Une bonne sœur dit a un petit enfant de chœur en lui tenant son nez avec ses doigts :
- Tu sais mon petit, quand on n'est pas sage on ne va pas au Paradis.
Et le petit à son tour pince le nez de la bonne sœur et lui dit :
- Tu sais ma sœur quand on a les doigts qui sentent la bi*e, on n'y va pas non plus...
Il y avait, dans un village, deux hommes qui s'appelaient Michel. L'un était prêtre et l'autre chauffeur de taxi. Le destin voulut que tous deux meurent le même jour. Ils arrivent au ciel et se présentent devant Saint-Pierre. Michel, le chauffeur de taxi passe le premier. Saint-Pierre consulte ses registres et lui dit :
- Très bien, mon fils. Tu as gagné le Paradis. Tu as droit à une tunique en fils d'or et un bâton en platine. Tu peux y aller.
Quand passe l'autre Michel, Dieu lui dit :
- Bien, tu as mérité le Paradis. Tu as droit à une tunique de lin et un bâton en chêne.
Le prêtre est surpris :
- Pardon Seigneur, mais il doit y avoir une erreur. Je suis bien Michel, le prêtre !
- Oui mon fils, tu as mérité le Paradis avec cette tunique de lin.
- Non ! Ce n'est pas possible ! Il doit surement y avoir une méprise. Je connais l'autre Michel, il vivait dans mon village. C' était une catastrophe comme chauffeur de taxi ! Il avait des accrochages tous les jours, il roulait comme un dingue et conduisait très mal. Et moi j' ai passé 50 ans de ma vie à prêcher tous les dimanches à la paroisse. Comment est-il possible qu'on lui donne la tunique en fil d' or et à moi celle-ci ?
Et Saint-Pierre lui répond :
- Non, mon fils, il n' y a aucune erreur. Nous faisons maintenant des évaluations et des bilans.
- Comment ??? Je ne comprends pas.
- Oui... nous travaillons au résultat et avec des objectifs.
Durant ces derniers 25 ans, chaque fois que tu prêchais, les paroissiens s'endormaient... Mais lui, chaque fois qu'il conduisait, tout le monde priait.
Un prêtre dit à son copain rabbin :
- J'ai un truc pour manger gratuit...
- Super ! Dis-moi comment tu fais ?
- Je vais au restaurant, assez tard, je commande entrée, plat de résistance, fromages, dessert, et ensuite je prends mon temps avec un café, un cognac et un bon cigare, et j'attends la fermeture. Comme je ne bouge pas, quand presque toutes les chaises sont déjà sur les tables, le garçon vient vers moi pour me demander s'il peut encaisser; alors je lui réponds que j'ai déjà payé à son collègue qui est parti ! Et le tour est joué !
Le rabbin lui demande :
- Génial ! on essaie demain ?
- Ok
Le lendemain les deux compères vont au restaurant : entrée, plat de résistance fromage etc... Le moment de la fermeture arrive, le garçon demande s'il peut encaisser, le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé l'addition à votre collègue qui est parti...
Et le rabbin rajoute :
- Et puis d'ailleurs j'aimerais bien qu'on nous rendent notre monnaie…
C'est un vieux monsieur qui va se confesser pour la première fois depuis de très nombreuses années. Il rentre dans le confessionnal et le curé commence :
- Allez-y mon fils. Confessez vos péchés...
- Eh bien voilà mon Père. Ce que j'ai à vous avouer n'est pas joli joli... Pendant la guerre de 39-45 j'ai reçu la visite dans la ferme d'une jeune fille traquée qui voulait se cacher des Allemands. Alors je l'ai cachée dans mon grenier et comme ça, ils n'ont jamais pu la trouver.
- Mais c'est très bien ça ! C'est même un acte de résistance. Ce n'est pas un péché et ça pourrait même vous valoir une médaille...
- Mais je n'ai pas fini, mon Père... A l'époque, j'étais jeune plutôt viril si voyez ce que je veux dire.... Alors je lui ai dit qu'en échange de cette cachette que je lui offrais, elle devrait m'accorder ses faveurs... si vous voyez ce que je veux dire...
Le curé réfléchit une minute puis reprend :
- Eh bien, les temps étaient vraiment difficiles, et puis vous preniez vraiment un très gros risque en la cachant chez vous... Je suis sûr que Dieu dans son infinie sagesse et sa grande bonté saura reconnaître en vous l'âme charitable plutôt que le simple profiteur d'une situation dramatique...
- Oh merci mon Père. C'est un gros poids sur ma conscience que vous me retirez. Est-ce que je peux vous poser une dernière question ?
- Mais bien sûr, mon fils.
- Est-ce que je dois lui dire maintenant que la guerre est terminée !
Le curé d'un petit village breton perdu, décède. Il arrive devant Saint-Pierre qui examine ses états de service. Tout a l'air parfait, une vie tranquille, aucun pêché. On lui accorde l'entrée au paradis. Saint-Pierre lui explique qu'il disposera d'un petit nuage motorisé pour se déplacer vers les nuages d'attraction: celui du buffet, celui de la musique, celui des plaisirs charnels.
Le curé profite pleinement de ses premières journées au paradis, mais il se rend rapidement compte que d'autres sont mieux lotis que lui. Son nuage motorisé n'est qu'une mobylette et il voit régulièrement un black le dépasser sur un nuage très rapide avec femmes et orchestre.
Il retourne chez Saint-Pierre et lui dit:
- Toute ma vie, j'ai résisté aux tentations, j'ai servi Dieu le mieux qu'il était possible et arrivé ici, je n'ai toujours pas un sort enviable. Qu'a fait, par exemple ce black pour recevoir un nuage rapide et si bien équipé?
- Vous étiez, lui dit Saint-Pierre, prêtre d'un petit village breton perdu, chaque dimanche, dix fidèles priaient dans votre église. Lui était pilote à Air Afrique, chaque jour, 350 passagers derrière lui priaient Dieu au décollage et à l'atterrissage.
Jésus décide d'aller faire un tour au paradis afin de retrouver Joseph, son père qu'il n'a pas revu depuis sa crucifixion. Jésus va de nuage en nuage quand soudain il aperçoit un petit vieux assis tranquillement en train de sculpter un morceau de bois. Jésus s'approche alors du petit vieux et lui dit :
- Bonjour, c'est joli ce que vous faites, était-ce votre métier sur Terre de sculpter du bois ?
- Oui, j'étais charpentier.
- Ah... et aviez-vous des enfants ?
- Oui, j'ai eu un fils sans avoir pour autant fécondé une femme. Mon fils a eu une destinée extraordinaire et il est encore très connu sur Terre.
En entendant ces paroles Jésus a les larmes qui lui montent aux yeux. Il met la main sur l'épaule du petit vieux et lui dit avec émotion :
- Papa !
Et le petit vieux répond :
- Pinocchio !!!