Deux fous se baladent dans la cour de l’asile avec une casserole sur la tête.
- Que c’est lourd ! dit l’un.
- Oh oui, on devrait faire des casseroles en paille pour l’été, répond l’autre !
Un corse en voiture est arrêté à la douane.
- Avez-vous quelque chose à déclarer ?
- Non, rien.
- Qu’avez-vous dans le coffre ?
- Des calculettes uniquement.
- Quelle idée de mettre des calculettes dans un coffre de voiture ! Vous en avez beaucoup ?
- Quatre ou cinq.
- Ouvrez votre coffre, je veux voir ça, c’est curieux de mettre des calculettes dans un coffre.
Le corse ouvre et là… la surprise : 1 revolver, 1 fusil de chasse, 1 pistolet mitrailleur, 1 lance roquette…
Le douanier lui dit :
- Vous appelez ça des "calculettes" vous ?
- Oui, parce que c’est avec ça que je règle mes comptes, moi !
L’action se passe en Angleterre. Un homme met délicatement une pomme sur le crâne d’un ami, il fait quelques pas en arrière, prépare son arc, met bien sa flèche et l’envoie pile dans la pomme en disant :
- I am Robin des Bois.
Il se recule à nouveau en s’éloignant de 60 mètres et recommence, une fois encore, il atteint la pomme en disant :
- I am Guillaume Tell.
Faisant à nouveau quelques pas en arrière, il se retrouve à cent mètres de la cible. Après s’être soigneusement préparé, il vise soigneusement et tire, la flèche atteint son ami juste entre ses yeux, alors il s’exclame :
- Oh, I am sorry !
Chaque jour, les sept nains mineurs doivent traverser un champ pour accéder à leur mine. Le propriétaire du champ, un fermier, est mécontent de ce perpétuel va et vient sur sa propriété. Il installe des grilles tout autour de son champ pour empêcher le passage des nains. Le lendemain, les mineurs contournent le champ pour aller creuser leurs galeries.
Quelques jours plus tard le fermier est arrêté par la police. Pourquoi ?
- Parce qu'il y a détournement de mineurs.
La société est ainsi faite :
A l'hôpital, une belle jeune femme attend dans le couloir sur sa civière avant d'être conduite au bloc opératoire pour subir une petite intervention. Elle s'inquiète un peu quand même, d'autant plus que l'heure tourne. Un type en blouse blanche s'approche, relève le drap qui la recouvre et examine son corps nu. Il rabat le drap, s'éloigne vers d'autres blouses blanches et discute.
Un deuxième en blouse blanche s'approche, relève le drap et l'examine. Puis il repart.
Quand le troisième blouse blanche approche, lève le drap, et la scrute, la jeune femme s'impatiente :
- C'est bien beau toutes ces auscultations, mais quand allez-vous m'opérer ?
L'homme en blouse blanche hausse les épaules :
- J'en ai aucune idée, nous on repeint le couloir !