Blague : Combien donner au prêtre ?


Après quelques années de vie commune, un jeune homme décide de se marier avec sa petite amie. Comme il n'est pas du tout au courant des traditions, à la fin de la messe, il s'approche du curé et lui demande :
- Excusez-moi mon père, je sais qu'il est dans la tradition que les jeunes mariés fassent une offrande au prêtre qui a célébré le mariage, mais je ne sais pas ce que les gens donnent en général.

Le prêtre lui répond dans le creux de l'oreille :
- En général, c'est en fonction de la beauté de la mariée. Plus elle est belle, plus la somme est élevée.
A ces mots, le jeune marié se tourne vers sa femme. Il hésite quelques instants, plonge la main dans sa poche et tend une pièce d'un franc au curé.

Le prêtre, compatissant, lui dit :
- Ne bougez pas, je vais vous rendre la monnaie...

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Magasin fermé - Travail - 08/03/2014

L'histoire se passe devant un magasin fermé devant lequel il y a une queue monstrueuse. Un vieil homme arrive, voit la queue et double tout le monde. Manque de pot le premier qui faisait la queue ne se laisse pas doubler et lui met une énorme gifle.

Les autres, voyant que le vieux monsieur ne se défend pas, le bousculent aussi et il se retrouve à nouveau à la fin de la queue.
Le vieil homme décide de redoubler la file, et là pareil, il se fait gravement jeter. Mais il s'obstine, et y retourne une troisième fois, et là à nouveau... tous lui sautent dessus ! A la fin, excédé il regarde tout le monde et dit :
- Tant pis, je n'ouvrirai pas le magasin aujourd'hui !

Dolores voulait une augmentation, elle en parle à la propriétaire du manoir dans lequel elle travaille. La Maîtresse de maison est très énervée par cette requête et lui demande :
- Et pourquoi voulez-vous une augmentation, Dolores ?
- Et bien Madame pour trois raisons. La première, c’est parce que je repasse mieux que Madame.
- Et qui vous dit ça ?
- C’est Monsieur qui me dit ça.
- Ah bon ?

- La deuxième, c’est que je cuisine mieux que Madame.
- Sornettes ! Et qui dit que vous cuisinez mieux que moi ?
- C’est Monsieur qui dit que je cuisine mieux que Madame.
- Tiens donc ? … Et la troisième raison Dolores ?

- La troisième raison , c’est que je fais mieux l’amour que Madame.
- Et c’est Monsieur qui vous dit que vous faites mieux l’amour que moi ?
- Non, Madame. C’est le jardinier... !
- Très bien vous avez votre augmentation.


Moshé qui habite Tel Aviv téléphone à son fils Nathaniel qui a émigré à Boston et lui dit :
- Je regrette de te gâcher ta journée, mais je dois t’informer que ta mère et moi sommes en train de divorcer. Quarante cinq ans de souffrance, c’est assez.
- Papa, comment peux tu dire ça ??? Et juste avant les fêtes !!!!
- Nous ne pouvons plus nous voir, répondit le père. Nous sommes fatigués l’un de l’autre et j’en ai par dessus la tête de toute cette histoire, donc tu me rendras service si tu appelles ta sœur Rebecca à Detroit.
Et il raccrocha abruptement.

Désespéré, le fils appelle sa sœur qui est complètement outrée.
- Comment ils vont divorcer, à leur âge ??? Je me charge de l’affaire.
Aussitôt, la fille téléphone a son père et lui dit :
- Vous n’allez pas divorcer. Ne faites rien jusqu’à ce que nous venions mon frère et moi chez vous. Tu m’as bien entendu. RIEN… tu nous attends !!!

Le père raccroche, se retourne vers sa femme et lui dit :
- Aïda, tout est parfait, les deux viennent passer les fêtes avec nous et ils payent eux-mêmes leur billet d’avion !

A la clinique privée « La renaissance », un tout jeune chirurgien, fraichement diplômé, vient de terminer sa première intervention.

En sortant du bloc opératoire, il tombe nez à nez avec le Professeur Sanpierro, directeur de la clinique.

Le jeune chirurgien le salue :
– Bonjour, Professeur

Le Professeur lui rend son salut et l'interroge sur ses débuts dans son nouvel emploi :
– Bonjour, jeune homme. Alors, cette première opération, comment s’est-elle déroulée ?

Le jeune chirurgien :
– Comment ça, Professeur ? Quelle opération ? Ce n’était pas une autopsie ?

Un agriculteur excédé de se faire voler des pastèques toutes les nuits par des gosses du village décide d'employer les grands moyens. Et le voilà qui plante plusieurs pancartes dans son champ où il a écrit: "Attention ! Une de ces pastèques a été injectée avec du cyanure. Mortel !"

Le lendemain matin, alors qu'il patrouille dans son champ, il constate avec satisfaction que personne n'a touché à ses pastèques. Par contre, sur son chemin de retour, il tombe sur une nouvelle pancarte qui n'est pas de lui et qui est à côté de la sienne. Il s'approche... pour lire : " Maintenant, deux pastèques sont injectées au cyanure ! "