Une petite fille va chez la boulangère et lui demande :
- Vous avez de la tarte aux concombres ?
- Non, ma petite.
Le lendemain, elle retourne chez la boulangère et lui redemande :
- Vous avez de la tarte aux concombres ?
Et pendant toute la semaine elle revient tous les jours demander la même chose. Alors, un soir, la boulangère fait une tarte aux concombres pour la petite fille. Le lendemain, elle revient comme d'habitude et lui demande s’il y a de la tarte aux concombres.
- Oui, ma belle. Aujourd'hui il y en a.
- C’est pas bon, hein ?
C’est un russe, un suisse, un autrichien, un anglais et un mexicain qui vont en Chine. Le russe et le suisse vont dans un restaurant et demande du riz. Ils mangent et ils ne trouve pas ça bon, ils le jettent par la fenêtre.
En sortant du restaurant ils voient trois enfants pleurer. Ils leur demandent :
- Pourquoi pleurer-vous ?
- Nous avons reçu un bol de riz sur la tête.
Maintenant,c’est l'autrichien et l'anglais qui vont dans un restaurant et demandent des nouilles. Ils n’aiment pas les nouilles et les jettent par la fenêtre.
Lorsqu'ils se retrouvent dans la rue, ils entendent un enfant pleurer.
- Pourquoi pleures-tu ?
- J’ai reçu des nouilles sur ma tête.
Le mexicain va dans le restaurant et jette une bombe par la fenêtre. Il voit un enfant rire.
- Pourquoi ris-tu ?
- Parce que quand j’ai péter la maison d'à côté a explosé.
Magali regarde un mille-feuilles qui coûte 4 euros.
Elle entre et dit à la boulangère :
- Je voudrais 500 feuilles, parce que je n’ai que 2 euros.
En arrivant de l'école, le jeune Luis va voir son père pour avoir des explications sur sa leçon d'histoire de l'après-midi :
- Papa, comment commencent les guerres?
- Eh bien, mon garçon, imaginons que les États-Unis et l'Afghanistan ont une divergence d'opinion...
- Un moment, intervient la maman. Pourquoi prends-tu des Talibans et des Américains comme exemple ? Après ça Luis va raconter des choses à l'école et il va se mettre plein de gens à dos.
- Voyons donc, ma chérie ! Il faut raconter les choses telles qu'elles sont dans la réalité.
- Non, non et non. Tu simplifies toujours trop les choses et tu vas nous amener des problèmes.
- Écoute bien, c'est juste un exemple...
- C'est à toi de m'écouter : c'est une vraie honte de raconter des histoires comme ça. Si tu ne sais pas de quoi tu parles, tais-toi !
Et la mère s'en va, contrariée.
- Papa, intervient Luis, je crois que j'ai compris maintenant comment les guerres débutent.
Une mère se promène avec son fils dans les rues de sa ville. Elle rencontre une de ses amies, une dame très jolie, et elle demande à son fils de l’embrasser pour lui dire bonjour. Son fils qui s’appelle Samuel s’écrit alors :
- Non, maman je n’embrasserais pas la dame !
- Samuel, veux-tu l’embrasser ! c’est un ordre !
- Non, maman, je ne veux pas !
- Mais pourquoi refuses-tu d’embrasser cette dame ?
- Ben, c’est juste que papa a voulu l’embrasser hier et la dame lui a donné une paire de claques.
C’est le petit chaperon rouge qui va apporter une galette à sa mère-grand. Tout d’un coup, il rencontre le loup derrière un arbre et lui dit :
- Qu’est-ce que tu as de grands yeux ! Et là, le loup prend peur et s’en va en courant.
Le petit chaperon un peu surpris continue son chemin. Un peu plus loin, il revoit le loup derrière un rocher et lui dit :
- Qu’est-ce que tu as de grandes yeux ! Là, pareil le loup s’en va en courant.
Le petit chaperon continue alors sa route, sûr de lui et revoit le loup derrière un buisson. Il lui dit:
- Qu’est-ce que tu as de grandes dents !?
Et là le loup énervé lui répond :
- Bon tu vas me laisser ch1er tranquillement maintenant ?