C’est un homme marié qui va à confesse :
- Mon père, » dit-il, je m’accuse d’avoir PRESQUE trompé ma femme !
- Qu’entends-tu par PRESQUE ? demande le curé.
- Hé bien voilà : avec une copine, on s’est déshabillés et on s’est frottés l’un contre l’autre. C’est tout.
- Espèce de cochon ! dit le prêtre. Te frotter, c’est comme si tu l’avais mise ! Tu me feras un chapelet complet et tu mettras 50 € dans le tronc des pauvres.
Le gars s’en va dire son chapelet puis il se dirige vers le tronc de pauvres et s’apprête à sortir de l’église. Le curé l’appelle :
- Dis-donc, tu n’as pas mis tes 50 € dans le tronc !!!!
- Non, mon père ! J’ai juste frotté le billet sur le tronc. Vous m’avez dit que c’était pareil que de le mettre !!!
C'est Jésus qui marche sur l'eau et Saint Pierre qui nage à coté et qui lui dit :
- T'es con elle est bonne !
Une femme sort avec un médecin. Peu de temps après, elle tombe enceinte. Ils ne savent pas quoi faire. Quelques neuf mois plus tard, juste au moment où elle devrait mettre au monde l'enfant, un curé entre à l'hôpital pour se faire soigner une affection de la prostate.
Le médecin annonce à la femme :
- Je sais ce que nous allons faire. Après avoir opéré le curé, je lui donnerai le bébé et lui dirai qu'il s'agit d'un miracle.
- Penses-tu que ça marchera ?
- Ça vaut la peine d'essayer...
Ainsi le médecin délivre la femme de son bébé et puis opère le curé. Après l'intervention, il s'entretient avec le prêtre :
- Mon père, vous n'allez pas me croire...
- Quoi ? Que s'est-il passé ?
- Mon père, vous avez eu un bébé.
- C'est impossible...
- J'ai opéré moi-même. Il s'agit certainement d'un miracle. Voici votre fils.
Quinze ans plus tard, le curé se rend compte qu'il doit tout avouer à son fils. Il l'appelle auprès de lui et dit :
- Mon garçon, j'ai quelque chose à te dire. Je ne suis pas ton père.
- Que veux-tu dire ? Je ne suis pas ton fils ?
- Je suis ta mère. L'archevêque est ton père...
Un évêque, un curé et une bonne sœur sont dans le train en direction de Lourdes pour le pèlerinage diocésain. Le trajet est long et ils commencent à s’ennuyer. L’évêque, un peu joueur, dit :
- Si on faisait un concours de mots croisés ? Je vois qu’on lit tous le même journal, «La Croix». Le gagnant aura droit à une gourde d’eau de Lourdes !
Tout le monde est d’accord et chacun commence sa grille. Au bout de 15 minutes, l'évêque s'écrie :
- Ça y est j'ai fini ! C’était vraiment facile
La bonne sœur, 5 minutes plus tard s’exclame à son tour :
- J'ai fini moi aussi, mais ce n'était pas évident !!
Dix minutes plus tard, le curé se gratte toujours la tête, ça coince. Pas facile cette grille. L'évêque vient à son secours :
- Mais qu'est-ce qui vous embête, curé ?
- Ben, c’est le 3 horizontal ... j'ai bien la deuxième lettre, le "O", la troisième le "U", la quatrième le "I", ensuite "L", "L", "E" et "S" ... mais je ne vois pas du tout. Je pense à nouilles, bouilles, fouilles, mouilles, mais ça ne ne correspond pas à la définition.
- Voyons ! curé ! la définition ... "Sont vides quand le coup est tiré" .... mais c'est évident, ce sont les douilles, bien sûr !
Là une petite voix :
- Quelqu'un a une gomme ?
Dov est dans une mauvaise passe niveau argent… Il ne voit pas d’autre solution que de gagner à la loterie pour se sortir de là. Il se rend à la synagogue et se met à prier pour gagner. Le jour du tirage, il attend mais il ne gagne pas. Il retourne à la synagogue et prie à nouveau en insistant sur le fait que toute sa vie, il a respecté les principes religieux, les rituels, l’alimentation et même les dons pour les associations juives.
De nouveau il attend le tirage de la loterie, mais là encore, rien ne se passe. Proche du désespoir il allait se remettre à prier lorsqu’une voix surgit de là haut dans le ciel lui dit :
- D’accord Dov, tu veux gagner à la loterie, mais peut-être que tu pourrais m’aider un peu. Va t’acheter un ticket !
Un homme va au confessionnal et dit:
- Mon Père, j'ai fauté pendant la seconde guerre mondiale, j'ai caché un Juif dans ma cave.
Le curé répond:
- Mais non mon fils, au contraire, c'est une bonne action.
- Oui mais, mon Père, je lui faisais payer 6000 Francs par mois de loyer !
- Mon fils vous avez sauvé la vie d'un homme, Dieu vous pardonnera malgré tout.
- Oui mais, mon Père, je ne lui ai pas encore dit que la guerre était finie !