Un artiste-peintre se rend à la galerie qui expose ses œuvres pour jauger de l'intérêt que suscitent ses toiles auprès des amateurs d'art.
Le responsable des lieux lui explique sans détour :
- En fait, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle à vous annoncer. La bonne nouvelle, c'est qu'un investisseur est venu l'autre jour pour une évaluation globale des œuvres que vous présentez chez nous. Il nous a demandé si vos toiles prendraient de la valeur après votre disparition.
- Et que lui avez-vous répondu ?, interroge le peintre.
- Nous lui avons dit que sans nul doute, les prix de vos œuvres doubleraient après votre mort… Et il a acheté les 18 tableaux en exposition.
- Excellent !, réagit le peintre. Et la mauvaise nouvelle alors ?
Le propriétaire de la galerie explique, un peu hésitant :
- Hé bien, c'est que cet acheteur, c'est votre médecin !
Un représentant en aspirateur débarque chez une vieille dame qui habite une maison isolée au bout du village. Sans lui laisser placer un mot il lui dit :
- Chère madame, je vais vous faire une démonstration exceptionnelle de la merveille des merveilles, le nouvel aspirateur « Cyclone », celui qui aspire tout et n'importe quoi en quelques secondes ! Où est votre poubelle ? Dans la cuisine ? Je m’en doutais ! Permettez-moi de la prendre…
Il l’emporte dans le salon et vide tout le contenu par terre. Le représentant continue alors son argumentaire auprès de la vieille dame qui le regarde les yeux écarquillés :
- Ne vous inquiétez pas ! Car à présent, avec l’aspirateur « Cyclone », je vais faire disparaître totalement, jusqu’à la dernière parcelle, toutes ces ordures ! Je m’engage, chère madame, à manger devant vous tout ce qui resterait au sol !
- Attendez, monsieur, dit la vieille dame. Je vais vous chercher du sel et du poivre, parce que je n’ai pas l’électricité.
Au cours d'une réunion, le chef de service informa son équipe qu'il n'était pas suffisamment respecté comme il se doit.
Le lendemain matin, il apporta une petite pancarte où il était écrit :
ICI, C'EST MOI LE CHEF ! Et il la plaça bien en évidence sur la porte de son bureau.
Quand il revint, après le déjeuner, il vit un post-it à coté de la pancarte ... Quelqu'un y avait indiqué :
- Votre femme a téléphoné . Elle veut récupérer sa pancarte !
Un médecin reçoit une patiente qui fiévreuse depuis quelques jours :
- Écoutez, chère madame, il va falloir que je vous prenne la température !
- D’accord mais je suis très sensible !
- Si vous voulez, le thermomètre, je vous le mets dans la bouche …
- Ah non ! Pas dans la bouche !
- Peut-être que je pourrais vous le mettre sous le bras ?
- Ah non ! Pas sous le bras, ça va me chatouiller !
- Bon, écoutez ! Je vais vous le mettre dans le nombril !
- Dans le nombril, je veux bien ! Mais on éteint la lumière parce que je suis très timide !
Il éteint la lumière et elle lui fait :
- Mais c’est pas le nombril, là !
- C’est pas grave, c’est pas le thermomètre !
Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie. Comme il n'est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe, il s'approche du curé et lui demande :
- Excusez-moi mon père, je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.
Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille :
- En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élevée.
A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un franc au curé.
Le prêtre, compatissant, lui dit :
- Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie...
Un agriculteur excédé de se faire voler des pastèques toutes les nuits par des gosses du village décide d'employer les grands moyens. Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit: "Attention ! Une de ces pastèques a été injectée avec du cyanure. Mortel !"
Le lendemain matin, alors qu'il patrouille dans son champ, il constate avec satisfaction que personne n'a touché à ses pastèques. Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une nouvelle pancarte qui n'est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s'approche... pour lire : " Maintenant, deux pastèques sont injectées au cyanure ! "