La scène se passe dans une arène pendant la Rome antique : Un lion pourchasse un chrétien condamné à être mangé.
Le chrétien court depuis de longues minutes pour échapper à son triste sort. A l’évidence, il sait que malgré sa bravoure et sa malice, le lion arrivera à ses fins.
Alors, le chrétien décide de tenter sa dernière chance. Il se met à genou et commence à prier :
– Dieu ! Faites que ce lion devienne chrétien !
Et là, miracle… le lion s’arrête de courir.
Le lion se met également à genou et commence lui aussi à prier :
– Seigneur plein de joie ! Bénissez ce bon repas que je vais prendre !
Dov est dans une mauvaise passe niveau argent… Il ne voit pas d’autre solution que de gagner à la loterie pour se sortir de là. Il se rend à la synagogue et se met à prier pour gagner. Le jour du tirage, il attend mais il ne gagne pas. Il retourne à la synagogue et prie à nouveau en insistant sur le fait que toute sa vie, il a respecté les principes religieux, les rituels, l’alimentation et même les dons pour les associations juives.
De nouveau il attend le tirage de la loterie, mais là encore, rien ne se passe. Proche du désespoir il allait se remettre à prier lorsqu’une voix surgit de là haut dans le ciel lui dit :
- D’accord Dov, tu veux gagner à la loterie, mais peut-être que tu pourrais m’aider un peu. Va t’acheter un ticket !
Le curé d'un petit village breton perdu, décède. Il arrive devant Saint-Pierre qui examine ses états de service. Tout a l'air parfait, une vie tranquille, aucun pêché. On lui accorde l'entrée au paradis. Saint-Pierre lui explique qu'il disposera d'un petit nuage motorisé pour se déplacer vers les nuages d'attraction: celui du buffet, celui de la musique, celui des plaisirs charnels.
Le curé profite pleinement de ses premières journées au paradis, mais il se rend rapidement compte que d'autres sont mieux lotis que lui. Son nuage motorisé n'est qu'une mobylette et il voit régulièrement un black le dépasser sur un nuage très rapide avec femmes et orchestre.
Il retourne chez Saint-Pierre et lui dit:
- Toute ma vie, j'ai résisté aux tentations, j'ai servi Dieu le mieux qu'il était possible et arrivé ici, je n'ai toujours pas un sort enviable. Qu'a fait, par exemple ce black pour recevoir un nuage rapide et si bien équipé?
- Vous étiez, lui dit Saint-Pierre, prêtre d'un petit village breton perdu, chaque dimanche, dix fidèles priaient dans votre église. Lui était pilote à Air Afrique, chaque jour, 350 passagers derrière lui priaient Dieu au décollage et à l'atterrissage.
Une femme sort avec un médecin. Peu de temps après, elle tombe enceinte. Ils ne savent pas quoi faire. Quelques neuf mois plus tard, juste au moment où elle devrait mettre au monde l'enfant, un curé entre à l'hôpital pour se faire soigner une affection de la prostate.
Le médecin annonce à la femme :
- Je sais ce que nous allons faire. Après avoir opéré le curé, je lui donnerai le bébé et lui dirai qu'il s'agit d'un miracle.
- Penses-tu que ça marchera ?
- Ça vaut la peine d'essayer...
Ainsi le médecin délivre la femme de son bébé et puis opère le curé. Après l'intervention, il s'entretient avec le prêtre :
- Mon père, vous n'allez pas me croire...
- Quoi ? Que s'est-il passé ?
- Mon père, vous avez eu un bébé.
- C'est impossible...
- J'ai opéré moi-même. Il s'agit certainement d'un miracle. Voici votre fils.
Quinze ans plus tard, le curé se rend compte qu'il doit tout avouer à son fils. Il l'appelle auprès de lui et dit :
- Mon garçon, j'ai quelque chose à te dire. Je ne suis pas ton père.
- Que veux-tu dire ? Je ne suis pas ton fils ?
- Je suis ta mère. L'archevêque est ton père...
A la porte du Ciel, un type furieux se présente devant Saint-Pierre.
- Mais bon sang, qu'est-ce que je fais là ! hurle t-il.
- Regardez-moi : j'ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel ! C'est certainement une erreur !
- Eh bien ! ça n'est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier, répond Saint-Pierre, troublé.
- Comment vous appelez-vous ?
- Roces. Robert Roces.
- Oui... Et quel est votre métier ?
- Garagiste.
- Oui... Ah, voilà, j'ai votre fiche. Roces Robert, garagiste... Eh bien, monsieur Roces, vous êtes mort de vieillesse, c'est tout...
- De vieillesse ? Mais enfin ce n'est pas possible, je n'ai que 35 ans.....
- Ah moi je ne sais pas, monsieur Roces. Mais on a fait le compte de toutes les heures de main d'œuvre que vous avez facturées, et ça donne 108 ans !
Moïse, Jésus et un petit vieux barbu jouent au golf. Moïse joue le premier, il prend son bâton et d'un coup élégant, envoie sa balle. Elle monte en l'air avec un superbe mouvement parabolique et tombe en plein milieu du lac ! Moïse ne se perturbe pas. Il lève son bâton et à ce moment, les eaux s'ouvrent, lui laissant le passage pour faire un nouveau coup.
C'est maintenant au tour de Jésus. Il prend son bâton et, également d'une parabole parfaite, il envoie sa balle dans le lac, où elle tombe sur une feuille de nénuphar. Sans s'énerver, Jésus se met à marcher sur l'eau jusqu'à la balle, et frappe à nouveau.
Ensuite, le petit vieux prend son bâton et, d'un geste affreux de qui n'a jamais joué au golf de sa vie, envoie sa balle sur un arbre. La balle rebondit sur un camion puis à nouveau sur un arbre. De là, elle tombe sur le toit d'une chaumière, roule dans la gouttière, descend le tuyau, tombe dans l'égout d'où elle se trouve rejetée dans un canal qui l'envoie dans le lac mentionné ci-dessus. Mais, en arrivant dans le lac, elle rebondit sur un cailloux et tombe finalement sur la berge où elle s'arrête. Un gros crapaud qui se trouve juste à côté l'avale. Soudain, dans le ciel, un épervier fonce sur le crapaud et l'attrape ainsi bien sur que la balle. Il vole au-dessus du terrain de golf, et le crapaud, pris de vertige, finit par vomir la balle juste dans le trou !
Moïse se tourne alors vers Jésus et lui dit :
- J'ai horreur de jouer avec ton père !