Blague : Une petite rasade


Une petite rasade - Vieux - 15/06/2013

Un jour un gars monte dans le train, en face de lui une mémé avec une petite bouteille. La mémé boit dans la bouteille toutes les 2 minutes le gars pense donc que c'est de l'alcool et profite que la mémé est aux toilettes pour boire la bouteille.

Il trouve ça infecte et repose la bouteille. Une fois que la mémé est revenue il lui demande :
- Excusez moi qu'est ce que vous buvez ?

Et elle lui répond :
- Je ne bois pas je crache.

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C'est l'histoire d'un vieux monsieur qui est atteint de la maladie d'Alzheimer. Son fils qui l'aime beaucoup, mais qui n'en voit plus le bout décide avec l'accord du père de le placer dans une maison de retraite médicalisée. Le jour de la séparation arrive. Le fils et son vieux se retrouvent dans le bureau de direction en compagnie de la directrice et d'une infirmière. Pendant que le fils signe les papiers, le vieux se penche tout doucement sur son côté vers la droite. L'infirmière bondit et vient arrêter le mouvement in extremis.

Quelques minutes plus tard, le vieux recommence à pencher, cette fois-ci vers la gauche. Encore une fois, l'infirmière bondit et parvient à arrêter la bascule du vieux dans sa course. Quelques temps plus tard, le corps du vieux se met à pencher en avant. Cette fois-ci, l'infirmière l'attache carrément à sa chaise.

À ce moment, le fils a fini de remplir les papiers. Il se lève et demande à son père :
- Alors papa, tu vas te plaire ici ?
Et le vieux répond:
- Ouais, je pense. Mais à mon avis, ils me laisseront jamais péter tranquillement !

Le grand-père de 95 ans vient de décéder. Le petit-fils va présenter ses condoléances à sa grand-mère de 90 ans et trouve la mamie en larmes. Il la prend dans ses bras et la console. Un moment plus tard, la voyant plus calme, le petit-fils en profite et lui demande :
- Mamie, comment est mort papi ?...
- C'est arrivé en faisant l'amour, lui confesse la grand-mère.

Le jeune garçon lui répond que les personnes de 90 ans ou plus ne devraient pas faire l'amour car c'est très dangereux. Mais la grand-mère lui explique:
- Nous le faisions seulement le dimanche, depuis 5 ans, très calmement, au rythme des cloches de l'église, "ding"pour la mettre, "dong" pour la sortir...
- Et que s'est-il passé, mamie ? demande le petit-fils.
- Ho, mon garçon !!! Le marchand de glaces est passé avec sa clochette !


Le vieux ignifugé - Vieux - 02/08/2013

Un vieil homme meurt et avait décidé de se faire incinérer. On le met dans un cercueil et puis dans l'incinérateur.

Le cercueil brûle mais pas le corps du bonhomme.

On le place dans un autre cercueil et on recommence. Pareil... le cercueil brûle mais pas le type.

Et la veuve déclare :
- Ça ne m’étonne pas, ça fait 30 ans qu’il prend des anti-inflammatoires !!!

Trou de mémoire - Vieux - 14/04/2014

A l'hôpital, un vieux monsieur couché dans son lit s'époumone à qui mieux-mieux :
- Le révolver ! ... le bazooka ! ... le canon !... la grenade ! ...

L'infirmière entre précipitamment dans la chambre et l'enguirlande :
- Non, mais ça ne va pas de crier de la sorte ? ! ? ... Mais, c'est quoi cette odeur d'urine ?

Elle soulève les draps et s'aperçoit qu'ils sont complètement mouillés :
- C'est dégoûtant ! Vous auriez dû demander le pistolet...
- Voilà, c'est le mot que je cherchais !

Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :

– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !

Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.

Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :

– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…