Blague : Casserole pour l'été


Deux fous se baladent dans la cour de l’asile avec une casserole sur la tête.
- Que c’est lourd ! dit l’un.
- Oh oui, on devrait faire des casseroles en paille pour l’été, répond l’autre !

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Le fou qui peint - Inclassable - 01/01/2013

C'est un fou qui repeint son plafond. Un autre fou arrive et lui dit :
- Accroche toi au pinceau, je retire l'échelle.

Cravate :
- Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l'homme.

Carla Bruni :
- Blanche-neige moderne ayant eu une préférence pour un des sept nains : Grincheux.

Le coiffeur :
- Seul endroit où les Bleus peuvent espérer une coupe.

Voiture :
- Invention ingénieuse, permettant de contenir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant.

Titeuf :
- Ce qui sort de la TitePoule.

Orteil :
- Appendice servant a détecter les coins de portes.

Egalité des sexes :
- Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant.

Suppositoire :
- Invention qui restera dans les annales.

Je me suis fait un bleu :
- Expression couramment utilisée par Zahia.

Soutien-gorge :
- Synonyme de Flamby. Tu tires la languette et tout tombe.


Les 12 règles d’or du Club des Fainéants :

1. Sois infatigable au repos.

2. Si tu vois quelqu’un qui cherche à se reposer, aide-le.

3. Rappelle-toi que le travail est sacré, n’y touche pas.

4. Si par hasard tu trouves du travail, avise le bureau des objets trouvés.

5. Ce que tu peux éviter de faire, fais le faire par un autre.

6. Si l’envie de travailler te prend, assis toi et attend que ça passe.

7. Ne te fatigue même pas à tuer le temps, puisqu’il travaille pour toi.

8. Si par mégarde tu tues le temps, utilise le temps mort pour ne rien faire.

9. Oublie les vieux travaux et laisse les nouveaux devenir vieux.

10. Ne reste pas debout lorsque tu peux t’asseoir, ne reste jamais assis lorsque tu peux t’allonger.

11. Si tu es victime d’une farce, surtout ne marche pas, reste assis.

12. N’écoute pas des histoires à dormir debout.

Thierry se rend chez un allergologue à cause de boutons jaunes qu'il a sur les gencives. Le praticien après l'avoir examiné lui livre son diagnostic :
- C'est une gingivite tournesolaire, une maladie exotique assez peu fréquente qui se transmet en absorbant des cacahouètes périmées.
- C'est grave, docteur ?
- Non, ça se soigne, il faut boire 30 centilitres de lait féminin par jour pendant quinze jours . Mais attention il faut obligatoirement boire au sein, car aussitôt que le lait prend l'air, il perd sa valeur curative.
- Mais comment je vais trouver ça ?
- Ben vous avez de la chance, j'ai justement ma femme de ménage qui allaite son nouveau-né et qui a besoin d'arrondir ses fins de mois. Je suis sûr que si vous la payez correctement, elle acceptera de vous aider. Je vais d'ailleurs lui demander, je l'appelle de suite sur son portable.

Au bout de quelques minutes de discussions, la femme de ménage accepte contre une rémunération élevée. Et dès le lendemain Thierry se présente à son domicile pour prendre son remède.
- Bonjour madame, je viens pour mon traitement.
- Entrez Monsieur, si vous voulez passer dans le salon pour plus de commodité.
La femme s'installe, se met les nénés à l'air et Thierry commence à téter. Ce que n'avait prévu la femme c'est que ce tétage commence à l'exciter fortement. Elle commence à se tortiller, elle halète, elle transpire… et finit par demander à Thierry d'une voix langoureuse :
- Vous ne voudriez pas un petit quelque chose en plus ? Pour juste un petit supplément ?
- Euh, si je prendrais bien quelques petits biscuits avec mon lait.

L’histoire se passe dans un avion prêt à décoller. Tous les passagers d’un avion sont à bord mais le pilote et le copilote manquent. Le pilote arrive et traverse l’avion avec des lunettes noires et une canne blanche. Les passagers sont estomaqués et commencent à rire nerveusement quand arrive le copilote avec un chien d’aveugle. Les passagers commencent à s’inquiéter sérieusement, mais trop tard, les moteurs s’allument et l’avion démarre.

L’avion prend de plus en plus de vitesse et ne décolle pas, le bout de la piste n’est plus qu’à quelques mètres et les passagers poussent tous ensemble un immense cri de désespoir…

Ouf  les roues se détachent du sol à quelques millimètres du bout de la piste.

Dans le poste de pilotage, le pilote commente au copilote :
- Tu vas voir qu’un de ces jours on va se casser la gueule parce que ces abrutis ne vont pas crier à temps.