A Dallas dans le Texas, un pauvre gars qui a été amené inconscient aux urgences de l'hôpital des Sœurs de la Charité Bien Ordonnée sort enfin de la salle d'opération.
La religieuse qui le réveille lui demande:
- Avez-vous une assurance-maladie ?
- Non !
- Avez-vous de l'argent pour payer vos soins ?
- Non !
- Avez-vous de la famille qui pourrait prendre en charge les frais médicaux ?
- Ah ! J'ai juste une sœur qui est au Mexique. C'est une pauvre petite religieuse comme vous...
- Mais, monsieur, aucune religieuse n'est pauvre ! Nous sommes même riches car nous sommes les épouses du Seigneur !
Et le gars lui répond...
- Eh ben... Dans cas-là, vous enverrez la facture à mon beau-frère !!!
Un homme va au confessionnal et dit:
- Mon Père, j'ai fauté pendant la seconde guerre mondiale, j'ai caché un Juif dans ma cave.
Le curé répond:
- Mais non mon fils, au contraire, c'est une bonne action.
- Oui mais, mon Père, je lui faisais payer 6000 Francs par mois de loyer !
- Mon fils vous avez sauvé la vie d'un homme, Dieu vous pardonnera malgré tout.
- Oui mais, mon Père, je ne lui ai pas encore dit que la guerre était finie !
C’est un homme marié qui va à confesse :
- Mon père, » dit-il, je m’accuse d’avoir PRESQUE trompé ma femme !
- Qu’entends-tu par PRESQUE ? demande le curé.
- Hé bien voilà : avec une copine, on s’est déshabillés et on s’est frottés l’un contre l’autre. C’est tout.
- Espèce de cochon ! dit le prêtre. Te frotter, c’est comme si tu l’avais mise ! Tu me feras un chapelet complet et tu mettras 50 € dans le tronc des pauvres.
Le gars s’en va dire son chapelet puis il se dirige vers le tronc de pauvres et s’apprête à sortir de l’église. Le curé l’appelle :
- Dis-donc, tu n’as pas mis tes 50 € dans le tronc !!!!
- Non, mon père ! J’ai juste frotté le billet sur le tronc. Vous m’avez dit que c’était pareil que de le mettre !!!
Une femme décède et arrive au paradis. Elle se retrouve devant Saint-Pierre et lui demande :
- Pouvez vous me dire ou je peux trouver mon époux. Il est décédé il y a trois ans et s’appelle Patrick.
Saint Pierre lui répond :
- Vous savez ma petite dame, des Patrick, il y en a beaucoup ici. Vous n’auriez pas autre chose pour que je le retrouve ?
La femme réfléchit puis s’exclame :
- Si j’ai trouvé ! Avant sa mort, nous avions convenu qu’à chaque fois que je le tromperai avec un autre homme, il se retournerai dans sa tombe.
Saint-Pierre lui répond :
- Et bien vous voyez qu’on y arrive.
Il prend alors son interphone et annonce :
- On demande Patrick à l'accueil des nouveaux arrivés, Patrick la toupie est demandé !
Un prêtre dit à son copain rabbin :
- J'ai un truc pour manger gratuit...
- Super ! Dis-moi comment tu fais ?
- Je vais au restaurant, assez tard, je commande entrée, plat de résistance, fromages, dessert, et ensuite je prends mon temps avec un café, un cognac et un bon cigare, et j'attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, quand presque toutes les chaises sont déjà sur les tables, le garçon vient vers moi pour me demander s'il peut encaisser; alors je lui réponds que j'ai déjà payé à son collègue qui est parti ! Et le tour est joué !
Le rabbin lui demande :
- Génial ! on essaie demain ?
- Ok
Le lendemain les deux compères vont au restaurant : entrée, plat de résistance fromage etc... Le moment de la fermeture arrive, le garçon demande s'il peut encaisser, le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé l'addition à votre collègue qui est parti...
Et le rabbin rajoute :
- Et puis d'ailleurs j'aimerais bien qu'on nous rendent notre monnaie…
Aujourd'hui, tout le village est en émoi… Imaginez donc, le Diable en personne est venu leur rendre visite !
Et, comble du sacrilège, il est, en ce moment, perché en haut du clocher de l’église.
Tout les villageois sont donc rassemblés autour de l’église pour observer cette apparition démoniaque.
Le prêtre aussi regarde, éberlué, le Démon. Et bizarrement, la première question qui lui vient à l’esprit est :
- Mais comment est-il monté là-haut ?
Alors, l’une de ses paroissiennes, ayant entendu la question, répond en rougissant et en baissant la tête :
- Comme un taureau, mon père…