Blague : Trois blagues courtes d'humour noir


Un enfant négocie avec sa maman :
- Maman, maman, je peux jouer avec le petit chiot ?
- D'accord, mais quand tu as fini, tu remets tous les os en place dans la poubelle.

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- Hervé, enlève tes doigts du nez de grand-père !
- Hervé, laisse grand-père tranquille !!
- Hervé, dernier avertissement, arrête ou je referme le cercueil.

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Une petite fille demande a sa mère :
- Maman, est ce que mon petit frère est un ange ?
Sa mère répond :
- Oui ma chérie.
- Alors pourquoi il s'est pas envolé quand je l'ai jeté par la fenêtre ?

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Pourquoi Dieu a créé les femmes belles et stupides ?

Belles pour que les hommes puissent les aimer et stupides pour qu'elle puissent aimer les hommes.

Un petit garçon a manqué une journée de classe. En arrivant le lendemain il dit à son institutrice :
- Excusez mon absence maîtresse, c’est parce que mon papa a été brûlé.
- Je suis désolée pour lui, fait l’institutrice. Il a été brûlé sérieusement ?
- Oh oui Madame ! Vous savez au crématorium ça ne rigole pas tellement !!


Aux assises, c'est l'heure du réquisitoire. La parole est au procureur qui s'adresse aux jurés :
- Messieurs les jurés, l'homme que vous voyez assis dans le box à tué son père et sa mère. Je demande une peine exemplaire !
Puis c'est au tour de l'avocat de la défense de s'exprimer :
- Messieurs les jurés, je réclame votre indulgence : n'oubliez pas que mon client est orphelin...

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C'est l'histoire d'un type qui vient de passer des examens de santé à l'hôpital. Le médecin annonce au patient qu'il est gravement malade et qu'il va mourir. Le gars demande ce qu'il peut faire pour le guérir. Le médecin lui répond :
- Vous n'avez qu'à faire des bains de boue.
- Pourquoi ça va me guérir ?
- Non, mais ça vous habitueras à la terre.

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A table, un garçon interpelle sa mère :
- Maman, maman, je n'aime pas grand-mère !
La mère :
- C'est pas grave, laisse-là sur le bord de ton assiette et finit ta purée.

Un très vieil homme était étendu mourant dans son lit. Soudain, il sentit l'odeur de ses biscuits aux pépites de chocolat favoris. Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant après le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher.

Et avec un plus grand effort, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadrage de porte regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait cru déjà rendu au ciel. Là, dans la cuisine, sur la nappe, il y avait des centaines de ses biscuits favoris.

Était-ce le ciel ? Était-ce un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table, se soulevant péniblement avec ses mains tremblantes, il tenta de prendre un biscuit.

Soudainement, il reçut de sa femme un coup de spatule sur la tête :
- Touche pas ! dit-elle, c'est pour l'enterrement...

Comment appelle-t-on une femme qui sait exactement où se trouve son mari tous les soirs ?

Une veuve !