Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !
C’est l’histoire d’un Allemand, d’un Français et d’un Espagnol qui mangent au restaurent. L'allemand mange tranquillement lorsqu’il aperçois un homme qui mange a une autre table et qui ressemble a Jésus.
Il s’approche et l’homme dit :
- Oui je sais, je lui ressemble.
L'allemand tout content lui demande si il peut soigner son mal de tête. Le type pose sa main et par miracle l'allemand n’a plus mal à la tête.
Ensuite l'espagnol va le voir et lui demande si il pourrait soigner son mal de dos. Le gars pose sa main et l'espagnol n’a plus mal. Le Français, lui, reste assis à manger et ne se soucie de rien.
Vers la fin du repas, le type se lève et va vers le Français et là Français lui dit :
- Ne t’approche pas, je suis en arrêt maladie…
Un ouvrier demande à son chef de service :
- Chef, est-ce que je pourrais quitter le bureau deux heures plus tôt ce soir, pour pouvoir aller faire du shopping avec mon épouse ?
- Il n'en est pas question ! L'heure est la même pour tout les monde.
- Merci, Chef. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber.
Un médecin reçoit une patiente qui fiévreuse depuis quelques jours :
- Écoutez, chère madame, il va falloir que je vous prenne la température !
- D’accord mais je suis très sensible !
- Si vous voulez, le thermomètre, je vous le mets dans la bouche …
- Ah non ! Pas dans la bouche !
- Peut-être que je pourrais vous le mettre sous le bras ?
- Ah non ! Pas sous le bras, ça va me chatouiller !
- Bon, écoutez ! Je vais vous le mettre dans le nombril !
- Dans le nombril, je veux bien ! Mais on éteint la lumière parce que je suis très timide !
Il éteint la lumière et elle lui fait :
- Mais c’est pas le nombril, là !
- C’est pas grave, c’est pas le thermomètre !
Pourquoi le communisme n'a-t-il jamais percé en corse?
A cause des outils sur le drapeau.
Dolores voulait une augmentation, elle en parle à la propriétaire du manoir dans lequel elle travaille. La Maîtresse de maison est très énervée par cette requête et lui demande :
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation, Dolores ?
- Et bien Madame pour trois raisons. La première, c’est parce que je repasse mieux que Madame.
- Et qui vous dit ça ?
- C’est Monsieur qui me dit ça.
- Ah bon ?
- La deuxième, c’est que je cuisine mieux que Madame.
- Sornettes ! Et qui dit que vous cuisinez mieux que moi ?
- C’est Monsieur qui dit que je cuisine mieux que Madame.
- Tiens donc ? … Et la troisième raison Dolores ?
- La troisième raison , c’est que je fais mieux l’amour que Madame.
- Et c’est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l’amour que moi ?
- Non, Madame. C’est le jardinier... !
- Très bien vous avez votre augmentation.