Blague : Une petite rasade


Une petite rasade - Vieux - 15/06/2013

Un jour un gars monte dans le train, en face de lui une mémé avec une petite bouteille. La mémé boit dans la bouteille toutes les 2 minutes le gars pense donc que c'est de l'alcool et profite que la mémé est aux toilettes pour boire la bouteille.

Il trouve ça infecte et repose la bouteille. Une fois que la mémé est revenue il lui demande :
- Excusez moi qu'est ce que vous buvez ?

Et elle lui répond :
- Je ne bois pas je crache.

D'autres blagues pour la catégorie Vieux

Trou de mémoire - Vieux - 04/09/2013

Un vieil homme pleure tout seul sur le trottoir.

Un agent de police passe à côté de lui et le regarde pleurer. Finalement il lui dit:
- Mais qu'y a-t-il monsieur ?
- Ben voyez j'ai 73 ans et je suis marié à une jeune femme de 30 ans.
- Mais c'est très bien, il n'y a aucune raison de pleurer.
- Mais ma femme est superbe, elle est belle bien faite avec des formes splendides et un visage d'ange...

Et il pleure de plus belle. L'agent de police lui dit :
- Arrêtez de pleurer voyons !
- Et quand je rentre chez moi elle me prépare des plats succulents. Elle cuisine tellement bien.

Le flic s'énerve :
- Mais Bon Dieu ! Arrêtez de pleurer !
- Et au lit, dit le vieil homme entre deux sanglots, elle me fait des trucs, c'est fou...
- Ca suffit maintenant, dit le flic sur un ton sévère. Vous n'avez aucune raison de vous plaindre !
- Mais si ... je ne sais plus où j'habite !!!

Une vieille dame décide de s'offrir un beau cadeau pour ses 70 ans en passant une nuit dans un magnifique hôtel. Au moment de payer le lendemain matin, l'employé au comptoir lui tend une note pour 200 €. Elle demande alors pourquoi c'est si cher :
- Je suis bien d'accord que c'est un bel hôtel, mais franchement, ça ne valait pas 200 € pour juste une nuit et en plus, je n'ai pas pris de petit déjeuner !

L'employé lui répond que 200€ c'est le prix standard et que le petit déjeuner était compris et qu'elle aurait pu le prendre. Elle demande alors à parler au directeur. Celui-ci apparaît et déjà prévenu par l'employé lui annonce :
- Cet hôtel a une piscine de taille olympique et un centre de conférences tout équipé.
- Mais je ne les ai pas utilisés ! dit-elle
- Peut-être mais c'était là et vous pouviez les utiliser.

Il continua en expliquant que l'hôtel avait aussi un show très connu et qu'elle aurait pu y assister.
- Mais je n'y suis pas allée !
Et après chaque service que le directeur lui détaillait elle répondait qu'elle n'en avait pas profité. Et le directeur lui redonnait sa réponse standard :
- Mais vous auriez pu !

Au bout d'un moment, elle se décide et fait un chèque de 50 € qu'elle tend au directeur.
Celui-ci, surpris en regardant le chèque, déclare :
- Mais madame, c'est un chèque de 50 € au lieu de 200 !
- C'est vrai mais je vous ai facturé 150 € pour avoir couché avec moi.
- Mais madame, je ne l'ai pas fait ! s'exclame le directeur surpris.
- Ah ! c'est bien dommage, j'étais là et vous auriez pu en profiter !


Monsieur Émile est allé en ville voir le docteur. Il lui expose précisément son problème :
- Voilà docteur, je suis bien embêté, dit-il , à mon âge y en a beaucoup qui vous demanderaient du Viagra. Moi j’en ai point besoin, j’ai la zig0unette encore ben vaillante, seulement voilà, à chaque fois qu’elle se met au garde à vous, je suis dans les champs, et le temps de retourner à la ferme voilà quelle regarde à nouveau mes bottes.

Le médecin hoche la tête d’un air grave. Émile continue alors son histoire :
- Vous n’auriez pas des fois un truc pour y maintenir la tête haute jusqu’à la ferme ?
- J’ai bien une idée, dit le toubib, lorsque vous irez aux champs, emportez votre fusil et dites à votre femme que lorsqu’elle entendra tirer en l’air qu’ elle court vous rejoindre.
- Tirer en l’air pour tirer un coup ? En voila une idée qu’elle est pas mauvaise !

Quelque temps plus tard voilà que Émile  débarque dans le cabinet du docteur. Il raconte comment il a mis en application la fameuse technique :
- Je viens vous voir, rapport au fusil !
- Pourquoi ça ne marche pas ?
- Oh ! ça eu marché, fait Émile , mais ça ne marche plus. Pendant tout l’été j'ai tiré en l’air… La Sylvaine rappliquait en courant au galop et hop ! je la bouriaudais dans les fougères !
- Oui, et alors, demande le médecin, où est le problème ?
- Ben… depuis l’ouverture de la chasse, je la vois plus !!!

Jacqueline, une vieille dame, fête ses 90 ans entourée de sa proche famille. Son fils Thierry a réservé tout un restaurant pour l’occasion et la fête est à son comble lorsque l’un de ses petits-enfants, Bernard un quadra décomplexé lui demande :

– Grand-mère, excuse-moi d’aborder le sujet, mais au vu de ton grand âge, il serait peut-être temps de formuler des souhaits quant à tes obsèques.

Les discussions s’arrêtent et la tension monte d’un cran. Toutes les convives sont suspendues aux lèvres de Jacqueline :
– Je veux être incinérée !

Tout le monde pousse un soupir de soulagement, Jacqueline a bien pris la question et elle y a répondu avec intelligence. Elle ajoute :
– Je souhaite aussi que mes cendres soient dispersées sur le parking du Flunch dans la zone industrielle.

Suite à cette phrase, l’incompréhension règne parmi la famille qui ne réalise pas le sens de cette demande. Son petit-fils Bernard reprend alors la parole :

– Mais mamie pourquoi le parking de cette cafétéria de deuxième zone ? Tu ne souhaites pas qu’on conserve tes cendres au funérarium ?
– Non ! Je préfère le parking du Flunch car au moins je suis sûr que vous viendrez me voir deux fois par mois…

Première fois - Vieux - 09/05/2013

Un couple célèbre son 50e anniversaire de mariage. Leur tranquillité a toujours été le sujet de conversation dans leur village. On disait :

- Quel couple pacifique et amoureux.

Un journaliste local décide donc de faire un reportage sur ce couple, afin de connaître le secret de leur bonheur.

- Eh bien, ça remonte à notre voyage de noce, explique le mari. Nous visitions le Grand Canyon et avons décidé de le traverser à dos d'âne. Nous n'avions pas encore parcouru une grande distance que l'âne de ma femme a trébuché. Ma femme, sur un ton tranquille, a dit :

- Première fois.

Elle a fait se relever l'âne et nous avons continue. Après une courte distance l'âne trébuche de nouveau. Une fois de plus, ma femme, sur un ton tranquille, dit :

- Seconde fois.

Elle a encore fait se relever l'âne et nous somme repartis. Nous n'avions pas fait la moitié d'un mile que l'âne trébuche pour une 3e fois.

Tranquillement, ma femme a sorti un pistolet de sa bourse et a tué l'âne.

C'est alors que je me suis fâché et que je lui ai dit ce que je pensais de la façon dont elle avait traité cette pauvre bête, quand soudain, elle m'a regardé et m'a dit d'une voix tranquille :

- Première fois.

Depuis ce jour, nous vivons heureux.