Une mère dit à sa fille :
- Marie, viens m'aider à changer ton petit frère.
- Pourquoi, il est déjà usé ?
L'instituteur interroge Martin :
- Martin, dis-moi un peu qui d'entre vous est venu hier voler des pommes dans mon pommier?
Martin lui répond :
- Je ne vous entends pas bien monsieur, vu que je suis sur le dernier banc de la rangée.
L'instituteur ne se laisse pas embobiner et lui rétorque :
- C'est ce qu'on va voir ! Viens ici t'asseoir à ma place. J'irai m'asseoir à la tienne et à ton tour, tu me poseras une question.
Ils échangent leur place et Martin fait ce que l'instituteur lui a demandé.
- Maître, qui est venu dormir avec maman alors que papa était de service de nuit?
L'instituteur :
- Tu as raison Martin, on ne comprend rien ici dans le fond!
Ludo et son copain bavardent dans la cour de récréation de l'école primaire :
- T'as demandé quoi pour Noël ?
- Un game boy, et toi ?
- Un Tampax.
- C'est quoi ça ?
- Je sais pas mais avec tu peux faire du cheval, de la gym, du vélo...
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Ludo revient de l'école avec son bulletin trimestriel. Il a des zéros dans chaque matière.
- Quelle excuse vas-tu encore me donner? soupire son père.
- Eh bien ! J'hésite encore entre l'hérédité et l'environnement familial.
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Le petit Ludo et son papa se baladent en ville. Soudain Ludo voit dans la rue un chien en train de saillir une chienne. Il demande à son père ce qu'ils font. Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener.
Après être resté quelques instants perplexe, Ludo répond :
- C'est comme maman hier, heureusement qu'elle se tenait bien à la machine à laver, sans cela le facteur l'emmenait à la poste.
Une mère se promène avec son fils dans les rues de sa ville. Elle rencontre une de ses amies, une dame très jolie, et elle demande à son fils de l’embrasser pour lui dire bonjour. Son fils qui s’appelle Samuel s’écrit alors :
- Non, maman je n’embrasserais pas la dame !
- Samuel, veux-tu l’embrasser ! c’est un ordre !
- Non, maman, je ne veux pas !
- Mais pourquoi refuses-tu d’embrasser cette dame ?
- Ben, c’est juste que papa a voulu l’embrasser hier et la dame lui a donné une paire de claques.
C'est un garçon de douze ans qui marche dans la rue en trainant une grenouille aplatie au bout d'une corde. Il arrive devant un bordel et frappe à la porte. La tenancière répond et lui demande ce qu'il veut.
- Je veux une relation sexuelle avec une des filles. J'ai de l'argent pour payer et je ne partirai pas sans l'avoir fait.
La dame se dit qu'après tout puisqu'il peut payer, pourquoi pas, et fait rentrer le garçon.
- Avez-vous des filles avec des maladies ?
- Bien sur que non, répond la femme.
- J'ai entendu des hommes dire qu'ils avaient chopé une maladie après avoir couché avec Irma. C'est elle que je veux !
- Après tout puisque tu y tiens tant et que tu as de quoi payer, alors OK ! C'est la première chambre à droite.
La garçon se dirige alors vers la chambre en trainant sa grenouille aplatie. Il ressort dix minutes plus tard avec toujours derrière lui sa grenouille aplatie et paie la dame.
- Pourquoi as-tu choisi la seule fille avec une maladie ? lui demande-t-elle.
- Ce soir mes parents mangent au restaurant et me laissent à la maison avec la baby-sitter. Quand ils seront partis, je ferais l'amour avec la baby-sitter. Elle va attraper la maladie que je viens d'attraper. Quand mes parents reviendront, Papa va aller reconduire la baby-sitter, il va la sauter dans la voiture et va attraper la maladie à son tour. Quand Papa va revenir à la maison, il va faire l'amour à Maman et elle va l'attraper aussi.
Demain matin, quand tout le monde sera parti, le facteur va venir à la maison baiser ma mère, il va attraper la maladie... Et c'est lui l'enfoiré qui a écrasé ma grenouille !!!
Pendant l'étude du soir, Lucas n'arrête pas de se lécher la main pour s'humecter le front tout en apprenant ses leçons. L'observant depuis un moment, intrigué, le surveillant lui demande pourquoi il fait cela.
- J'apprends mes leçons M'sieur, lui répond le jeune garçon...
- Je vois bien, dit le surveillant, mais arrête donc de te barbouiller le front de salive !
- C'est pour mieux apprendre M'sieur ! Hier soir, j'ai entendu maman dire à papa que lorsqu'on mouillait la tête, ça rentrait mieux !