Blague : Confession d'un résistant


C'est un vieux monsieur qui va se confesser pour la première fois depuis de très nombreuses années. Il rentre dans le confessionnal et le curé commence :
- Allez-y mon fils. Confessez vos péchés...
- Eh bien voilà mon Père. Ce que j'ai à vous avouer n'est pas joli joli... Pendant la guerre de 39-45 j'ai reçu la visite dans la ferme d'une jeune fille traquée qui voulait se cacher des Allemands. Alors je l'ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n'ont jamais pu la trouver.
- Mais c'est très bien ça ! C'est même un acte de résistance. Ce n'est pas un péché et ça pourrait même vous valoir une médaille...
- Mais je n'ai pas fini, mon Père... A l'époque, j'étais jeune plutôt viril si voyez ce que je veux dire.... Alors je lui ai dit qu'en échange de cette cachette que je lui offrais, elle devrait m'accorder ses faveurs... si vous voyez ce que je veux dire...

Le curé réfléchit une minute puis reprend :
- Eh bien, les temps étaient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un très gros risque en la cachant chez vous... Je suis sûr que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l'âme charitable plutôt que le simple profiteur d'une situation dramatique...
- Oh merci mon Père. C'est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une dernière question ?
- Mais bien sûr, mon fils.
- Est-ce que je dois lui dire maintenant que la guerre est terminée !

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Lors d’un congrès de violonistes, deux musiciens bavardent, un Parisien et un Marseillais. Tous les deux sont fiers de leur talent.

Le Parisien dit :
- Il y a 2 semaines, j'ai joué un concerto dans la Cathédrale Notre-Dame de Paris devant 6.000 personnes. J'ai tellement mis d’émotion en jouant, que j'en ai fait pleurer la Vierge Marie.

Le Marseillais réfléchit, puis répond:
- Moi, la semaine dernière, j'ai joué devant plus de 10.000 personnes dans la basilique de Notre Dame de la Garde à Marseille. A un moment, j'ai vu Jésus se décrocher de la croix et venir vers moi. Alors là, je me suis arrêté de jouer, et dans un silence de mort, il s'est approché de moi et m'a dit :
- Minot, je te préviens, tu as intérêt à bien jouer !

Surpris je lui dis :
- Mais oui Seigneur, mais pourquoi tu me dis cela ?

Et il m'a répondu :
- Parce que la semaine dernière, lors d'un concert à la cathédrale Notre-Dame de Paris, il y a un déviant de parisien prétentieux qui a tellement mal joué, qu'il a fait pleurer ma mère !

C’est un homme marié qui va à confesse :
- Mon père, » dit-il, je m’accuse d’avoir PRESQUE trompé ma femme !
- Qu’entends-tu par PRESQUE ? demande le curé.
- Hé bien voilà : avec une copine, on s’est déshabillés et on s’est frottés l’un contre l’autre. C’est tout.
- Espèce de cochon ! dit le prêtre. Te frotter, c’est comme si tu l’avais mise ! Tu me feras un chapelet complet et tu mettras 50 € dans le tronc des pauvres.

Le gars s’en va dire son chapelet puis il se dirige vers le tronc de pauvres et s’apprête à sortir de l’église. Le curé l’appelle :
- Dis-donc, tu n’as pas mis tes 50 € dans le tronc !!!!
- Non, mon père ! J’ai juste frotté le billet sur le tronc. Vous m’avez dit que c’était pareil que de le mettre !!!


A Dallas dans le Texas, un pauvre gars qui a été amené inconscient aux urgences de l'hôpital des Sœurs de la Charité Bien Ordonnée sort enfin de la salle d'opération.

La religieuse qui le réveille lui demande:
- Avez-vous une assurance-maladie ?
- Non !
- Avez-vous de l'argent pour payer vos soins ?
- Non !
- Avez-vous de la famille qui pourrait prendre en charge les frais médicaux ?
- Ah ! J'ai juste une sœur qui est au Mexique. C'est une pauvre petite religieuse comme vous...
- Mais, monsieur, aucune religieuse n'est pauvre ! Nous sommes même riches car nous sommes les épouses du Seigneur !

Et le gars lui répond...
- Eh ben... Dans cas-là, vous enverrez la facture à mon beau-frère !!!

Le pape arrive à Roissy, et une limousine est mise à sa disposition. Or, peut-être ne le saviez-vous pas, mais le pape est un FAN de bagnoles. Il supplie le chauffeur de prendre le volant. Le chauffeur, après de longues hésitations, finit par accepter. Il se met à l'arrière et le pape prend le volant. Le pape démarre, emprunte le périphérique et commence à pousser un peu la caisse histoire de voir ce qu'elle a dans le moteur.

A ce moment-là il est flashé et une moto de la gendarmerie fait arrêter la limousine. La vitre teintée se baisse, et le gendarme aperçoit le pape.

Le gendarme, livide, prend son talkie-walkie :
- Allo brigadier chef ?
- Oui je vous entend.
- A fortiori, nous venons d'arrêter quelqu'un de très important pour excès de vitesse.
- Ah bon ? Le préfet ?
- Non monsieur. Plus important.
- Un ministre ?
- Non monsieur. Plus important.
- Enfin... Le président de la république ?
- Non Monsieur. Plus important.
- Ne me dites pas que c'est Barack Obama !
- Non Monsieur. Plus important.
- Enfin ce n'est pas possible ! Dites-moi enfin de qui il s'agit !

Et le gendarme d'ajouter:
- Écoutez, je ne sais pas, mais il a le pape comme chauffeur !

Il y avait, dans un village, deux hommes qui s'appelaient Michel. L'un était prêtre et l'autre chauffeur de taxi. Le destin voulut que tous deux meurent le même jour. Ils arrivent au ciel et se présentent devant Saint-Pierre. Michel, le chauffeur de taxi passe le premier. Saint-Pierre consulte ses registres et lui dit :
- Très bien, mon fils. Tu as gagné le Paradis. Tu as droit à une tunique en fils d'or et un bâton en platine. Tu peux y aller.

Quand passe l'autre Michel, Dieu lui dit :
- Bien, tu as mérité le Paradis. Tu as droit à une tunique de lin et un bâton en chêne.

Le prêtre est surpris :
- Pardon Seigneur, mais il doit y avoir une erreur. Je suis bien Michel, le prêtre !
- Oui mon fils, tu as mérité le Paradis avec cette tunique de lin.
- Non ! Ce n'est pas possible ! Il doit surement y avoir une méprise. Je connais l'autre Michel, il vivait dans mon village. C' était une catastrophe comme chauffeur de taxi ! Il avait des accrochages tous les jours, il roulait comme un dingue et conduisait très mal. Et moi j' ai passé 50 ans de ma vie à prêcher tous les dimanches à la paroisse. Comment est-il possible qu'on lui donne la tunique en fil d' or et à moi celle-ci ?

Et Saint-Pierre lui répond :
- Non, mon fils, il n' y a aucune erreur. Nous faisons maintenant des évaluations et des bilans.
- Comment ??? Je ne comprends pas.
- Oui... nous travaillons au résultat et avec des objectifs.

Durant ces derniers 25 ans, chaque fois que tu prêchais, les paroissiens s'endormaient... Mais lui, chaque fois qu'il conduisait, tout le monde priait.