Le saviez vous ?
Un mérou ne s’écaille pas, il faut le tondre .
On dit bien : la peau de mérou se tond.
Un Parisien a repéré une maison de campagne dans le Limousin et s'apprête à l'acheter lorsqu'il voit des ruches au fond du champ. Il dit alors au paysan-vendeur :
- Vous comprenez, j'ai des enfants et je ne peux pas me permettre de leur faire prendre le risque de se faire piquer par une abeille ! Il faudrait enlever les ruches !
Le paysan répond ouvertement :
- Mes abeilles n'ont jamais piqué qui que ce soit ! Tenez, je vous propose un truc, je vous attache tout nu à l'arbre pendant une heure et si une seule abeille vous pique, la maison je vous la donne !
Le type se dit qu'une heure, c'est vite passé et que le jeu en vaut la chandelle. Une heure après, le paysan retourne voir le Parisien et le voit tout pâle, fatigué, épuisé... et s'écrie :
- Non di diou !!! Elles vous ont piqué ?
- Oh non! répond le Parisien. Elles ont été sympas les abeilles mais le petit veau, dites-moi, il y a longtemps qu'il a perdu sa mère ?
Un fermier breton vient de perdre son valeureux coq. Il se rend alors au marché de Vannes mais arrive un peu tard, malheureusement. Les meilleures bêtes ont déjà été vendues. Il commence à regarder les coqs qui restent mais il n’y en a plus qu’un, maigrichon, à demi affalé sur le bord de sa cage. Il s’avance vers le propriétaire et lui demande :
- Combien vous demandez pour le coq ?
- 500 euros.
- 500 euros !!! Êtes-vous malade ?
- Holà, attention, l’ami ! Ce coq est l’un des plus grands spécimens de son espèce. Ce qu’il est capable de faire à vos poules, aucun coq n’est capable de le faire.
Se disant qu’il n’a rien à perdre, notre fermier paie et emporte son coq. Rentré chez lui, il le lâche dans sa basse-cour puis va nourrir les animaux de l’étable. Soudain, il entend un vacarme épouvantable : le coq est train de baiser les poules à un rythme infernal ! Puis il tombe par terre, les yeux clos.
Le fermier, en rogne, se dit :
- Bon, je me suis encore fait avoir ! Ce coq ne vaut déjà plus rien!
Le lendemain, au réveil, le fermier entend encore un vacarme épouvantable dans le poulailler. Il regarde à la fenêtre et voit le coq en train de mettre les lapins et les dindons ! Encore une fois, le coq tombe par terre, yeux clos.
Le fermier, en rogne, se dit :
- Bon, cette fois c’est sûr, je me suis fait avoir ! Ce coq ne vaut rien !
Le surlendemain matin, même scénario. Le coq saute tout ce qui bouge dans la ferme : vache, cochon, poulet… puis s’effondre. Les vautours commencent alors à tourner autour de la ferme dans le ciel. Le fermier arrive au pas de course et se met à hurler :
- Mon pauvre coq ! Mon Dieu…
Alors le coq ouvre un œil, pointe une aile vers le ciel puis dit tout bas au fermier :
- Tsss ! Ferme-là ! Tu vas leur faire peur !!!!
Un dauphin, un ours et un crocodile discutent.
- Toi le dauphin, tu comptes faire quoi pour les vacances ?
Le dauphin réfléchit et dit :
- Facile, j’ai des nageoires, je pense visiter la barrière de corail, en Floride.
- Cooool !!! Répondent les deux autres.
- Et toi, l’ours ?
Il réfléchit et dit:
- Ben, j’ai des poils, je crains pas le froid, je vais visiter le pôle nord !
- Waouh bonne idée! Répondent les 2 autres.
- Et toi, le croco ?
Il réfléchit et dit:
- Moi, c’est vite vu, j’ai une grande gueule, je vais aller à Marseille…
C’est une hyène couverte de sang qui revient en zigzaguant à sa grotte et se pose pour piquer un petit somme.
Mais les autres hyènes, réveillées par l’odeur du sang, la harcèlent pour savoir où elle en a tant trouvé.
– Oh non ! Laissez-moi dormir ! Gémit la hyène ensanglantée
– Non ! Dis-nous où tu as eu tout ce sang ! hurlent les autres.
Finalement, la hyène ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de course silencieuse dans la nuit noire, elles plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l’entrée d’une clairière elle leur dit :
– On y est, vous voyez cet arbre là-bas ?
– Oui! Oui! crient les autre hyènes, la salive à la bouche.
– Eh ben, moi je l’avais pas vu…
Il s’agit d’un paysan habitant dans la campagne profonde qui a encore une fois perdu son chien. Il rejoint sa femme en disant :
- Dis voil, not’ chien a encore dispalu !
- Vas-y donc rendle visite à la SPA, ils poullont sulement t’aider.
Le malheureux se rend donc à la SPA dans le but de récupérer son chien.
- Bien le b’jour, m’dame, l’chien s’est enfui depuis deux jouls et j’voudlais que vous m’aidiez.
- Bonjour monsieur, le chien, il est tatoué ?
- Ben, bien sûr qu’il est à moué !!!