Blague : Tarte aux concombres de la boulangère


Une petite fille va chez la boulangère et lui demande :
- Vous avez de la tarte aux concombres ?
- Non, ma petite.
Le lendemain, elle retourne chez la boulangère et lui redemande :
- Vous avez de la tarte aux concombres ?

Et pendant toute la semaine elle revient tous les jours demander la même chose. Alors, un soir, la boulangère fait une tarte aux concombres pour la petite fille. Le lendemain, elle revient comme d'habitude et lui demande s’il y a de la tarte aux concombres.
- Oui, ma belle. Aujourd'hui il y en a.
- C’est pas bon, hein ?

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C'est une conversation entre une maîtresse d'école et son élève.

L'enfant :
- Madame, madame, est-ce que je peux être puni pour quelque chose que je n'ai pas fait ?

La maîtresse :
- Mais bien sur que non, on ne va pas te punir pour quelque chose que tu n'as pas fait.

L'enfant :
- Eh bien, ça va alors... je n'ai pas fait mes devoirs hier !

La maîtresse explique :
- Louis XVI a été guillotiné pendant la Révolution.
Aurélie, dis-moi qu’elles en ont été les conséquences ?
- Ben, il est mort.


L'institutrice demande à sa classe :
- Si j'ai trois pommes à diviser en huit parties égales, que dois-je faire ?
Marco répond sûr de lui :
- De la compote madame !

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Le petit Marco se réveille au milieu de la nuit en entendant du bruit qui provient de la chambre de ses parents. Il se lève sans faire de bruit et va observer la scène intime. Le lendemain matin, au petit déjeuner, il demande à sa mère :
- Pourquoi tu rebondissais sur papa, cette nuit ?
La mère, embarrassée, essaye d'inventer une réponse :
- Tu sais, comme papa a un gros ventre, je saute dessus pour le faire maigrir !
Le petit réfléchit trois minutes et dit :
- Ça ne marchera jamais !
Sa maman, amusée, lui demande :
- Et pourquoi, ça ne marcherait pas selon toi, Marco ?
Le petit explique :
- Parce que quand tu vas faire les commissions, le dimanche matin, il y a la voisine qui vient et qui regonfle papa.

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Marco est puni par son père pour ces nombreuses bêtises de la semaine. Il est consigné dans sa chambre jusqu'à nouvel ordre.

Au bout de dix minutes, Marco crie à travers la porte :
- Papa, apporte-moi un verre de sirop !
- Non, tu n'avais qu'à prévoir...

Au bout de dix autres minutes :
- Papa, apporte moi un verre de sirop !
- Si tu n'arrêtes pas, je monte te donner une fessée.

- Papa, quand tu monteras me donner une fessée, est-ce que tu peux m'apporter un verre de sirop ?

Le petit Gabriel demande à son grand-père :
– Dis pépé, c’était comment de ton temps ?
– Mon petit le monde à bien changé !
– Ah bon ?
– Et oui quand j’étais petit avec 10 francs j’allais à l’épicerie et je revenais avec un litre de lait, une livre de beurre, trois kilos de patates, un sac de thé, deux côtes de porc, du pain et des œufs.
– Et maintenant pépé ?
– Et maintenant ce ne serait plus possible avec toutes ces caméras de surveillance.

En arrivant de l'école, le jeune Luis va voir son père pour avoir des explications sur sa leçon d'histoire de l'après-midi :
- Papa, comment commencent les guerres?
- Eh bien, mon garçon, imaginons que les États-Unis et l'Afghanistan ont une divergence d'opinion...
- Un moment, intervient la maman. Pourquoi prends-tu des Talibans et des Américains comme exemple ? Après ça Luis va raconter des choses à l'école et il va se mettre plein de gens à dos.
- Voyons donc, ma chérie ! Il faut raconter les choses telles qu'elles sont dans la réalité.
- Non, non et non. Tu simplifies toujours trop les choses et tu vas nous amener des problèmes.
- Écoute bien, c'est juste un exemple...
- C'est à toi de m'écouter : c'est une vraie honte de raconter des histoires comme ça. Si tu ne sais pas de quoi tu parles, tais-toi !

Et la mère s'en va, contrariée.
- Papa, intervient Luis, je crois que j'ai compris maintenant comment les guerres débutent.