C'est un petit frère et une petite sœur qui sont dans un bain. Le frère crie :
- Haha ! J'ai mis mon doigt dans ton nombril !
- C'est pas mon nombril...
- Ah bah c'était pas mon doigt
Magali regarde un mille-feuilles qui coûte 4 euros.
Elle entre et dit à la boulangère :
- Je voudrais 500 feuilles, parce que je n’ai que 2 euros.
Un petit garçon de six ans demande :
- Maman, comment je suis né ???
- Euh …. dans un chou . Ton père et moi, nous t'avons trouvé dans un chou…
- Et ma sœur, comment elle est née, elle ?
- Dans une rose . Nous l'avons trouvée dans une magnifique rose…
Le soir, le petit garçon, entrant sans frapper dans la chambre de ses parents les trouve en train de faire l'amour et il leur lance :
- Alors les vieux... on jardine !
A l'école primaire, l'instituteur demande :
- Qu’est-ce qui est le plus près, le Brésil ou la lune ?
Le petit Alain lève le doigt et répond :
- La lune bien sûr !
L'instituteur lui demande de préciser :
- Comment peux-tu penser ça ?
Yves explique alors son raisonnement :
- Et bien… la lune on peut la voir d’ici, le Brésil non !
Kevin va à l'hôpital voir son copain Boby, plein de bandages. Kevin lui demande :
- Que t'est-il arrivé ?
Boby répond :
- J'ai été renversé par un vélo !
- Pas possible ! Comment as-tu fait ?
- Ce n'est pas tout ! J'ai été écrasé par une moto, puis par une décapotable, ensuite par un avion, et pour finir, par une soucoupe volante !
- Je ne te crois pas !
- Je t'assure ! Mais heureusement, après la soucoupe volante, le patron du manège a coupé le courant !
En arrivant de l'école, le jeune Luis va voir son père pour avoir des explications sur sa leçon d'histoire de l'après-midi :
- Papa, comment commencent les guerres?
- Eh bien, mon garçon, imaginons que les États-Unis et l'Afghanistan ont une divergence d'opinion...
- Un moment, intervient la maman. Pourquoi prends-tu des Talibans et des Américains comme exemple ? Après ça Luis va raconter des choses à l'école et il va se mettre plein de gens à dos.
- Voyons donc, ma chérie ! Il faut raconter les choses telles qu'elles sont dans la réalité.
- Non, non et non. Tu simplifies toujours trop les choses et tu vas nous amener des problèmes.
- Écoute bien, c'est juste un exemple...
- C'est à toi de m'écouter : c'est une vraie honte de raconter des histoires comme ça. Si tu ne sais pas de quoi tu parles, tais-toi !
Et la mère s'en va, contrariée.
- Papa, intervient Luis, je crois que j'ai compris maintenant comment les guerres débutent.