviens-tu de cette bijouterie où, il y a très longtemps, tu avais repéré une superbe bague sertie de diamants et tu en étais tombée dingue amoureuse. Je t'avais dit à ce moment : "un jour elle sera à toi". Mais à cette époque je n'avais pas encore assez d'argent pour te l'offrir.
La femme, calmée et soudainement toute émue, la voix presque sanglotante :
- Oh oui, mon amour, je me souviens...
- Et bien, je suis dans le bistrot, juste à côté !
C’est trois vampires qui sont dans un bar. Le premier vampire commande un verre de sang chaud.Le deuxième commande un verre de sang froid. Le troisième commande un verre d’eau chaude !
Les deux autres le regardent et lui pose la question :
- Pourquoi un verre d’eau chaude ?
Le troisième répond :
- J’ai trouvé un tampax, je vais me faire une infusion !
C'est un type qui est accoudé au comptoir dans un bar et qui décide de rentrer chez lui car il est trop bourré. Il s'éloigne du comptoir, fait 2 mètres et s'écroule par terre.
- Je suis trop bourré. Je vais ramper jusqu'à l'extérieur.
Arrivé dehors notre bonhomme se dit que l'air frais va lui faire du bien et il décide de se remettre debout. Et là, au bout de 2 mètres, vlan ! il s'écroule encore.
- J'habite à 500 mètres. Je vais ramper jusqu'à la maison.
Arrivé devant chez lui, il se dit qu'il a du décuiter et essaie de se remettre debout. Et encore une fois au bout de 2 mètres, vlan ! par terre.
- Bon.. je vais ramper jusqu’à la chambre.
Alors il ouvre sa porte d'entrée en rampant, monte les escaliers en rampant, ouvre en rampant la porte de la chambre ou dort sa femme, se déshabille par terre et avant de se mettre au lit, il se dit qu'il doit pouvoir enfin se lever. Il se lève, fait 2 mètres et s'écroule encore mais cette fois, sur le lit. Il s'endort en se disant que sa femme n'a rien entendu. Sauvé !
Le lendemain matin, sa femme le réveille :
- Toi t'as encore picolé hier soir !!!
- Hein ? Non !? Pourquoi tu dis ça ?
- Le bar a appelé: t'as oublié ton fauteuil roulant.
Un mec complètement bourré vient sonner avec insistance chez des gens en pleine nuit. L'homme de la maison se lève et demande furieux :
- Qu'est-ce que tu veux ?
L'autre lui répond :
- Viens me pousser ! Il faut que tu viennes me pousser !
Excédé le propriétaire de la maison lui dit :
- Je ne te connais pas, et en plus il est 4 heures du matin, tu me réveilles pour me dire de te pousser et j'en ai pas envie, alors dégage d'ici et ne me dérange plus !
De retour dans la chambre, il se remet au lit, mais sa femme qui a tout entendu, le sermonne :
- Quand même tu exagères, cela t'est déjà arrivé d'être en panne la nuit, tu aurais pu le pousser ce pauvre type.
- Ouais, mais il fait froid et en plus il est bourré !
- Raison de plus pour l'aider, il ne va pas y parvenir tout seul. Non ? Vraiment, je ne te reconnais pas, je suis très déçue de ton attitude...!
Son mari, pris de remords, se rhabille et descend. Il ouvre la porte et crie :
- Eh mec ! C'est d'accord, je me suis habillé exprès pour venir te pousser ! Tu es où ?
Et le mec bourré répond :
- Là, sur la balançoire...