Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !
Un agriculteur excédé de se faire voler des pastèques toutes les nuits par des gosses du village décide d'employer les grands moyens. Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit: "Attention ! Une de ces pastèques a été injectée avec du cyanure. Mortel !"
Le lendemain matin, alors qu'il patrouille dans son champ, il constate avec satisfaction que personne n'a touché à ses pastèques. Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une nouvelle pancarte qui n'est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s'approche... pour lire : " Maintenant, deux pastèques sont injectées au cyanure ! "
- Deux voyageurs de commerce discutent :
- Moi, fait l'un, je traite mes clients comme mes cigarettes.
- Comment cela ?
- Je les roule toujours moi-même!
Moshé qui habite Tel Aviv téléphone à son fils Nathaniel qui a émigré à Boston et lui dit :
- Je regrette de te gâcher ta journée, mais je dois t’informer que ta mère et moi sommes en train de divorcer. Quarante cinq ans de souffrance, c’est assez.
- Papa, comment peux tu dire ça ??? Et juste avant les fêtes !!!!
- Nous ne pouvons plus nous voir, répondit le père. Nous sommes fatigués l’un de l’autre et j’en ai par dessus la tête de toute cette histoire, donc tu me rendras service si tu appelles ta sœur Rebecca à Detroit.
Et il raccrocha abruptement.
Désespéré, le fils appelle sa sœur qui est complètement outrée.
- Comment ils vont divorcer, à leur âge ??? Je me charge de l’affaire.
Aussitôt, la fille téléphone a son père et lui dit :
- Vous n’allez pas divorcer. Ne faites rien jusqu’à ce que nous venions mon frère et moi chez vous. Tu m’as bien entendu. RIEN… tu nous attends !!!
Le père raccroche, se retourne vers sa femme et lui dit :
- Aïda, tout est parfait, les deux viennent passer les fêtes avec nous et ils payent eux-mêmes leur billet d’avion !
Deux types se baladent en montgolfière au-dessus de la campagne bourguignonne. Le brouillard tombant de plus en plus, ils finissent par descendre jusqu'à atterrir dans un champ. Aucune indication leur permet de savoir où ils se trouvent. Quand tout d'un coup, miracle... Ils voient arriver un homme à vélo...
Il décident alors de lui demander des indications quant au lieu dans lequel ils se sont posés :
- Ohé mon brave monsieur, pourriez-vous nous dire où nous nous trouvons, s'il vous plaît ?
Le type réfléchit dix secondes et répond :
- Eh bien, vous êtes dans la nacelle d'une montgolfière qui vient d'atterrir dans un pâturage où d'habitude il y a des vaches, de l'autre côté de la barrière qui marque la limite du pré et de la route sur laquelle je me trouve avec ma bicyclette à la main pendant que je réponds à la question que vous m'avez posée...
- Aaaaaahhh dit l'un des deux voyageurs à l'autre. Tu vois, ça c'est un expert-comptable.
- Comment peux-tu le savoir ? dit l'autre.
- Pas difficile, c'est un type qui donne des informations extrêmement précises mais complètement inutiles pour prendre une décision...
Un riche industriel s'adresse à un ami ministre en ces termes :
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, il ne cherche même pas de travail, il passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon Chef De cabinet, avec un traitement de 6.900 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai chargé de mission en chef, à 5.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... chargé de mission alors? 2.900 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie, et il débuterait à moins de 1.200 euros par mois.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours...