Johnny arrive au bar et quand le barman lui demande :
- Qu'est ce que vous buvez ?
Il répond :
- Quand Johnny boit tout le monde boit !
Le barman s'étonne de sa générosité, et sert boire à tout le monde. Une demi-heure plus tard Johnny a fini son verre et dit :
- Quand Johnny boit tout le monde boit !
Le barman se dit :
- Vraiment généreux ! Il en remet une deuxième.
Il la sert.
Plusieurs tournées se passent.
Le barman arrive près de Johnny et lui dit :
Il faudrait penser à payer parce que là, vous êtes à plus de 100 euros.
Et Johnny répond :
- Quand Johnny paye, tout le monde paye !
C’est trois vampires qui sont dans un bar. Le premier vampire commande un verre de sang chaud.Le deuxième commande un verre de sang froid. Le troisième commande un verre d’eau chaude !
Les deux autres le regardent et lui pose la question :
- Pourquoi un verre d’eau chaude ?
Le troisième répond :
- J’ai trouvé un tampax, je vais me faire une infusion !
De source policière, on apprend que le taux limite d'alcoolémie pourrait revenir à son ancienne valeur, 0,8 mg/l au lieu de 0,5 mg/l.
En effet selon les statistiques en provenance de plusieurs sociétés d' assurance - depuis l' introduction du taux de 0,5 mg/l -, le nombre d' accidents de la route a considérablement augmenté . Une étude de ces chiffres nous montre que les hommes, après une ou deux bières donnent le volant à leur femme...
C’est Dédé qui arrive au café, il s’installe au bar et le barman lui demande :
- Qu’est ce que vous buvez ?
Et Dédé dit :
- Quand Dédé boit tout le monde boit !
Le barman sert tout le monde, et Dédé trinque avec les habitués du bar.
Une demi-heure plus tard, il a fini son verre et il dit :
- Quand Dédé re-boit tout le monde re-boit !
Le barman se dit qu’il est généreux et en remet une deuxième pour tout le monde. La générosité de Dédé continue encore plusieurs tournées. Au bout de deux heures, le barman arrive près de Dédé et lui dit :
- Il faudrait payer, vous êtes à plus de 300 €.
Et Dédé répond :
- Quand Dédé paye, tout le monde paye.
Un gars complètement saoul se trimbale dans une fête foraine. Il s’arrête à un stand de tir, se saisit d’une carabine, tire en plein dans le mille et décroche un lot : une petite tortue vivante.
Dix minutes plus tard, il est de retour devant le même stand, deux fois plus ivre. Il épaule à nouveau une carabine et frappe encore en plein milieu de la cible.
- Cette fois, vous avez gagné une cafetière, lui dit la fille du stand.
- Oh ! S’il vous plaît, réplique-t-il, soyez gentille, donnez-moi plutôt un sandwich comme tout à l’heure…
Tout le monde étant en état d'ébriété avancée, la fête de mariage avait tourné court. A l'issue du repas, les représentants masculins des deux familles concernées en étaient venus aux mains. La police avait finalement embarqué tout le monde et la semaine d'après, une dizaine d'hommes passaient devant le juge...
La rixe se poursuit jusque dans la salle d'audience jusqu'au moment où le juge frappe un grand coup de marteau pour calmer tout le monde. Il prend alors la parole :
- Hé bien, qui peut m'apporter une explication plausible à ce qui s'est passé ?
Un homme, avec des bandages partout, se lève et raconte :
- Moi, j'étais le témoin du marié et je peux tout expliquer. Dans notre tradition, c'est toujours le témoin qui ouvre le bal avec la mariée. J'ai donc dansé avec elle une première fois, puis comme les chansons se sont enchaînées, j'ai fait la deuxième danse, et puis la troisième... Je pense que ça a dû énerver le père de la mariée car à la quatrième danse, il a adressé un coup de pied brutal dans l'entre-jambe de sa propre fille...
Le juge, médusé, remarque :
- Waoooo ! C'est que ça a dû faire très mal...
Et le témoin explique :
- M'en parlez pas, cet abruti m'a cassé deux doigts...