Blague : Les enfants Lillois


Les enfants Lillois - Enfants - 13/01/2013

C'est un petit frère et une petite sœur qui sont dans un bain. Le frère crie :
- Haha ! J'ai mis mon doigt dans ton nombril !
- C'est pas mon nombril...
- Ah bah c'était pas mon doigt

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L'instituteur questionne un élève qu'il soupçonne de de voler des fruits :
- Bertrand, dis-moi un peu qui d'entre vous est venu hier voler des cerises dans mon cerisier ?
- Je ne vous entends pas bien monsieur, vu que je suis sur le dernier banc de la rangée répond Bertrand.
- C'est ce qu'on va voir ! Viens ici t'asseoir à ma place. J'irai m'asseoir à la tienne et à ton tour, tu me poseras une question.

Ils échangent leur place et Bertrand fait ce que l'instituteur lui a demandé :
- Maître, qui est venu dormir avec maman alors que papa était de service de nuit ?
- Tu as raison Bertrand, on ne comprend rien ici dans le fond !

Le petit singe - Enfants - 28/05/2013

Une jeune fille se rend compte qu’elle a des poils qui poussent entre ses jambes. Toute inquiète elle demande à sa mère ce que c’est ?

Sa mère lui dit calmement :
- Cette partie où les cheveux poussent s’appelle Monkey, sois fière que ton singe ait maintenant des cheveux.

La jeune fille sourit. Au dîner, elle dit à sa sœur :
- Mon singe a commencé à avoir des cheveux !

Sa sœur sourit et répond:
- Ce n’est rien, le mien a déjà commencé à manger des bananes !!!

Maman s’est évanouie…


Deux jeunes gamins se retrouvent le lundi matin à l'école.
- Merde, dit le premier, tu t'es acheté un nouveau vélo ?
- Non, mais si tu savais ce qui m'est arrivé, fait l'autre.


- Figure-toi que j'étais à la campagne, je me promenais sur un chemin, arrive une belle fille à vélo. Elle engage la conversation, et puis tout à coup, en arrivant devant une meule de foin, elle pose sa bicyclette, retire sa culotte, et me dit ": "Prend ce que tu veux !!! " ... alors j'ai pris son vélo.
- T'as eu raison, dit l'autre. Qu'est-ce que t'aurais foutu avec sa culotte ?

C'est un garçon de douze ans qui marche dans la rue en trainant une grenouille aplatie au bout d'une corde. Il arrive devant un bordel et frappe à la porte. La tenancière répond et lui demande ce qu'il veut.

- Je veux une relation sexuelle avec une des filles. J'ai de l'argent pour payer et je ne partirai pas sans l'avoir fait.
La dame se dit qu'après tout puisqu'il peut payer, pourquoi pas, et fait rentrer le garçon.
- Avez-vous des filles avec des maladies ?
- Bien sur que non, répond la femme.
- J'ai entendu des hommes dire qu'ils avaient chopé une maladie après avoir couché avec Irma. C'est elle que je veux !
- Après tout puisque tu y tiens tant et que tu as de quoi payer, alors OK ! C'est la première chambre à droite.

La garçon se dirige alors vers la chambre en trainant sa grenouille aplatie. Il ressort dix minutes plus tard avec toujours derrière lui sa grenouille aplatie et paie la dame.

- Pourquoi as-tu choisi la seule fille avec une maladie ? lui demande-t-elle.
- Ce soir mes parents mangent au restaurant et me laissent à la maison avec la baby-sitter. Quand ils seront partis, je ferais l'amour avec la baby-sitter. Elle va attraper la maladie que je viens d'attraper. Quand mes parents reviendront, Papa va aller reconduire la baby-sitter, il va la sauter dans la voiture et va attraper la maladie à son tour. Quand Papa va revenir à la maison, il va faire l'amour à Maman et elle va l'attraper aussi.

Demain matin, quand tout le monde sera parti, le facteur va venir à la maison baiser ma mère, il va attraper la maladie... Et c'est lui l'enfoiré qui a écrasé ma grenouille !!!

Un gosse qui voit dans la rue un chien en train de saillir une chienne demande a son père ce qu’ils font. Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener.

Le jeune garçon reste quelques instants perplexes sur l'explication fournie. Puis après avoir réfléchi à ce que son père vient de lui dire il s'écrie :
- Ah oui ! C’est comme maman hier, heureusement qu’elle se tenait bien au lavabo, sans cela le facteur l’emmenait à la poste.