Moshé qui habite Tel Aviv téléphone à son fils Nathaniel qui a émigré à Boston et lui dit :
- Je regrette de te gâcher ta journée, mais je dois t’informer que ta mère et moi sommes en train de divorcer. Quarante cinq ans de souffrance, c’est assez.
- Papa, comment peux tu dire ça ??? Et juste avant les fêtes !!!!
- Nous ne pouvons plus nous voir, répondit le père. Nous sommes fatigués l’un de l’autre et j’en ai par dessus la tête de toute cette histoire, donc tu me rendras service si tu appelles ta sœur Rebecca à Detroit.
Et il raccrocha abruptement.
Désespéré, le fils appelle sa sœur qui est complètement outrée.
- Comment ils vont divorcer, à leur âge ??? Je me charge de l’affaire.
Aussitôt, la fille téléphone a son père et lui dit :
- Vous n’allez pas divorcer. Ne faites rien jusqu’à ce que nous venions mon frère et moi chez vous. Tu m’as bien entendu. RIEN… tu nous attends !!!
Le père raccroche, se retourne vers sa femme et lui dit :
- Aïda, tout est parfait, les deux viennent passer les fêtes avec nous et ils payent eux-mêmes leur billet d’avion !
Dolores voulait une augmentation, elle en parle à la propriétaire du manoir dans lequel elle travaille. La Maîtresse de maison est très énervée par cette requête et lui demande :
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation, Dolores ?
- Et bien Madame pour trois raisons. La première, c’est parce que je repasse mieux que Madame.
- Et qui vous dit ça ?
- C’est Monsieur qui me dit ça.
- Ah bon ?
- La deuxième, c’est que je cuisine mieux que Madame.
- Sornettes ! Et qui dit que vous cuisinez mieux que moi ?
- C’est Monsieur qui dit que je cuisine mieux que Madame.
- Tiens donc ? … Et la troisième raison Dolores ?
- La troisième raison , c’est que je fais mieux l’amour que Madame.
- Et c’est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l’amour que moi ?
- Non, Madame. C’est le jardinier... !
- Très bien vous avez votre augmentation.
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l'école de Gendarmerie.
- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
- Rémi, et vous ?
Le capitaine, furieux, s'écrie :
- Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle "Mon CAPITAINE". De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Rémi Tartempion, je vous appellerai "Tartempion", pas Rémi. Me suis-je bien fait comprendre ?
- Oui, mon capitaine.
- Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
- Montcherry.
- Très bien, Rémi, au travail.
Un homme rencontre un copain bègue, qu’il n’a pas vu depuis plusieurs mois.
- Alors mon pauvre toujours au chômage ?
- Non… J’ai trou…trou…trouvé…du boubou…du boulot !
- Je suis content pour toi. Où ça ?
- Aux télé…aux télé…aux télécoco…aux télécomumu…A Fran…France télé… France Télécom !
- Et c’est quoi ton travail ?
- Je suis aux renren… aux renseignements télé… aux renseignements téléphopho… téléphoniques !
- Excuse-moi, mais ton petit handicap n’est pas gênant pour ce genre de poste ?
- Non. Quand tous les postes sont occu…occupés… c’est moi qui fais "Bip…bip…bip…bip…"
Un riche industriel s'adresse à un ami ministre en ces termes :
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, il ne cherche même pas de travail, il passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon Chef De cabinet, avec un traitement de 6.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai chargé de mission en chef, à 5.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... chargé de mission alors? 2.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie, et il débuterait à moins de 1.200 euros par mois.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours...
Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !